Les dépenses effectuées par la CENA pour le contrôle et la supervision des élections départementales et municipales du 23 janvier 2022 sont diversement effectuées selon un planning bien défini.
Dans ce rapport parcouru à Dakaractu, la commission électorale nationale autonome (CENA) note que dans la rubrique achat de matériel électoral (cachets, fournitures de bureau, matériel informatique, supports juridiques), sont 343 930 942 francs dépensés ; Indemnités des contrôleurs affectés à la DAF : 20 735 000 francs.
Par contre, les dépenses effectuées au niveau des CEDA sont entre autres : Processus de dépôt, de vérification et de validation des listes de candidature : 131 420 000 francs ; Formation, indemnités des contrôleurs et superviseurs, location de véhicules, frais divers… 843 766 000 francs ; dotation de carburant : 36 156 000 francs ; Frais de communication : 2 760 000 francs.
En dehors de l’acquisition du matériel nécessaire au contrôle et à la supervision des opérations électorales, ces dépenses concernent, pour l’essentiel, les indemnités des 22 499 agents déployés par les CEDA sur le terrain, soit 6 778 superviseurs, 15 066 contrôleurs et 655 éléments de réserve.
La prise en charge correcte de ces dépenses se heurte encore une fois à la lancinante et récurrente question de la mobilisation des crédits affectés à la CENA.
Dans ce rapport parcouru à Dakaractu, la commission électorale nationale autonome (CENA) note que dans la rubrique achat de matériel électoral (cachets, fournitures de bureau, matériel informatique, supports juridiques), sont 343 930 942 francs dépensés ; Indemnités des contrôleurs affectés à la DAF : 20 735 000 francs.
Par contre, les dépenses effectuées au niveau des CEDA sont entre autres : Processus de dépôt, de vérification et de validation des listes de candidature : 131 420 000 francs ; Formation, indemnités des contrôleurs et superviseurs, location de véhicules, frais divers… 843 766 000 francs ; dotation de carburant : 36 156 000 francs ; Frais de communication : 2 760 000 francs.
En dehors de l’acquisition du matériel nécessaire au contrôle et à la supervision des opérations électorales, ces dépenses concernent, pour l’essentiel, les indemnités des 22 499 agents déployés par les CEDA sur le terrain, soit 6 778 superviseurs, 15 066 contrôleurs et 655 éléments de réserve.
La prise en charge correcte de ces dépenses se heurte encore une fois à la lancinante et récurrente question de la mobilisation des crédits affectés à la CENA.
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