À la suite du rejet des allégations de fraude sur l'identité et la falsification à la délivrance, l'ASC CITÉ tient à informer ses membres, supporters et l'opinion publique sur « les graves irrégularités qui ont entaché le traitement de son dossier, du dépôt de la réserve jusqu'à la décision finale de forclusion, rendue par la
l'ODCAV ».
L’équipe sanctionnée constate « un favoritisme flagrant, qui compromet l'équité et l'unité entre les ASC. » Mais également, « un manque criard de communication et de transparence, qui crée malentendus, désorganisation et tensions inutiles ainsi qu'une absence de leadership clair, laissant place à l'improvisation au détriment des intérêts collectifs. »
Lors de la rencontre contre BOK JOM du 11 septembre 2025, l’ASC CITÉ a introduit une réserve qui, selon elle, est « conforme au règlement. » À partir de ce moment, il appartenait à la CROP de traiter le dossier avec rigueur, transparence et impartialité. « Malheureusement, regrette l’ASC, « le procès-verbal de la décision contestée leur a été notifié par WhatsApp le Samedi 20 septembre à 19h04. » Pour contester la décision prise par la CROP, elle a introduit un appel qui a été déposé le lendemain Dimanche 21 Septembre à 16h42, soit moins de 24 heures plus tard auprès de la hiérarchie. « Aucun texte ne permet de déclarer cet appel forclos. Le rejet pour forclusion est donc une erreur manifeste ou une manipulation administrative », a fermement contesté l’ASC CITÉ.
Par ailleurs, « les documents fournis par la CRQP contiennent des incohérences flagrantes ; Une personne déclarée absente lors de la séance a pourtant signé le procès-verbal. Une preuve que le document est entaché de contradictions graves, remettant en cause sa crédibilité et son authenticité », regrette l’ASC qui constate « une violation manifeste des délais de recours, volontairement mal interprétés, un procès-verbal irrégulier, comportant des signatures fantômes et des contradictions grossières, une atteinte à la transparence et à l'équité sportive, valeurs fondamentales du mouvement navétane et un discrédit jeté sur la CROP elle-même, censée être garante du respect des textes. »
Face à cette situation , l'ASC CITÉ rejette catégoriquement la décision de forclusion prononcée, dénonce avec fermeté les manipulations, incohérences et manquements constatés, exige la réouverture immédiate de son appel et son examen sur le fond tout en se réservant le droit de saisir toutes les instances supérieures (ODCAV, ORCAV, voire ONCAV) pour rétablir la vérité et l'équité.