Le Centre International de Conférence Abdou Diouf de Diamniadio a accueilli ce lundi 2 décembre la Conférence Internationale sur Développement Durable et Dette soutenable. Un panel sur la rentabilité des investissements publics qui a permis aux acteurs d’aborder plusieurs questions relatives aux problèmes qui causent l’échec de ces investissements.
"Un investissement public s’il n’est pas rentable, s’il ne génère pas de valeur, va engendrer un problème d’endettement insoutenable qui se répercute chez les populations" a dit Dalbis Hippolyte, membre du cercle des économistes. « Il faut faire en sorte que cet investissement soit rentable. On a tendance à trop se focaliser sur l’aspect financier et l’aspect ingénieur, mais il manque l’aspect incontournable qui est la gestion de projet ». Ces gestionnaires de projet interviennent à tous les niveaux, à toutes les phases du développement du projet.
Selon lui, « il faut prendre en compte toutes les composantes du projet. Parfois oublier une des dimensions suffit à faire en sorte que le projet ne soit pas réussi. Il faut que les coûts et les délais soient maîtrisés. Un projet d’infrastructure qui a été lancé et qui a connu sept ans ou dix ans de retard ne peut pas connaître un retour d’investissement », déplore-t-il. Alors pour protéger ces investissements, on doit prendre en compte tout l’écosystème du projet et faire en sorte que le renouvellement de l’investissement ne soit plus nécessaire...
"Un investissement public s’il n’est pas rentable, s’il ne génère pas de valeur, va engendrer un problème d’endettement insoutenable qui se répercute chez les populations" a dit Dalbis Hippolyte, membre du cercle des économistes. « Il faut faire en sorte que cet investissement soit rentable. On a tendance à trop se focaliser sur l’aspect financier et l’aspect ingénieur, mais il manque l’aspect incontournable qui est la gestion de projet ». Ces gestionnaires de projet interviennent à tous les niveaux, à toutes les phases du développement du projet.
Selon lui, « il faut prendre en compte toutes les composantes du projet. Parfois oublier une des dimensions suffit à faire en sorte que le projet ne soit pas réussi. Il faut que les coûts et les délais soient maîtrisés. Un projet d’infrastructure qui a été lancé et qui a connu sept ans ou dix ans de retard ne peut pas connaître un retour d’investissement », déplore-t-il. Alors pour protéger ces investissements, on doit prendre en compte tout l’écosystème du projet et faire en sorte que le renouvellement de l’investissement ne soit plus nécessaire...
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