Dans son rapport Région Afrique, Amnesty International, sur la situation du Sénégal, a relevé quelques évolutions législatives, constitutionnelles ou institutionnelles. Parmi lesquelles la loi criminalisant les actes de viol et de pédophilie votée en décembre dernier.
Cette loi prévoit l’alourdissement des peines dont sont passibles les auteurs de viol et ceux de violences sexuelles commises sur des personnes mineures. Toutefois, indique Amnesty, les définitions contenues dans ce texte ne sont pas conformes aux normes internationales, et ses dispositions risquent d’être utilisées contre des adolescentes de moins de 16 ans ayant des relations sexuelles consenties.
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