Fatima Houda-Pépin n'est plus déléguée générale du Québec à Dakar, où il est mis fin à son mandat. L'ancienne députée libérale, en bisbille avec des employés, « faisait l’objet d’une enquête interne à la suite de plaintes formulées » par ces derniers, si l’on en croit dakar-echo.com. Ses collaborateurs critiquant « une gestion déficiente et un climat de travail malsain ».
Nos confrères ne confirment pas l’existence d’une pression en lien avec la décision du ministère des Relations internationales et de la Francophonie (MRI) de mettre fin à son mandat.
Le ministère, dans un communiqué publié vendredi, explique que la décision « de rappel et de remplacement » de Mme Houda-Pépin repose « sur une procédure administrative selon laquelle le gouvernement peut remplacer en tout temps un délégué général sous réserve d’un préavis de trois mois ».
On ajoute que conformément à la Loi sur la protection des renseignements personnels, « les détails cette décision administrative sont confidentiels », renseigne dakar-echo.com.
Mme Houda-Pépin aurait éprouvé des difficultés à gérer le personnel à sa disposition, rapportait La Presse canadienne en février dernier. La direction du ministère du MRI avait dû intervenir à deux reprises, en dépêchant des équipes à Dakar, pour calmer le jeu et vérifier le bien-fondé de plaintes formulées à son endroit.
Fatima Houda-Pépin, une ancienne vice-présidente de l’Assemblée nationale, a été élue députée du Parti libéral (PLQ) dans La Pinière, en Montérégie, en 1994 et a été réélue en 1998, en 2003, en 2007, en 2008 et en 2012. Elle a siégé comme indépendante à partir de janvier 2014 avant d’être défaite aux élections.
Nos confrères ne confirment pas l’existence d’une pression en lien avec la décision du ministère des Relations internationales et de la Francophonie (MRI) de mettre fin à son mandat.
Le ministère, dans un communiqué publié vendredi, explique que la décision « de rappel et de remplacement » de Mme Houda-Pépin repose « sur une procédure administrative selon laquelle le gouvernement peut remplacer en tout temps un délégué général sous réserve d’un préavis de trois mois ».
On ajoute que conformément à la Loi sur la protection des renseignements personnels, « les détails cette décision administrative sont confidentiels », renseigne dakar-echo.com.
Mme Houda-Pépin aurait éprouvé des difficultés à gérer le personnel à sa disposition, rapportait La Presse canadienne en février dernier. La direction du ministère du MRI avait dû intervenir à deux reprises, en dépêchant des équipes à Dakar, pour calmer le jeu et vérifier le bien-fondé de plaintes formulées à son endroit.
Fatima Houda-Pépin, une ancienne vice-présidente de l’Assemblée nationale, a été élue députée du Parti libéral (PLQ) dans La Pinière, en Montérégie, en 1994 et a été réélue en 1998, en 2003, en 2007, en 2008 et en 2012. Elle a siégé comme indépendante à partir de janvier 2014 avant d’être défaite aux élections.
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