Exclusif! L'Etat du Sénégal et Tigo parviennent à un accord


Exclusif! L'Etat du Sénégal et Tigo parviennent à un accord
DAKARACTU.COM  Dans la plus grande discrétion, des rencontres se sont tenues au ministère des Finances entre des cadres de ce département et des représentants de la société Millicom à qui appartient Tigo, en présence de l’agent judiciaire de l'Etat. Un compromis a été trouvé pour arriver à une compensation que Millicom doit verser au Sénégal pour combler le manque à gagner subi lors de l’accord initial et qui avait été libellé au désavantage de notre pays. Le montant de cette compensation est tenu strictement secret, mais un communiqué sera prochainement rendu public pour faire état de cet accord entre l’Etat et la société de télécommunication. D'ores et déjà, chacune des deux parties va interrompre les actions en justice qu'elle avait engagées contre l'autre. A suivre…
Jeudi 23 Août 2012




1.Posté par senebazar le 23/08/2012 13:04
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2.Posté par Leuz le 23/08/2012 13:48
Efficacité et discrétion, j'aime ça!

3.Posté par asbal TH le 23/08/2012 15:16
lu mana am daal liy mbiir té mbir moy na lépp lérr ci boppu askaan wi wasalam

4.Posté par kankou le 23/08/2012 17:20
WADE avait donc raison de relancer le dossier après le "ventaire de DIOUF et compagnie" et surtout cela montre bien que la continuité de l'Etat n'est pas un vain mot. Il faudra reprendre le dossier SONATEL qui a des bénéfices effroyables dans un pays si pauvre et qui tient la concurrence au bout du nez , TIGO et EXPRESSO dépendant trop de SONATEL pour développer leur activité mais là c'est une autre histoire. Bien du plaisir et qui s'y frottera...

5.Posté par madi le 24/08/2012 00:17
c'est une très sage décision de la part du gouvernement. merci

6.Posté par ALBERT. le 24/08/2012 02:18
LIRE LES ACCORDS : "Voici une preuve supplémentaire que Macky Sall est un agent de la France placé à la tête de l’Etat du Sénégal. Le 18 avril 2012, sans mener des négociations préalables, le président a signé les nouveaux accords de défense. En vérité, mêmes les plus hauts gradés de l’Armée sénégalaise ont été mis à l’écart dans cette affaire. Installé le 02 avril, Macky Sall n’avait pas le temps de négocier ces accords. Il a signé un document rédigé par la partie française.
A la surprise générale, le président Sénégalais a cédé des centaines d’hectares à Dakar à l’Armée française. Dans la rubrique « installations et logements mis à la disposition des forces françaises stationnées ou en transit », le président s’est engagé à céder gracieusement, gratuitement et à titre exclusif aux forces françaises stationnées ou en transit dans la capitale sénégalaise, les installations suivantes : « Le camp de Ouakam, la station d’émission interarmées de Rufisque, le parc de Hann, l’aéroport Léopold Sédar Senghor, partie militaire, celles des emprises de la base navale des forces armées sénégalaises occupées par les forces françaises (unité marine, direction des travaux, direction interarmées du service de santé des armées, centre médical interarmées, poste protection sécurité force défense), les villas d’autorités de la Pointe de la Rade, les logements de la Cité Saint Exupéry, les logements de l’Unité maritime, les logements du Camp de Ouakam, les logements du parc de Hann, les logements de la station d’émissions interarmées de Rufisque »." Modou FALL
Sitôt installé à la tête de l’Etat, Macky Sall s’était rendu en France le 16 avril en visite chez Sarkozy. C’était pour signer avec le président français sortant de nouveaux accords de défense dans le cadre de «l’approfondissement» entre la France et le Sénégal. Un traité qui accorde beaucoup d’avantages à la partie française qui se voit octroyer gracieusement plusieurs hectares de terres et des biens immobiliers en terre sénégalaise ainsi que de nombreux privilèges.
Dans le traité dont Wal Fadjri a obtenu une copie, à l’article 7 (section 3) relatif à l’installation et logements mis à la disposition des forces françaises stationnées ou en transit, on a un aperçu des avantages octroyés aux forces françaises dans le cadre du traité signé entre la France et le Sénégal en avril dernier. «La partie sénégalaise met gracieusement à la disposition des forces françaises stationnées ou en transit les installations suivantes, à titre exclusif : le camp de Ouakam, la station d’émission interarmées de Rufisque, le parc de Hann», lit-on dans le document signé le 18 avril 2012 à Paris par Nicolas Sarkozy et Macky Sall. De même, le Sénégal met «gracieusement» à la disposition des forces françaises les emprises suivantes «à titre non exclusif». Il s’agit de la partie militaire de l’aéroport Léopold Sédar Senghor, et des emprises de la base navale des forces armées sénégalaises occupées par les forces françaises (unité marine, direction des travaux, direction interarmées du service de santé des armées, centre médical interarmées et poste protection sécurité défense).

Toujours au titre des avantages, le Sénégal mettra «gracieusement» et «à titre exclusif» à la disposition des forces françaises les logements suivants : les villas d’autorités de la Pointe de la Rade, les logements de la cité Saint Exupéry, de l’unité marine, du camp de Ouakam, du Parc de Hann et de la station d’émission interarmées de Rufisque. Dans l’article 9 du même traité, il est souligné que «les installations, et tout objet qui s’y trouve, les matériels des forces françaises stationnées ou en transit, ne peuvent faire l’objet d’aucune perquisition, saisie ou mesure d’exécution». Autres faveurs et pas des moindres : les forces françaises «sont exemptes de tous impôts, taxes et autres droits similaires nationaux, régionaux ou communaux au titre des biens achetés, des services rendus et des installations utilisées par elles».
Cependant, il existe des exceptions à l’admission en franchise de tous droits et taxes des matériels, équipements et approvisionnements destinés aux forces françaises. En effet, le Sénégal autorise l’admission en franchise de tous droits et taxes des matériels, équipements et approvisionnements importés pour les besoins des forces françaises à l’exception des carburants ; Des denrées alimentaires à l’exclusion des rations de combat individuelles ; Des peintures et produits de peintures (vernis, diluant) à l’exception de peintures et produits à usage strictement militaires (notamment les peintures de coque de bâtiments de guerre, d’avions militaires ou de véhicules blindés). Des machines outils, outillages à main et petites fournitures consommables pour les ateliers.
Des matériels d’ameublement destinés aux membres du personnel à l’exception du mobilier de casernement destiné à un usage militaire. De l’électroménager destiné aux membres du personnel à l’exclusion des gros matériels destinés aux installations militaires, du matériel de sport y compris les embarcations et voiliers de plaisance. Des ordinateurs à l’exclusion des ordinateurs durcis à usage strictement militaire et enfin des produits pharmaceutiques. «Les services compétents du gouvernement de la République du Sénégal se réservent le droit de contrôler que les matériels, équipements et approvisionnements qui auraient bénéficié d’exonération de taxes ou droits, sont bien réservés à l’usage exclusif des forces françaises…», précise le traité signé entre les deux présidents Sarkozy et Sall.

7.Posté par roger borniche le 24/08/2012 04:17
latif coulibaly lagent de millicom proprietaire de tigo a reussi son coup 500000000 cfa de commission qui ont permis la creation de la gazette tous des corrompus



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