Parti dans le septentrion malien début avril, Olivier Dubois, journaliste français basé au Mali, a été enlevé par le groupe de soutien à l’Islam et aux musulmans (GSIM). Dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux dans la nuit du 4 au 5 mai, le journaliste lui-même affirme être otage du groupe jihadiste affilié à Aqmi.
La raison de son déplacement à Gao, dans le nord du Mali, était liée à son travail. Le reporter, pigiste pour deux médias français avait un rendez-vous avec un cadre du GSIM pour une interview.
Selon Liberation.fr lu à Dakaractu, c’est Abdallah Ag Albakaye que Olivier Dubois devait interviewer. Le jihadiste serait un cadre du GSIM à Talataye, dans la région de Ménaka, dans le nord du Mali.
Tout indique qu'en partant à Gao pour cette exclusivité rêvée par tous les journalistes spécialistes de la région, Olivier Dubois était conscient des risques encourus. La preuve, sa rédaction avait refusé l’interview. Rassuré par ses contacts jihadistes qui lui ont promis de garantir sa sécurité, le journaliste français a fait confiance à ces derniers.
Le 8 avril, il a quitté son hôtel seul, selon des témoins cités par Libération. Quand il est réapparu, c’est à travers une vidéo «sauvage» de 20 secondes dans laquelle il est l’interviewé et non l’intervieweur du groupe dont il était censé avoir un entretien avec l’un des cadres.
La raison de son déplacement à Gao, dans le nord du Mali, était liée à son travail. Le reporter, pigiste pour deux médias français avait un rendez-vous avec un cadre du GSIM pour une interview.
Selon Liberation.fr lu à Dakaractu, c’est Abdallah Ag Albakaye que Olivier Dubois devait interviewer. Le jihadiste serait un cadre du GSIM à Talataye, dans la région de Ménaka, dans le nord du Mali.
Tout indique qu'en partant à Gao pour cette exclusivité rêvée par tous les journalistes spécialistes de la région, Olivier Dubois était conscient des risques encourus. La preuve, sa rédaction avait refusé l’interview. Rassuré par ses contacts jihadistes qui lui ont promis de garantir sa sécurité, le journaliste français a fait confiance à ces derniers.
Le 8 avril, il a quitté son hôtel seul, selon des témoins cités par Libération. Quand il est réapparu, c’est à travers une vidéo «sauvage» de 20 secondes dans laquelle il est l’interviewé et non l’intervieweur du groupe dont il était censé avoir un entretien avec l’un des cadres.
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