Avec la cacophonie qui a régné, juste avant le départ pour Dongguan, l'avantage psychologique était clairement en faveur des adversaires du Sénégal dans le groupe H. L'Australie, le Canada et la Lituanie se sont ainsi offert un festival offensif face aux Lions. Dans le «groupe de la mort» du premier tour du Mondial, la logique a été respectée.
Et, le Sénégal a été renversé d’abord par la Lituanie (101-47) puis l'Australie, qui s’est imposée malgré une prestation mitigée face aux Lions accrocheurs (81-68), et enfin le Canada (82-60). Cet échec est seulement le résultat de la mauvaise préparation entamée à seulement un mois de la compétition. C'est un constat dressé par différents observateurs.
La préparation mise en cause
L’équipe nationale masculine a pris la mauvaise habitude d'aborder les grands rendez-vous du basket-ball avec une préparation en queue de poisson. Pire, le sélectionneur Moustapha Gaye était privé de plusieurs cadres en raison de désistements à répétition. Il était impossible de prévoir Gorgui Sy Dieng et Tacko Fall, car la préparation a été mise en cause suite au limogeagede Abdourahmane Ndiaye dit « Adidas » de son poste d’entraîneur des Lions du basket.
« Nous n’avons pas assez de volume de jeu. En 20 jours de travail effectif, je pense qu’on a conçu quelque chose, pour jouer 20 à 25 minutes. Mais on n’a pas encore les jambes pour durer », a avoué l’entraîneur des Lions en conférence de presse d’après Sénégal-Canada (60-82). Etre prêt physiquement, cela paraît évident mais c'est loin d'être toujours le cas pour l’équine nationale masculine de basket-ball. Pourtant, savoir qu'on est capable d'aller au bout dans de bonnes conditions - ou du moins acceptables - permet d'appréhender la compétition avec beaucoup plus de sérénité et de confiance.
« Comment est-ce qu’une équipe nationale travaille au quotidien à l’improviste ? »
« Comment est-ce qu’une équipe nationale travaille au quotidien à l’improviste ? Comment est-ce qu’une équipe nationale va se préparer et se concentrer lorsqu’elle est stressée et mécontente de tous les évènements qui se produisent au jour le jour ? Tout cela, en sachant depuis février, que nous irons à la coupe du monde ». Cette publication du capitaine Maurice Ndour via Instagram était forte et surprenante, tellement qu'il est impossible de ne pas y associer quelques arrière-pensées.
Et son message ne laisse aucune place au doute, quant à l’existence d’un malaise entre l’équipe et les autorités du Basket sénégalais. La cacophonie a régné : « Comment une équipe nationale peut se préparer avec un seul ballon de basket officiel Fiba ? Comment est-ce qu’une équipe nationale peut-elle se fait virer de ses chambres d’hôtel durant un regroupement ? Comment une équipe nationale peut se préparer et s’entraîner quand elle ne peut même pas avoir un terrain fonctionnel et libre ? » Les dernières semaines de préparation vécues par Maurice Ndour et ses coéquipiers ne ressemblent certainement pas à ce qu’il espérait au moment de d’accepter le capitanat. « L’argent n’a jamais été le problème et ne le sera jamais. Donc arrêtons de se cacher derrière ça, chaque fois qu’il y a problème », avait recadré le capitaine de l’équipe. Ce n'était pas sérieux...
Et, le Sénégal a été renversé d’abord par la Lituanie (101-47) puis l'Australie, qui s’est imposée malgré une prestation mitigée face aux Lions accrocheurs (81-68), et enfin le Canada (82-60). Cet échec est seulement le résultat de la mauvaise préparation entamée à seulement un mois de la compétition. C'est un constat dressé par différents observateurs.
La préparation mise en cause
L’équipe nationale masculine a pris la mauvaise habitude d'aborder les grands rendez-vous du basket-ball avec une préparation en queue de poisson. Pire, le sélectionneur Moustapha Gaye était privé de plusieurs cadres en raison de désistements à répétition. Il était impossible de prévoir Gorgui Sy Dieng et Tacko Fall, car la préparation a été mise en cause suite au limogeagede Abdourahmane Ndiaye dit « Adidas » de son poste d’entraîneur des Lions du basket.
« Nous n’avons pas assez de volume de jeu. En 20 jours de travail effectif, je pense qu’on a conçu quelque chose, pour jouer 20 à 25 minutes. Mais on n’a pas encore les jambes pour durer », a avoué l’entraîneur des Lions en conférence de presse d’après Sénégal-Canada (60-82). Etre prêt physiquement, cela paraît évident mais c'est loin d'être toujours le cas pour l’équine nationale masculine de basket-ball. Pourtant, savoir qu'on est capable d'aller au bout dans de bonnes conditions - ou du moins acceptables - permet d'appréhender la compétition avec beaucoup plus de sérénité et de confiance.
« Comment est-ce qu’une équipe nationale travaille au quotidien à l’improviste ? »
« Comment est-ce qu’une équipe nationale travaille au quotidien à l’improviste ? Comment est-ce qu’une équipe nationale va se préparer et se concentrer lorsqu’elle est stressée et mécontente de tous les évènements qui se produisent au jour le jour ? Tout cela, en sachant depuis février, que nous irons à la coupe du monde ». Cette publication du capitaine Maurice Ndour via Instagram était forte et surprenante, tellement qu'il est impossible de ne pas y associer quelques arrière-pensées.
Et son message ne laisse aucune place au doute, quant à l’existence d’un malaise entre l’équipe et les autorités du Basket sénégalais. La cacophonie a régné : « Comment une équipe nationale peut se préparer avec un seul ballon de basket officiel Fiba ? Comment est-ce qu’une équipe nationale peut-elle se fait virer de ses chambres d’hôtel durant un regroupement ? Comment une équipe nationale peut se préparer et s’entraîner quand elle ne peut même pas avoir un terrain fonctionnel et libre ? »
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