Le calme apparent de l’école Momar Khary Diop, à Yeumbeul Sud, cachait un secret aussi insolite que scandaleux : l’un de ses vigiles, chargé de protéger l’établissement, l’utilisait la nuit… pour fumer du kush. Selon les informations rapportées par Libération, cette affaire a éclaté dans la nuit du 3 au 4 décembre, après une descente surprise des policiers du poste de Yeumbeul Sud.
Un directeur qui n’en pouvait plus
Tout est parti d’une dénonciation ferme du directeur de l’établissement. Excédé par la présence de consommateurs de drogue dans l’enceinte de l’école, il a alerté les forces de l’ordre, craignant que le site ne soit transformé en zone de non-droit une fois la nuit tombée.
Les policiers ont donc décidé de mener une opération nocturne… et ce qu’ils y ont découvert dépasse le simple manquement à la discipline.
Un vigile surpris en flagrant délit dans une salle de classe
Pendant leur descente, les agents ont surpris M. S, vigile de l’école, installé confortablement dans une salle de classe transformée en véritable fumoir de kush.
Selon Libération, il avait en sa possession :
• un sachet en vrac de kush,
• deux joints,
qu’il s’apprêtait à consommer tranquillement, en plein cœur de l’établissement censé être sous sa protection.
Mis devant les faits, le vigile n’a pas cherché à nier. Pire encore, il a immédiatement proposé… de livrer son fournisseur, dans une tentative maladroite de réduire sa responsabilité.
Une opération d’infiltration improvisée
À la demande des policiers — et sous leur surveillance — le vigile a passé une nouvelle commande auprès de son dealer. L’objectif : le prendre à son tour en flagrant délit.
Le fournisseur, un ressortissant sierra-léonais nommé A. J. K., s’est présenté sans se douter du piège tendu. Il a été arrêté sur place, au moment où il croyait simplement effectuer une livraison de routine.
Selon les révélations de Libération, les policiers ont découvert sur lui :
• 14 sachets de kush,
• ainsi qu’une somme d’argent provenant visiblement de la vente habituelle.
Un duo arrêté, une école soulagée
Les deux hommes ont été immédiatement placés en garde à vue pour détention et trafic de kush .
Un directeur qui n’en pouvait plus
Tout est parti d’une dénonciation ferme du directeur de l’établissement. Excédé par la présence de consommateurs de drogue dans l’enceinte de l’école, il a alerté les forces de l’ordre, craignant que le site ne soit transformé en zone de non-droit une fois la nuit tombée.
Les policiers ont donc décidé de mener une opération nocturne… et ce qu’ils y ont découvert dépasse le simple manquement à la discipline.
Un vigile surpris en flagrant délit dans une salle de classe
Pendant leur descente, les agents ont surpris M. S, vigile de l’école, installé confortablement dans une salle de classe transformée en véritable fumoir de kush.
Selon Libération, il avait en sa possession :
• un sachet en vrac de kush,
• deux joints,
qu’il s’apprêtait à consommer tranquillement, en plein cœur de l’établissement censé être sous sa protection.
Mis devant les faits, le vigile n’a pas cherché à nier. Pire encore, il a immédiatement proposé… de livrer son fournisseur, dans une tentative maladroite de réduire sa responsabilité.
Une opération d’infiltration improvisée
À la demande des policiers — et sous leur surveillance — le vigile a passé une nouvelle commande auprès de son dealer. L’objectif : le prendre à son tour en flagrant délit.
Le fournisseur, un ressortissant sierra-léonais nommé A. J. K., s’est présenté sans se douter du piège tendu. Il a été arrêté sur place, au moment où il croyait simplement effectuer une livraison de routine.
Selon les révélations de Libération, les policiers ont découvert sur lui :
• 14 sachets de kush,
• ainsi qu’une somme d’argent provenant visiblement de la vente habituelle.
Un duo arrêté, une école soulagée
Les deux hommes ont été immédiatement placés en garde à vue pour détention et trafic de kush .