Le projet « Un nouveau modèle de classes passerelles pour améliorer l’apprentissage des enfants et des jeunes non scolarisés » dans les six (06) pays membres de la Fondation Karanta en Afrique de l’Ouest, est un projet de recherche qui s’inscrit dans le cadre de l’appui de la Fondation Karanta aux pays membres dans leurs efforts de lutte contre l’analphabétisme.
Il a pour objectif général de mettre en place un programme innovant visant à offrir de nouvelles opportunités aux enfants et aux jeunes non scolarisés (de 8 à 15 ans) à travers des passerelles entre l’éducation non formelle et l’éducation formelle.
Il répond aux défis de l’AENF de la sous-région, dans un contexte de crises sécuritaire et sanitaire avec la pandémie de la Covid-19. Ces crises affectent la scolarisation de jeunes et adolescents, réduisant ainsi considérablement les chances d’atteindre les cibles 4.5, 4.6 des Objectifs de Développement Durable (ODD4) de l’Agenda 2030.
Le projet est subventionné par le Centre de Recherche pour le Développement International (CRDI) dans le cadre de l’initiative KIX 21 du partenariat mondial pour l’éducation. Il est mis en œuvre par la Fondation Karanta en partenariat avec le Réseau Ouest et Centre Africain de Recherche en Education (ROCARE) et le Forum des Educatrices Africaines (FAWE).
Les groupes cibles sont :
- les enfants issus des minorités ou des couches vulnérables ;
- les enfants des populations nomades ;ou celles vivant dans les quartiers défavorisés ;
- les enfants en situation de rues ou ceux vivant dans des institutions (Orphelinat, centres pénitenciers, ….) ;
- les enfants des réfugiés et/ou des populations déplacées (internes et externes) ;
- les enfants marginalisés.
Ces bénéficiaires sont choisis parmi les enfants confrontés aux problématiques comme la fermeture d’écoles pour raison sécuritaire ou à cause de la COVID 19, le mariage précoce, l’exploitation des enfants, le manque d’infrastructures éducatives, les réalités socio-économiques des parents, …
Le projet s’étale sur trente-trois (33) mois. Il a démarré le 1er avril 2021. Après les activités de la phase d’initialisation, de formation des acteurs clés et la recherche dans les pays, les prochaines étapes prévoient l’expérimentation du modèle retenu à l'issue de la recherche et l’élaboration d’un plan de mise à l’échelle de l’innovation. L’ouverture des centres sera précédée par le lancement officiel du projet qui servira de cadre pour présenter le rapport synthèse de la recherche.
Conformément à la philosophie de la théorie du changement de KIX, le projet veillera à l’implication de toutes les parties prenantes pertinentes (Ministères de l’éducation et autres Ministères partenaires, collectivités territoriales, Organisations de la société civile, communautés à la base) et au renforcement de leurs capacités.
Il a pour objectif général de mettre en place un programme innovant visant à offrir de nouvelles opportunités aux enfants et aux jeunes non scolarisés (de 8 à 15 ans) à travers des passerelles entre l’éducation non formelle et l’éducation formelle.
Il répond aux défis de l’AENF de la sous-région, dans un contexte de crises sécuritaire et sanitaire avec la pandémie de la Covid-19. Ces crises affectent la scolarisation de jeunes et adolescents, réduisant ainsi considérablement les chances d’atteindre les cibles 4.5, 4.6 des Objectifs de Développement Durable (ODD4) de l’Agenda 2030.
Le projet est subventionné par le Centre de Recherche pour le Développement International (CRDI) dans le cadre de l’initiative KIX 21 du partenariat mondial pour l’éducation. Il est mis en œuvre par la Fondation Karanta en partenariat avec le Réseau Ouest et Centre Africain de Recherche en Education (ROCARE) et le Forum des Educatrices Africaines (FAWE).
Les groupes cibles sont :
- les enfants issus des minorités ou des couches vulnérables ;
- les enfants des populations nomades ;ou celles vivant dans les quartiers défavorisés ;
- les enfants en situation de rues ou ceux vivant dans des institutions (Orphelinat, centres pénitenciers, ….) ;
- les enfants des réfugiés et/ou des populations déplacées (internes et externes) ;
- les enfants marginalisés.
Ces bénéficiaires sont choisis parmi les enfants confrontés aux problématiques comme la fermeture d’écoles pour raison sécuritaire ou à cause de la COVID 19, le mariage précoce, l’exploitation des enfants, le manque d’infrastructures éducatives, les réalités socio-économiques des parents, …
Le projet s’étale sur trente-trois (33) mois. Il a démarré le 1er avril 2021. Après les activités de la phase d’initialisation, de formation des acteurs clés et la recherche dans les pays, les prochaines étapes prévoient l’expérimentation du modèle retenu à l'issue de la recherche et l’élaboration d’un plan de mise à l’échelle de l’innovation. L’ouverture des centres sera précédée par le lancement officiel du projet qui servira de cadre pour présenter le rapport synthèse de la recherche.
Conformément à la philosophie de la théorie du changement de KIX, le projet veillera à l’implication de toutes les parties prenantes pertinentes (Ministères de l’éducation et autres Ministères partenaires, collectivités territoriales, Organisations de la société civile, communautés à la base) et au renforcement de leurs capacités.
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