Le Syndicat Unitaire et Démocratique des Enseignants du Sénégal (SUDES), à travers un communiqué, a dénoncé ce qu’il appelle une discrimination injustifiable à la lumière du principe « à travail égal, traitement égal ».
En effet, d’après le communiqué, les non fonctionnaires référencés sont discriminés injustement dans l’évolution de leur carrière avec des reclassements rétrogradants.
Le syndicat de dénoncer également le sort peu enviable qui leur est réservé à la retraite avec une pension de misère en raison de la fixation arbitraire d’un faible taux de cotisation sociale et du mode de calcul, mais aussi dans la prise en charge des enfants au titre des allocations familiales.
« L’examen de tout ce dispositif juridique relatif aux non fonctionnaires de l’État, ne permet pas de comprendre encore moins d’accepter le fondement justificatif de la disparité de traitement basée sur le critère de l’âge et ses conséquences discriminatoires dans l’évolution de carrière et à la retraite. Le seul justificatif décliné dans la circulaire présidentielle n°9 du 25 Janvier 1967 est « la conjoncture économique et financière » qui commande que « le reclassement ou la promotion devra produire des effets pour compter de la date de signature de l’acte réglementaire », mentionne le communiqué.
Le SUDES de mentionner que cette circulaire présidentielle vieille de plus de 50 ans est devenue obsolète, illégitime, voire illégale. Il conseille de la supprimer au plus vite pour le respect des principes de justice, d’équité et de l’État de droit.
Pour le SUDES, il devient impératif de supprimer toutes les dispositions sources de discrimination injustifiable vis-à-vis des non fonctionnaires de l’État appelés décisionnaires particulièrement pour les non fonctionnaires référencés.
Pour régler ce problème, le SUDES, dans la perspective d’un bouleversement législatif et réglementaire est à pied d’œuvre pour l’élaboration d’un document d’analyses et de propositions argumentées en vue de contribuer à la recherche de solutions concertées à ce douloureux problème qui affecte une partie de plus en plus importante des agents de la Fonction publique, en particulier les enseignants non fonctionnaires.
En définitive, le SUDES souligne qu'il tient à apporter sa contribution à la résolution de cette revendication légitime.
En effet, d’après le communiqué, les non fonctionnaires référencés sont discriminés injustement dans l’évolution de leur carrière avec des reclassements rétrogradants.
Le syndicat de dénoncer également le sort peu enviable qui leur est réservé à la retraite avec une pension de misère en raison de la fixation arbitraire d’un faible taux de cotisation sociale et du mode de calcul, mais aussi dans la prise en charge des enfants au titre des allocations familiales.
« L’examen de tout ce dispositif juridique relatif aux non fonctionnaires de l’État, ne permet pas de comprendre encore moins d’accepter le fondement justificatif de la disparité de traitement basée sur le critère de l’âge et ses conséquences discriminatoires dans l’évolution de carrière et à la retraite. Le seul justificatif décliné dans la circulaire présidentielle n°9 du 25 Janvier 1967 est « la conjoncture économique et financière » qui commande que « le reclassement ou la promotion devra produire des effets pour compter de la date de signature de l’acte réglementaire », mentionne le communiqué.
Le SUDES de mentionner que cette circulaire présidentielle vieille de plus de 50 ans est devenue obsolète, illégitime, voire illégale. Il conseille de la supprimer au plus vite pour le respect des principes de justice, d’équité et de l’État de droit.
Pour le SUDES, il devient impératif de supprimer toutes les dispositions sources de discrimination injustifiable vis-à-vis des non fonctionnaires de l’État appelés décisionnaires particulièrement pour les non fonctionnaires référencés.
Pour régler ce problème, le SUDES, dans la perspective d’un bouleversement législatif et réglementaire est à pied d’œuvre pour l’élaboration d’un document d’analyses et de propositions argumentées en vue de contribuer à la recherche de solutions concertées à ce douloureux problème qui affecte une partie de plus en plus importante des agents de la Fonction publique, en particulier les enseignants non fonctionnaires.
En définitive, le SUDES souligne qu'il tient à apporter sa contribution à la résolution de cette revendication légitime.
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