Gabegie à la mairie de Médina : Bamba Fall accusé de détournement à hauteur de 40 millions


Gabegie à la mairie de Médina : Bamba Fall accusé de détournement à hauteur de 40 millions
Le collectif pour la sauvegarde des intérêts de la Médina, piloté par Amadou Sow ne s'accommode plus des agissements du successeur de Biram Sassoum Sy à la tête de cette institution municipale, qu'il s’assimile à une gabegie sans nom. Ce dernier, de passage à notre rédaction et documents à l’appui, a étalé les preuves de leurs accusations.


Les 12 millions des écoles Keur Mame Dabakh et Keur Biram Sassoum Sy volatilisés
Pour comprendre cette nébuleuse, explique Amadou Sow, il faut remonter à 2013, où un budget de 500 millions de francs CFA « prétendument alloué par des partenaires italiens » avait servi à la destruction-réhabilitation d’un bloc scolaire. Ces nouveaux établissements construits, le maire n’a pas jugé utile de mettre en place un comité de gestion pour les écoles qui ont pourtant généré des rentrées respectives de 8.187.000 francs CFA et 4.000.000 francs CFA pour les inscriptions. « Comment se fait-il que les inscriptions des écoles préscolaires Keur Mame Dabakh et Keur Biram Sassoum Sy qui s’élèvent à 12.187.000F F CFA soient entre les mains du Maire Bamba Fall ? Cet argent, le conseil municipal ne sait pas où il se trouve, le maire l’ayant utilisé à des fins personnelles. Il ne doit d’ailleurs pas toucher à cet argent qui doit être géré par le comité de gestion de l’école. Ce qui est un cas avéré de détournement de deniers publics! »



La femme du maire Bamba Fall sur la liste des…secours aux indigents
Un autre cas de malversation concerne la « décision accordant un secours aux indigents portant sur le compte 64510 du budget de 2011 ». Sur la liste des bénéficiaires pour une somme de 275.000 francs CFA, estampillée du cachet du maire, figure sa femme Awa Diallo, El Hadj Mamadou Douss Fall, son petit frère et pratiquement sa famille au complet, alors qu’ils ne sont pas des ayants droit. 
Sur un autre bordereau portant numéro 46 de Mai 2014, toujours dans la rubrique « secours aux indigents » et que nous a présenté Mr Amadou Sow, figure ...des agents de la mairie. Une véritable bamboula, selon notre interlocuteur.
 
30 millions de subvention aux ASC dans la poche du maire ?

La Salle « Docteur Samba Guèye » que la mairie loue à hauteur de 40.000 francs CFA par cérémonie, ne dispose d’aucun contrôle, tout comme les 10.000 francs CFA versés pour le corbillard; rien ne ne va dans les caisses de la commune. Mais plus grave, toujours selon notre interlocuteur, les subventions allouées aux associations Sportives et Culturelles(ASC) et Organisations Communautaires de Base (OCB) qui s’élèvent à hauteur 30.000.000 F CFA sur le Budget de l’année 2013-2014, n'ont pas encore été versées aux ayants droit alors que l’argent a déjà été retiré au niveau de la perception. Ce qui fait dire au coordinateur du mouvement de contestation, que le maire en tant qu'ordonnateur des dépenses, est mouillé jusqu’au coup dans cette affaire.  
Tout ce qui fait que le collectif a fini de déposer une plainte au niveau de la Cour de répression de l’enrichissement illicite, de l’Office national contre la corruption, de l’Inspection générale d’Etat, ainsi qu’au niveau de la Cour des Comptes et de l’Inspection des collectivités locales, pour abus de confiance et détournement de deniers publics contre Bamba Fall. Le collectif devrait tenir une conférence de presse cet après-midi. Nous y reviendrons...
 
 
 
Vendredi 19 Décembre 2014



Du plus récent au plus ancien | Du plus ancien au plus récent

14.Posté par Ablaye cisse le 19/12/2014 21:58
Si connaissiez cette peste de Bamba fall, cet homosexuel que nous avons connu à MILAN ! En Italie.
Il est capable de tout pour de l argent .c est lui qui envoûte et tue BIRAME SASSOUM SY?

13.Posté par Ablaye cisse le 19/12/2014 21:55
ARRÊTEZ de nous emmerdez , vous les acolytes du faux maire BAMBA FALL ce traître. S il n a rien à se reprocher, il n a qu a porter plainte.
Ensuite Bamba n est pas de médina son père était le boucher et esclave de Amath Diene ancien maire de médina.

12.Posté par Daba cisse le 19/12/2014 21:53
Ce Bamba est un grand voleur doublé de traître.IL finira mal pour avoir trahi et assassine maître Biram Sassoum sy.

11.Posté par malick samb le 19/12/2014 21:07
Amadou sow. Est un grand voleur qui a detourne l'argent des bourses octroyees a des jeunes medinois. Se randant compte qu'il est decouvert il a deserte la mairie poue s'echapper a. Une radiation et est alle collaborer avec des anxiens adversaires du maire pour le detruire mais heureusement que ses proposnt steriles et ne sont pas fondes

10.Posté par abdou diao le 19/12/2014 20:50
amadou sow fais tres attention sit tu auje parles encort tu aura des probleme a vec moi et les jeunes de la medina jais ecrit au police centrale- police de medina_dic et gendarmerie je vais organise une grand conference de presse avec les jeunes de medina et mon association je suis pres pour le bagar

9.Posté par malick samb le 19/12/2014 20:48
Je ne vais pas accorder d'importance a quelqu'un ki n'est memme pas medinois. C'est sa situation precaire qui le pousse a travailer avec des personnes mal intentionnees tapis dans l'ombre qui lui donnent des financements pour denigrer le maire mais ce n'est que peine perdue car cela ne peux en aucun cas inquieter le maire bamba fall qui a la confiance des medinois. Demandez svp a amadou sow qu'est ce qui lui a fait quitter la mairie et la tete de la coordination des jeunes socialilistes.

8.Posté par ba khassimou le 19/12/2014 19:25
Délégation spéciale?

7.Posté par NO SOSS le 19/12/2014 18:40
SAMA GARS GNI KOU GAGNER'WOUL CI CARTES SOLUTION BIMOU AMM MOY SOSS. LES APERISTES DE SEYDOU-YOU-JACKSON TOKKLENN .
WAKHOU DETOURNER REK NGUENI WAKH POUR JOUER CI KHELLOU SENEGALAIS YI. YENAY SATHIE YI NA MACK LERAL LES MILLIARDS. SOSSAL KARIM LEGUI KOUCI DESS. ALLEZ BAMBA FALL MEDINA REK.MEDINA KHIFFOUNIOU AY MILLIARDS AY NDANAE LANIOU LOLOU MOTAKH KHLISSOU SEYDOU GUEYE YOU ET JACKSON TITALOUNIOU.REGIME DE MENTEURS.

6.Posté par Richard le 19/12/2014 17:41
Amadou Sow est un manipulateur et un grand voleur. C'est un jeune étudiant qui habitait à Thiaroye qui vivait dans des conditions précaires qui est venu s'ouvrir au Maire Bamba FALL pour qu'il l'aide à terminer ses études. En tant qu'homme généreux, ce dernier l'a amené à la médina pour lui trouver un boulot et une chambre afin qu'il puisse subvenir à ses besoins. Mais ce dernier ingrat et non vertueux a volé de l'argent en 2009 mais aussi avait fait des malversations financières au poste où on l'avait affecté. Toujours dans la même lancée, il a récemment détourné les bourses d'études de ses camarades pour 'année 2013-2014.
Ses camarades outrés par ses mauvais agissements ont décidé de l'évincer de responsabilité dans les instances de jeunesse.
Il a d'abord commencé à proférer des menaces, est ensuite venu dire au Maire que sa jeunesse n'est pas satisfaite. le Maire convoque le lendemain tous les responsables jeunes qui démentent un à un formellement tous ses propos et décident de ne plus le laisser parler en leur nom. Et puisqu'il ne sait pas s’arrêter, comme on le dit si bien en Olof " kou rép si kharé, lo djine khép ko" le jeune Sow a mis en branle une stratégie consistant à saboter le Centenaire de la Médina.
Voila un genre de type qui ne se souciera jamais de l’Intérêt de la médina parce que attendant que la Médina féte son centenaire pour venir créer des perturbations pour saboter cet événement. Lui et quelques uns de ses acolytes assoiffés par des ambitions crypto-personnelles.
Mais ce sera peine perdue parce que la jeunesse et toute la Médina ne laisseront pas ce genre d'individu malintentionné ternir l'image d'un Maire qui se sacrifie pour l’Intérêt de sa population.

5.Posté par Richard le 19/12/2014 15:48
Amadou Sow est un manipulateur et un grand voleur. C'est un jeune étudiant qui habitait à Thiaroye qui vivait dans des conditions précaires qui est venu s'ouvrir au Maire Bamba FALL pour qu'il l'aide à terminer ses études. En tant qu'homme généreux, ce dernier l'a amené à la médina pour lui trouver un boulot et une chambre afin qu'il puisse subvenir à ses besoins. Mais ce dernier ingrat et non vertueux a volé de l'argent en 2009 mais aussi avait fait des malversations financières au poste où on l'avait affecté. Toujours dans la même lancée, il a récemment détourné les bourses d'études de ses camarades pour 'année 2013-2014.
Ses camarades outrés par ses mauvais agissements ont décidé de l'évincer de responsabilité dans les instances de jeunesse.
Il a d'abord commencé à proférer des menaces, est ensuite venu dire au Maire que sa jeunesse n'est pas satisfaite. le Maire convoque le lendemain tous les responsables jeunes qui démentent un à un formellement tous ses propos et décident de ne plus le laisser parler en leur nom. Et puisqu'il ne sait pas s’arrêter, comme on le dit si bien en Olof " kou rép si kharé, lo djine khép ko" le jeune Sow a mis en branle une stratégie consistant à saboter le Centenaire de la Médina.
Voila un genre de type qui ne se souciera jamais de l’Intérêt de la médina parce que attendant que la Mairie féte son centenaire pour venir créer des perturbations pour saboter cet événement. Lui et quelques uns de ses acolytes assoiffés par des ambitions crypto-personnelles.
Mais ce sera peine perdue parce que la jeunesse et toute la Médina ne laisseront pas ce genre d'individu malintentionné ternir l'image d'un Maire qui se sacrifie pour l’Intérêt de sa population.

4.Posté par MANLANDIAYE le 19/12/2014 15:44
mouhamed c dur c temps ci pour toi parce que tu gere plus les quittanciers et l'ovp sathie

3.Posté par MANLANDIAYE le 19/12/2014 15:43
non sow do dem dougourou mouhamed ndaw sathie bou mag bi le corbillard été géré par mouhamed c lui le voleur

2.Posté par aziz seck le 19/12/2014 15:11
je suis vraiment déçu par de telles bassesses sow! et pourtant tu avais un avenir certain en politique et tu te laisses utiliser comme un mouton de panurge! sais tu que tu as mis tout ton cariére politique en doute, parce que ni dans le parti( et aux plus hautes instances), ni ailleurs tu ne bénéficieras de la confiance de personne! car, tu sais toi meme que tout ce que tu racontes n'est que pure mensonge! ceux qui t'envoient aux braises devraient avoir le courage de se dévoiler au lieu de sacrifier un jeune comme toi , naif et sans vision politique! quand j'ai lu cet article, j'ai eu vraiment pitié de toi car tu es trés en déphasage avec la réalité. je me priverais de donner des informations contradictoires, d'autres le feront et tu verras bien qu'ils t'ont berné, jeune homme! dommage pour toi. ah on attend la conférence de presse, ayant la gentillesse de m'y inviter . collectif fictif

1.Posté par LI GNIOUY DEF MO WARAL LI le 19/12/2014 13:20

Du financement public des partis, comme moyen pour un espace politique plus éthique et plus utile au Sénégal
Il y a eu et il y aura sans doute, et nous l'espérons cette fois là, sérieux et de fond, un débat national sur le financement des partis politiques à partir des fonds publics nationaux (budgets ministériels et fonds politiques présidentiels entre autres et en l'état actuel des choses).
En effet, c'est là nous semble t-il, un débat fondamental à mener jusqu'à son terme, si nous voulons:
- d'une part, qu'il y ait un frein définitif à la prolifération malsaine voire absurde, des partis politiques "propriétés personnelles", dans notre espace politique national,
- et d'autre part, que le parti politique, défini par la science politique classique comme un instrument collectif de conquête et de conservation du pouvoir politique, devienne dans notre société, autre chose qu'un simple outil manipulatoire de foules, détenu par quelqu'un ou quelques uns, pour des fins souvent crypto-personnelles mais cachées (par exemple, la piètre et secrète ambition de participer tant soit peu au partage longtemps fantasmé "du gâteau" national), et revêtues du manteau convenu de l'Intérêt Général.
C'est dans cette optique, que nous souhaiterions en toute humilité, apporter des éléments de réflexion contributifs à un débat, que tout Sénégalais soucieux du meilleur devenir possible pour son pays, devrait à la limite exiger, ne serait-ce qu'en tant que contributeur par son impôt, à la constitution du trésor public.
Ce serait là, une exigence hautement citoyenne!
Car, il est capital de se rappeler et de rappeler, que quelque soit le degré de "saleté" pouvant être perçu, à tort ou à raison, comme caractérisant la politique telle que pratiquée chez nous, cette dernière est et sera toujours dans toute l'histoire de toute l'humanité, le déterminant décisif dans l'évolution de toute communauté donc de la nôtre.
Et ça n'est pas parce qu'elle est perçue parfois comme "sale", que la politique cessera un jour d'être l'élément majeur du lien social dynamique, qui est au fondement même de l'évolution de toute société.
D'où, l'importance et l'incontournabilité d'un débat sérieux et de fond, sur le rôle et le fonctionnement des partis politiques, qui sont dans notre espace public contemporain, les lieux par excellence, de maturation et d'émergence des conceptions qui animent et modèlent l'action publique, telle qu'incarnée dans les pratiques de nos différents hommes politiques.
Si la définition classique du parti politique dit de celui ci, qu'il est un instrument de conquête et conservation du pouvoir, cette définition mériterait tout de même d'être complétée. Au delà de la conquête et de la conservation du pouvoir, il serait aussi pertinent de s'interroger sur ce qui peut et doit être fait avec le pouvoir conquis et qui sera à même, d'en justifier et d'en consolider la légitimité, rapportée à la réalisation de l'Intérêt Général, qui demeure hic et nunc, le "légitimateur" absolu de tout pouvoir politique dans une société réellement démocratique.
Ce faisant, dans une formation sociale ayant pour crédo ultime, le principe politique de la démocratie représentative comme forme choisie d'organisation socio-politique, se donner les moyens entre autres, par la création d'un parti politique, d'accéder au pouvoir, de l'exercer et de vouloir continuer à l'exercer aussi longtemps que possible, sont tout à fait légitimes, pour tout individu appartenant légalement à cette formation sociale et reconnu par ses semblables et selon certaines modalités, apte à la fonction d'Homme d'Etat.
Ce serait là, une ambition parfaitement justifiée pour tout citoyen au sein de tout système socio-politique dit démocratique.
Mais la légitimé d'une telle ambition, si celle ci se réalisait, n'aurait toutefois de sens, que si l'exercice du pouvoir conquis et son impact global sur le devenir et l'épanouissement de la communauté concernée, étaient majoritairement attestés positifs par les autres membres de cette communauté.
Si tel n'était pas le cas, la légitimité d'un tel pouvoir ne saurait tenir. Et des exemples pertinents dans notre histoire politique récente (mars 2000, juin 2011, mars 2012) pourraient l'attester à suffisance, s'il en était besoin.
Le pouvoir politique étant au sein d'une société, l'outil quasi-incontournable pour la réalisation des transformations nécessaires à la production collective du mieux être pour tous, le parti politique comme moyen d'accès à ce pouvoir s'impose dès lors comme une affaire absolument sérieuse.
Et paradoxalement, la prolifération à hue et à dia des partis politiques et le management même de ces partis dans l'espace public, surtout depuis l'an 2000 au Sénégal, peut hélas donner quelquefois, une image hideuse de l'activité politique sous nos cieux. Le plus grave, c'est qu'au fil des années, une certaine dynamique va crescendo, aussi bien dans la folle prolifération des partis que dans la médiocrité des discours de plus en plus remarquée chez beaucoup de nos hommes politiques.
Partis politiques "télé centres", "transhumances" éhontées d'un parti politique à un autre et socio-culturellement admises, absence totale de programmes politiques dignes de ce nom, mouvements de soutien à un individu et non à un programme (par exemple: "Abdo niou doy" qui aurait du engendrer logiquement un "Laya niou doy"), leaders de partis intellectuellement limités, chantages sordides et attaques ad-hominem sans retenue, règlements de comptes crypto-personnels, absence de visions claires sur les réalités globales du pays, identitarismes ethnocentristes, régionalistes ou autres assumés sans états d'âme etc...
Tel pourrait être sommairement dépeint, le visage politico-politicien peu reluisant d'un Sénégal d'aujourd'hui, se voulant parfois avec tonitruance, modèle démocratique. Et le plus atterrant c'est que ça passe! Et cela, beaucoup trop souvent, dans une Afrique sub-saharienne, complètement malade de son actuel leadership plutôt infantilisant.
Pauvres africains que nous sommes!
N'est-il pas plus que temps de se réveiller enfin et d'arrêter de se réfugier illusoirement dans un passé soporifique, mythifié et inlassablement reconstruit en pure perte, à partir d'une énergie mentale qui utilisée autrement, aurait pu nous permettre d'envisager plus courageusement, un avenir autre que celui qu'une mondialisation ancienne et impitoyable nous a jusqu'ici réservé dans la Grande Histoire de l'Humanité?
Pour que des ruptures radicales et salvatrices puissent à ce propos, s'opérer dans notre espace politique il faudra que l'Etat, en tant que "incarnation" régalienne de nos différents intérêts puisse se donner vigoureusement, les moyens d'une redéfinition rectificatrice, du rôle et de la fonction du parti politique dans l'action publique, afin que celle ci, soit davantage productrice de développement économique et social pour tous et non plus de duperies, de démagogie et de populisme récurrents, piteusement et uniquement électoralistes.
Parmi les moyens auxquels l'Etat pourrait avoir recours, pour promouvoir une vision nouvelle du rôle et de la fonction du parti dans l'espace public, il devra y avoir avant tout, une volonté politique clairement affirmée de contribuer par un financement publique conséquent et transparent au "boosting" des activités des partis politiques.
Une telle volonté politique, combinée à la mise en place de mécanismes permanents de concertation entre acteurs sociaux et politiques, devra permettre aux partis de mener avec plus d'inspiration et de pédagogie, leurs activités légales et légitimes, dans une perspective, bien entendu, de conquête du pouvoir politique mais également, dorénavant et surtout, de mieux assumer une mission d'intérêt général, à travers de véritables programmes d'éducation de masse à une citoyenneté responsable, pour un développement économique et social national et durable.

Enfin et in fine, dès le moment où toutes ces activités auront été consensuellement adoubées d'utilité publique et que des fonds publics y seront investis, l'Etat aura alors et plus encore, la légitimé et le devoir de concevoir un cadre législatif nouveau et rigoureux, ainsi qu'un outil méthodologique exigeant en termes d'évaluation ex-ante et ex-post de chaque parti politique, quant à ses capacités propres à contribuer par lui même sur les plans financier (taux à fixer) et conceptionnel (ressources humaines compétentes pour la conception et la mise en œuvre des activités), au déroulement de son programme, devant comprendre obligatoirement au moins deux volets: un volet propagande spécifique à chaque parti et un volet éducation à la citoyenneté qui lui, sera commun à tous les partis juridiquement reconnus.
Cette vision qui est nôtre et que nous souhaiterions voir mise en œuvre dans notre pays, pourrait tout en contribuant à assainir notre espace politique public, le rendre également plus efficace dans la réalisation de l'Intérêt Général, traduit en un développement économique et social global à moyen et long terme.
Mais il va sans dire, que la traduction d'une telle vision en réalité effective, ne manquera pas de poser de sérieux problèmes d'ordre politique et juridique, car des habitudes et des pratiques se sont cristallisées chez nous, depuis l'époque des "Doléances des Habitants du Sénégal aux Etats Généraux" de la France Révolutionnaire de 1789 jusqu'à la seconde Alternance de mars 2012 dans un Sénégal indépendant.
Toutefois, nous n'en demeurons pour autant, moins convaincu, qu'avec de l'audace et le courage politique d'un leadership visionnaire et sincèrement au service de l'Intérêt Général, presque rien n'est impossible, dans un Etat de Droit bien doté en Institutions idoines et fortes.
Cette même conviction, nous amène et en conclusion, à faire la proposition de la mise en place au Sénégal et pour la gestion du financement des partis politiques, d'une Haute Autorité du Financement et de la Régulation des Partis politiques (HAFRP)


Dakar le 09/12/2014
El Hadj NGOM alias LAT DEGUENE THIARE



0.Posté par mara le 19/12/2014 08:57
Si de pareils faits s'avères fondés donc susceptibles d'être prouvés devant la justice de ce pays. Il est temps de rétablir la peine de mort, si non nous n'avancerons pas.Il faut que ces gens craignent quelque chose. Il faut qu'ils aient peur de quelque chose.Mais tant qu'ils n'auront pas cette menace au dessus de leurs têtes ils vont continuer leurs prédations. Et c'est l'avancement d'une commune qui se trouve freiner et au delà, celui du pays. Il est temps que de pareils comportements cessent ici et ailleurs dans ce pays.

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