Les membres de Aar li nu bokk, Noõ lank et Doy na ont tenu un point de presse ce mardi, suite à leur manifestation du vendredi dernier.
Selon eux, les terres de Ndingler et Djilakh devraient être occupées en priorité par les paysans qui y cultivent, qui y travaillent et y vivent depuis des siècles.
Ils dénoncent la mauvaise gestion des terres du Sénégal au profit des puissances d’argent de l’étranger et du Sénégal au détriment des paysans qui vont être transformés en journaliers agricoles sur leurs propres terres...
Incitant par la même occasion une poursuite en justice de Sedima à l’encontre de l’État du Sénégal car la cible ne serait pas Sedima, mais plutôt l’État du Sénégal
Ils ont expliqué par ailleurs, qu’ils sont pour l’agro-business, mais pas au détriment des exploitations agricoles familiales et exigent à cet effet, que l’État restitue définitivement et sans condition les terres aux paysans de Ndingler et Djilakh et que Sedima se retourne contre l’État « irresponsable » qui gère le foncier de manière informelle.
Guy Marius Sagna, leader du collectif Noõ Lank, de rajouter que « si l’État avait délimité les zones urbaines, celles classées, les zones de terroirs réservées aux paysans et les zones pionnières réservées aux projets, ce genre de problème n’existerait pas, ni à Ndingler, ni à la forêt classée de Mbao. »
Ils menacent et demandent la restitution des terres aux paysans partout où elles ont été accaparées, la suspension des attributions de terre, un audit foncier national, la délimitation des zones du domaine national, un code foncier ainsi qu’une réforme agraire.
Selon eux, les terres de Ndingler et Djilakh devraient être occupées en priorité par les paysans qui y cultivent, qui y travaillent et y vivent depuis des siècles.
Ils dénoncent la mauvaise gestion des terres du Sénégal au profit des puissances d’argent de l’étranger et du Sénégal au détriment des paysans qui vont être transformés en journaliers agricoles sur leurs propres terres...
Incitant par la même occasion une poursuite en justice de Sedima à l’encontre de l’État du Sénégal car la cible ne serait pas Sedima, mais plutôt l’État du Sénégal
Ils ont expliqué par ailleurs, qu’ils sont pour l’agro-business, mais pas au détriment des exploitations agricoles familiales et exigent à cet effet, que l’État restitue définitivement et sans condition les terres aux paysans de Ndingler et Djilakh et que Sedima se retourne contre l’État « irresponsable » qui gère le foncier de manière informelle.
Guy Marius Sagna, leader du collectif Noõ Lank, de rajouter que « si l’État avait délimité les zones urbaines, celles classées, les zones de terroirs réservées aux paysans et les zones pionnières réservées aux projets, ce genre de problème n’existerait pas, ni à Ndingler, ni à la forêt classée de Mbao. »
Ils menacent et demandent la restitution des terres aux paysans partout où elles ont été accaparées, la suspension des attributions de terre, un audit foncier national, la délimitation des zones du domaine national, un code foncier ainsi qu’une réforme agraire.
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