Dans un contexte apaisé mais marqué par les tensions récentes, les autorités sénégalaises ont lancé un Dialogue national élargi. Cette initiative réunit la classe politique, les autorités religieuses, ainsi que les forces économiques, juridiques, culturelles et sociales, dans le but de repenser en profondeur le système politique du pays.
Le président Bassirou Diomaye Faye a officiellement ouvert cette deuxième phase de concertation depuis son accession à la magistrature suprême. Il a insisté sur la nécessité d'un processus inclusif et constructif, mené à l'abri des urgences électorales.
« Nous voici rassemblés dans le cadre du dialogue, pour la deuxième fois depuis mon accession à la magistrature suprême. Pour cette année, nous ouvrons des concertations larges et inclusives autour du thème d'intérêt national, à savoir le système politique », a déclaré le chef de l'État.
Dans son allocution, le président a rappelé que ce dialogue s'inscrit dans une longue tradition nationale de concertation. Son objectif n'est pas d'apaiser une crise immédiate, mais de construire ensemble l'avenir politique du Sénégal. « C'est toute la vertu d'un dialogue organisé en temps de paix, non pas donc pour juguler une tension socio-politique stressante pour toute la collectivité, mais pour écrire ensemble des pages encore plus belles de notre récit politique national », a-t-il ajouté.
Diomaye Faye a affirmé sa volonté de réformer le système électoral, évoquant plusieurs axes prioritaires : « Notre démocratie ne saurait faire davantage l'économie d'une réflexion sur la rationalisation du calendrier électoral, la création d'une commission électorale nationale indépendante... la dématérialisation du processus électoral, le statut de l'opposition, le parrainage, entre autres. »
Le président a également tenu à rendre hommage aux victimes des violences politiques passées : « Je m'incline avec respect devant la mémoire de toutes les victimes qui, de l'indépendance à nos jours, jalonnent le douloureux chemin de notre marche vers une démocratie achevée. »
Félicitant le Facilitateur général Dr Chergui pour sa rigueur et son attachement aux valeurs républicaines, il a salué l'engagement des participants et l'enthousiasme citoyen suscité par la plateforme Jubanti, qui a déjà recueilli plus de 13 000 propositions.
« Je forme le vœu ardent que vos échanges soient empreints de responsabilité, d'écoute et de dépassement de soi... et guidés par l'intérêt supérieur du Sénégal », a-t-il conclu, avant de déclarer officiellement ouverts les travaux du dialogue national.
Le président Bassirou Diomaye Faye a officiellement ouvert cette deuxième phase de concertation depuis son accession à la magistrature suprême. Il a insisté sur la nécessité d'un processus inclusif et constructif, mené à l'abri des urgences électorales.
« Nous voici rassemblés dans le cadre du dialogue, pour la deuxième fois depuis mon accession à la magistrature suprême. Pour cette année, nous ouvrons des concertations larges et inclusives autour du thème d'intérêt national, à savoir le système politique », a déclaré le chef de l'État.
Dans son allocution, le président a rappelé que ce dialogue s'inscrit dans une longue tradition nationale de concertation. Son objectif n'est pas d'apaiser une crise immédiate, mais de construire ensemble l'avenir politique du Sénégal. « C'est toute la vertu d'un dialogue organisé en temps de paix, non pas donc pour juguler une tension socio-politique stressante pour toute la collectivité, mais pour écrire ensemble des pages encore plus belles de notre récit politique national », a-t-il ajouté.
Diomaye Faye a affirmé sa volonté de réformer le système électoral, évoquant plusieurs axes prioritaires : « Notre démocratie ne saurait faire davantage l'économie d'une réflexion sur la rationalisation du calendrier électoral, la création d'une commission électorale nationale indépendante... la dématérialisation du processus électoral, le statut de l'opposition, le parrainage, entre autres. »
Le président a également tenu à rendre hommage aux victimes des violences politiques passées : « Je m'incline avec respect devant la mémoire de toutes les victimes qui, de l'indépendance à nos jours, jalonnent le douloureux chemin de notre marche vers une démocratie achevée. »
Félicitant le Facilitateur général Dr Chergui pour sa rigueur et son attachement aux valeurs républicaines, il a salué l'engagement des participants et l'enthousiasme citoyen suscité par la plateforme Jubanti, qui a déjà recueilli plus de 13 000 propositions.
« Je forme le vœu ardent que vos échanges soient empreints de responsabilité, d'écoute et de dépassement de soi... et guidés par l'intérêt supérieur du Sénégal », a-t-il conclu, avant de déclarer officiellement ouverts les travaux du dialogue national.
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