Au-delà de son impact sur la santé publique internationale, le Coronavirus a également des conséquences économiques désastreuses et un impact réel sur le panier de la ménagère.
Un tour effectué au marché qui se tient derrière la Police des Parcelles Assainies de Dakar, renseigne sur la morosité ambiante.
Une situation très difficile pour les vendeuses de produits halieutiques et les femmes au foyer, si l'on se fie aux propos de Madjiguène Dione, vendeuse de poisson.
"La situation est très difficile dans le marché, car tout est cher et on ne voit plus personne pour écouler nos produits". Avec cette situation, même les prix sont revus à la hausse, renseigne t-elle.
"Ce qu'on achetait à 2.000 francs est vendu maintenant à 7000 francs. Car ceux qui assuraient l'approvisionnement des marchandises ne viennent plus à cause de l'état d'urgence", renseigne notre interlocutrice.
Embouchant la même trompette, Mère Ndèye Guèye raconte son calvaire quotidien au foyer.
"Nous souffrons le martyre dans les marchés, car même avec dix mille francs, cela ne suffit plus."
En plus de la rareté de produits comme le poisson, les clients se font également désirer. Ce qui a tendance à impacter sur le chiffre d'affaires des marchands qui ne savent plus où donner de la tête...
Un tour effectué au marché qui se tient derrière la Police des Parcelles Assainies de Dakar, renseigne sur la morosité ambiante.
Une situation très difficile pour les vendeuses de produits halieutiques et les femmes au foyer, si l'on se fie aux propos de Madjiguène Dione, vendeuse de poisson.
"La situation est très difficile dans le marché, car tout est cher et on ne voit plus personne pour écouler nos produits". Avec cette situation, même les prix sont revus à la hausse, renseigne t-elle.
"Ce qu'on achetait à 2.000 francs est vendu maintenant à 7000 francs. Car ceux qui assuraient l'approvisionnement des marchandises ne viennent plus à cause de l'état d'urgence", renseigne notre interlocutrice.
Embouchant la même trompette, Mère Ndèye Guèye raconte son calvaire quotidien au foyer.
"Nous souffrons le martyre dans les marchés, car même avec dix mille francs, cela ne suffit plus."
En plus de la rareté de produits comme le poisson, les clients se font également désirer. Ce qui a tendance à impacter sur le chiffre d'affaires des marchands qui ne savent plus où donner de la tête...
Autres articles
-
Gendarmerie nationale : Le Général de Division Martin FAYE remplace le Général Moussa Fall
-
Récit d'une ascension inouïe : "Bassirou Diomaye Faye : De la prison au palais présidentiel" (Alioune Ndiaye)
-
IBS / Journée de don de sang : “Il n'y pas de machine qui fabrique du sang. Ce n'est qu'à travers le don que l'on peut sauver des personnes malades” (Rouda El Sahili, DG)
-
Formation des jeunes : La Fondation Sonatel offre une formation aux métiers de bâtiment à 324 jeunes sénégalais
-
Rapport annuel Amnesty international : le Sénégal marqué par une répression aveugle avec plus de 60 morts.