Pour une démarche inclusive et cohérente dans la lutte contre la pauvreté, la délégation générale à la Protection sociale et à la solidarité nationale a mis en place depuis 2014, un Registre national unique. Cinq années après, les acteurs de la protection sociale se sont réunis pour évaluer les travaux qui ont été menés sur le terrain. « Deux études ont été menées sur la capitalisation des bonnes pratiques dans le cadre des partenariats entre le programme national de bourse familiale et l’AFAO », déclare la déléguée générale à la protection sociale, Anta Sarr Diacko.
L’autre étude concerne les projets et programmes de nutrition et de sécurité alimentaire dans la méthodologie de constitution du Registre national unique. Selon madame Diacko, « L’agriculture est un volet important dans ce projet. Car c’est un levier pour assurer la sécurité alimentaire des personnes vulnérables même si une famille perçoit une bourse de sécurité familiale, c’est l’aspect besoin alimentaire qui est mis en avant. Le premier réflexe s’est d’acheter un sac de riz ou du lait ». Ce projet a été créé en 2014, et cinq après, « Plus de 462 154 familles pauvres ont été recensées durant ces 5ans et nous comptons sur l’harmonisation des outils de ce projet pour atteindre toute les couches vulnérables » selon la déléguée Générale à la Protection Sociale et à la Solidarité Nationale.
Lors de cet atelier de restitution qui s’est tenu ce 27 novembre à la sphère ministérielle de Diamniadio, les acteurs sont revenus sur les avantages de ce système qui a permis aux acteurs impliqués dans les politiques de protection sociale d’avoir une base de données des ménages vulnérables et trouver des solutions pour les soutenir à travers ces programmes de résilience et de sécurité alimentaire.
L’autre étude concerne les projets et programmes de nutrition et de sécurité alimentaire dans la méthodologie de constitution du Registre national unique. Selon madame Diacko, « L’agriculture est un volet important dans ce projet. Car c’est un levier pour assurer la sécurité alimentaire des personnes vulnérables même si une famille perçoit une bourse de sécurité familiale, c’est l’aspect besoin alimentaire qui est mis en avant. Le premier réflexe s’est d’acheter un sac de riz ou du lait ». Ce projet a été créé en 2014, et cinq après, « Plus de 462 154 familles pauvres ont été recensées durant ces 5ans et nous comptons sur l’harmonisation des outils de ce projet pour atteindre toute les couches vulnérables » selon la déléguée Générale à la Protection Sociale et à la Solidarité Nationale.
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