Regroupés autour d'un collectif dénommé SAY WI (le fagot) pour la défense de leurs intérêts, ces professionnels de la culture ont tenu un point de presse cet après-midi pour faire l'état de leur situation et celle du monde de la culture auquel ils appartiennent. En effet, en cette période de crise sanitaire, le monde de la culture reste plus que jamais impacté comme d'ailleurs, plusieurs secteurs. Toutefois, le collectif SAY WI a voulu confirmer devant l'opinion nationale et internationale que la société sénégalaise du droit d'auteur et des droits voisins (SODAV) est loin d'être la structure qui pourrait prendre en charge, de manière efficace les préoccupations des acteurs de la culture.
Ce qui est revenu le plus souvent sur leur revendications, c'est le fait que depuis 2016 où d'ailleurs la structure a commencé à exister, elle n'a jamais octroyé de cartes de membre aux ayants droit. Pire, "les artistes doutent même du nombre d'ayants droit dans le cadre de la répartition des droits d'auteur et des droits voisins", décrie le collectif. À cela s'ajoute ce manque de transparence dans la gestion de la SODAV mais également ce management qui pose problème et qui a decu l'espoir et les attentes de l'écrasante majorité des artistes.
En outre, le collectif SAY WI avec à sa tête Idrissa Diop, soutient que "la plupart des festivals et activités culturelles soutenus financièrement par la SODAV sont organisés par les membres du conseil d'administration, ignorant ainsi l'écrasante majorité des ayants droit".
Ils interpellent pour finir, dans ce contexte de pandémie, les autorités à se pencher sur la situation délicate qu'ils traversent et sur le secteur de manière globale pour que la culture retrouve son lustre d'antan.
Ce qui est revenu le plus souvent sur leur revendications, c'est le fait que depuis 2016 où d'ailleurs la structure a commencé à exister, elle n'a jamais octroyé de cartes de membre aux ayants droit. Pire, "les artistes doutent même du nombre d'ayants droit dans le cadre de la répartition des droits d'auteur et des droits voisins", décrie le collectif. À cela s'ajoute ce manque de transparence dans la gestion de la SODAV mais également ce management qui pose problème et qui a decu l'espoir et les attentes de l'écrasante majorité des artistes.
En outre, le collectif SAY WI avec à sa tête Idrissa Diop, soutient que "la plupart des festivals et activités culturelles soutenus financièrement par la SODAV sont organisés par les membres du conseil d'administration, ignorant ainsi l'écrasante majorité des ayants droit".
Ils interpellent pour finir, dans ce contexte de pandémie, les autorités à se pencher sur la situation délicate qu'ils traversent et sur le secteur de manière globale pour que la culture retrouve son lustre d'antan.
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