Une rupture de confiance s'est créée entre l'organisation des syndicats et le gouvernement. Ce, suite à une absence des séances de monitoring avant l'élection présidentielle dernière. À en croire Abdoulaye Ndoye du Cusems, cette rupture n'est pas bonne pour les deux parties encore moins pour le dialogue. À cet effet, il demande la reprise de ces séances.
S'exprimant sur les rémunérations, M. Ndoye dira : "le système indemnitaire au Sénégal est inadéquat et inéquitable. L'architecte de l'échelonnement industriel n'est pas homogène".
Poursuivant ses propos, il soutient : "on ne peut pas dialoguer au Sénégal sans évoquer la question du système de rémunération parce que c'est une question qui est au coeur des préoccupations des travailleurs, c'est une question qui transcendent les organisations syndicales".
Dès lors que nous sommes obligés, aujourd'hui, de dialoguer, il faut que le dialogue soit inclusif. Si tant est que nous voulons réellement construire le Sénégal, stabiliser nos institutions motiver les travailleur et faire du Sénégal un pays développé.
À leur niveau, informe le porte parole, en tant que sentinelles, les syndicats veilleront comme ils sont en train de veiller au respect strict du protocole d'accord du 30 avril 2018, à la correction des iniquités et disparités constatées et révélées par l'étude sur le système de rémunération, ils veilleront également à l'application stricte des résolutions qui sortiront des débats.
S'exprimant sur les rémunérations, M. Ndoye dira : "le système indemnitaire au Sénégal est inadéquat et inéquitable. L'architecte de l'échelonnement industriel n'est pas homogène".
Poursuivant ses propos, il soutient : "on ne peut pas dialoguer au Sénégal sans évoquer la question du système de rémunération parce que c'est une question qui est au coeur des préoccupations des travailleurs, c'est une question qui transcendent les organisations syndicales".
Dès lors que nous sommes obligés, aujourd'hui, de dialoguer, il faut que le dialogue soit inclusif. Si tant est que nous voulons réellement construire le Sénégal, stabiliser nos institutions motiver les travailleur et faire du Sénégal un pays développé.
À leur niveau, informe le porte parole, en tant que sentinelles, les syndicats veilleront comme ils sont en train de veiller au respect strict du protocole d'accord du 30 avril 2018, à la correction des iniquités et disparités constatées et révélées par l'étude sur le système de rémunération, ils veilleront également à l'application stricte des résolutions qui sortiront des débats.
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