Tous les « télé pilotes » de drone devront à partir de 2022 détenir une licence valide avant de piloter ces appareils, a révélé Daouda Samba de l’autorité de l’aviation civile. Une exigence de l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI) qui devrait auditer le Sénégal du 11 au 21 février.
« La réglementation on l’a mise en place il y a un an, et donc cela exige des utilisateurs à se conformer. On s’est rendu compte qu'il y a beaucoup de demandes d’utilisation de drones. Le Sénégal même fait partie des premiers pays qui disposent d’une réglementation et cela exige des personnes qui vont piloter l’appareil à avoir une formation requise pour opérer en toute sécurité. Et que les drones puissent effectuer leur mission convenablement » a-t-il dit. Aussi a-t-il ajouté, à partir de 2022 les « télé-pilotes» devront obligatoirement détenir une licence valide. « Elle peut être délivrée ou validée par l’ANACIM. Si la France ou un autre pays délivre la licence, l’ANACIM suivant un processus bien défini peut valider ou reconnaitre cette licence. C’est pour cela que récemment on a amendé notre règlement sur les licences pour intégrer tout ce qui est système d’aéronefs « télé-piloté » et d’exigence de détenir une licence.
M Samba prenait part au lancement de l’association des professionnels et amateurs de Drones (APAD). Une association née du constat, a dit Malick Diagne son Président « de l’utilisation des drones cantonnée à des fins cinématographiques ou de loisirs ».
« Il a donc semblé urgent de créer un cadre permettant de promouvoir au niveau national et international les potentialités aéronefs sans pilote par la création de cette association ». Cette dernière permettra de « supporter et de coordonner les actions de formation sur l’utilisation des drones » a-t-il aussi fait savoir.
« La réglementation on l’a mise en place il y a un an, et donc cela exige des utilisateurs à se conformer. On s’est rendu compte qu'il y a beaucoup de demandes d’utilisation de drones. Le Sénégal même fait partie des premiers pays qui disposent d’une réglementation et cela exige des personnes qui vont piloter l’appareil à avoir une formation requise pour opérer en toute sécurité. Et que les drones puissent effectuer leur mission convenablement » a-t-il dit. Aussi a-t-il ajouté, à partir de 2022 les « télé-pilotes» devront obligatoirement détenir une licence valide. « Elle peut être délivrée ou validée par l’ANACIM. Si la France ou un autre pays délivre la licence, l’ANACIM suivant un processus bien défini peut valider ou reconnaitre cette licence. C’est pour cela que récemment on a amendé notre règlement sur les licences pour intégrer tout ce qui est système d’aéronefs « télé-piloté » et d’exigence de détenir une licence.
M Samba prenait part au lancement de l’association des professionnels et amateurs de Drones (APAD). Une association née du constat, a dit Malick Diagne son Président « de l’utilisation des drones cantonnée à des fins cinématographiques ou de loisirs ».
« Il a donc semblé urgent de créer un cadre permettant de promouvoir au niveau national et international les potentialités aéronefs sans pilote par la création de cette association ». Cette dernière permettra de « supporter et de coordonner les actions de formation sur l’utilisation des drones » a-t-il aussi fait savoir.
Autres articles
-
Rapport 2022 : L’OFNAC recommande d’ériger la corruption en crime international
-
TOUBA- Un Hcct , coordonnateur de Rewmi dans la cité , quitte Idrissa Seck - Mafary Ndiaye évoque la convenance personnelle
-
Culture: Report de la 15e édition de la Biennale de l'Art africain contemporain " DAKAR'ART"
-
OFNAC : « Depuis 2014, seuls 797 assujettis ont fait leur déclaration de patrimoine, 154 ont quitté leurs fonctions sans satisfaire à l’obligation (Rapport 2022)
-
Gestion de la Covid-19 : L’Ofnac transmet le dossier au procureur de la République (Rapport 2022)