François Mancabou est décédé ce matin à l’Hôpital Principal de Dakar où il était interné pour des soins. Juste après l'annonce de son trépas, Amnesty Sénégal a sorti un communiqué pour exiger une autopsie et l'ouverture d'une enquête. C'est aussi le tour de la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO), la Ligue Sénégalaise des Droits Humains (LSDH) et Amnesty International Sénégal (AIS) de monter au créneau. Ces organisations se disent “très préoccupées par le décès de François Mancabou, survenu le 13 juillet 2022, dans des circonstances non encore élucidées par les autorités judiciaires."
Après avoir rappelé que les proches de la victime ont déclaré qu'il avait subi des actes de torture et de mauvais traitements, ces organisations précisent que "la victime n’a pas été inculpée ni placée sous mandat de dépôt et a rendu l’âme en étant encore entre les mains des autorités policières." À cet effet, la RADDHO, la LSDH et Amnesty International Sénégal, tiennent à rappeler aux autorités sénégalaises que la Convention des Nations Unies contre la Torture et autres traitements cruels, inhumains ou dégradants, fait obligation aux États parties d’ouvrir sans délai une enquête indépendante et impartiale en cas d’allégation de torture. En outre, elles exigent l’ouverture d’une enquête indépendante pour faire la lumière sur les circonstances du décès de François Mancabou.
Pour finir, les organisations des droits de l'homme demandent au Procureur général de la République d’ordonner rapidement l’autopsie.
Après avoir rappelé que les proches de la victime ont déclaré qu'il avait subi des actes de torture et de mauvais traitements, ces organisations précisent que "la victime n’a pas été inculpée ni placée sous mandat de dépôt et a rendu l’âme en étant encore entre les mains des autorités policières." À cet effet, la RADDHO, la LSDH et Amnesty International Sénégal, tiennent à rappeler aux autorités sénégalaises que la Convention des Nations Unies contre la Torture et autres traitements cruels, inhumains ou dégradants, fait obligation aux États parties d’ouvrir sans délai une enquête indépendante et impartiale en cas d’allégation de torture. En outre, elles exigent l’ouverture d’une enquête indépendante pour faire la lumière sur les circonstances du décès de François Mancabou.
Pour finir, les organisations des droits de l'homme demandent au Procureur général de la République d’ordonner rapidement l’autopsie.
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