" Dômmi Rew, Moy Tabax Rew". Ainsi pour dire qu'il faut mettre en avant le patriotisme économique, Guy Marius Sagna se veut clair pour ce qui est de la lutte contre le Covid-19 qui d'ailleurs, interpelle tout citoyen.
Invité du Grand Jury sur la RFM, l'activiste rappelle qu'il faut tout simplement mettre en avant nos industriels, nos petites et moyennes entreprises. Et il faudra en même temps, inclure les paysans et les éléveurs, parce qu'en réalité, "nous importons 91 milliards de blé par an. Cependant, il faudrait trouver une alternative à ce blé là", propose le membre du mouvement FRAPP.
Pour ce dernier, "nous ne pouvons pas, dans notre pays, donner la plus grosse partie des marchés aux investisseurs étrangers, et demander au secteur privé national de donner davantage". Selon Guy Marius Sagna, le privé africain, national ne peut donner que ce qu'il a. D'ailleurs, il proposera d’accorder une oreille attentive au comité regroupant les industries nationales avec notamment Abdourahmane Diouf qui proposait de redéfinir la notion d'entreprise nationale. L'activiste invoquera même l'analyse de Mansour Kama pour dire que : "le doing business ne doit pas seulement servir à dérouler le tapis rouge aux investisseurs étrangers".
Il terminera par donner certains chiffres avec les 18 millions de demandeurs d'emplois en Afrique et dont les 180.000 seulement sont absorbés par le privé étranger laissant ainsi celui national, prendre en charge la majeure partie de la demande. D'où l'importance selon Guy Marius Sagna, de renforcer le privé national surtout en cette période de crise sanitaire qui guette le continent et qui doit être canalisée et bien gérée.
Invité du Grand Jury sur la RFM, l'activiste rappelle qu'il faut tout simplement mettre en avant nos industriels, nos petites et moyennes entreprises. Et il faudra en même temps, inclure les paysans et les éléveurs, parce qu'en réalité, "nous importons 91 milliards de blé par an. Cependant, il faudrait trouver une alternative à ce blé là", propose le membre du mouvement FRAPP.
Pour ce dernier, "nous ne pouvons pas, dans notre pays, donner la plus grosse partie des marchés aux investisseurs étrangers, et demander au secteur privé national de donner davantage". Selon Guy Marius Sagna, le privé africain, national ne peut donner que ce qu'il a. D'ailleurs, il proposera d’accorder une oreille attentive au comité regroupant les industries nationales avec notamment Abdourahmane Diouf qui proposait de redéfinir la notion d'entreprise nationale. L'activiste invoquera même l'analyse de Mansour Kama pour dire que : "le doing business ne doit pas seulement servir à dérouler le tapis rouge aux investisseurs étrangers".
Il terminera par donner certains chiffres avec les 18 millions de demandeurs d'emplois en Afrique et dont les 180.000 seulement sont absorbés par le privé étranger laissant ainsi celui national, prendre en charge la majeure partie de la demande. D'où l'importance selon Guy Marius Sagna, de renforcer le privé national surtout en cette période de crise sanitaire qui guette le continent et qui doit être canalisée et bien gérée.
Autres articles
-
Affaire Aïssatou Dème Ndiaye : la réceptionniste de l'hôtel Exotique parc est libre
-
Présidence de la République: Reçu par le PR, le secteur privé s’engage à accompagner l’État dans la création d’emplois et la réduction du coût de la vie.
-
Assemblée nationale : Le Groupe Parlementaire BBY réaffirme sa volonté d’harmoniser sa position pour toute question d’intérêt commun
-
Acte contre-nature : deux hommes surpris en pleins ébats sexuels au Mémorial de Dakar-Gorée, l'un est porteur du VIH Sida
-
Aibd: Grogne des travailleurs de la société Teranga Sûreté Aéroportuaire