L’ACAPS a rendu public son rapport sur l’aperçu de l’accès humanitaire.
En effet, cette publication comprend également un commentaire et une analyse qui mettent l’accent sur l’impact de l’épidémie de COVID-19 en termes d’accès humanitaire.
D’après le communiqué reçu à Dakaractu, en réponse à la pandémie, les gouvernements et les acteurs civils du monde entier ont mis en œuvre des mesures visant à contenir la propagation du virus.
« Au-delà des contraintes d’accès humanitaire, ces mesures ont créé des difficultés tant pour les populations touchées par la crise dans leur accès à l’aide que pour les opérations des organisations humanitaires. L’ACAPS suit la mise en œuvre des mesures gouvernementales en réponse à la COVID-19 (ACAPS 2020) lit-on dans le document. Le document révèle que de nombreuses mesures, telles que le confinement, la fermeture des frontières ou la distance sociale, ont remis en cause l’accès humanitaire, mais il faut noter également que dans certains contextes, des exemptions humanitaires ont été accordées par les autorités pour garantir l’acheminement de l’aide (ACAPS 26/05/2020). L’analyse s’est concentrée sur les pays dans lesquels l’ACAPS avait identifié des crises humanitaires.
« Dans plus de 50 pays, les populations touchées par la crise ne reçoivent pas l’aide humanitaire dont elles ont besoin en raison de contraintes d’accès. Cinq nouveaux pays (Costa Rica, Iran, Jordanie, Mexique, Vanuatu) ont été inclus dans le classement depuis le dernier rapport de l’ACAPS sur l’accès humanitaire publié en octobre 2019 », liste le communiqué.
La même source renseigne que la restriction de la circulation à l’intérieur du pays et “Environnement physique (obstacles liés au terrain, au climat, au manque d’infrastructures)” étaient les difficultés les plus courantes.
Ainsi, au cours des derniers mois, l’accès global des personnes dans le besoin à l’aide est la condition qui s’est le plus détériorée au niveau mondial. La pandémie de COVID-19, renseigne le document, a influencé plus particulièrement l’accès des populations aux services et à l’assistance, l’accès des acteurs humanitaires au pays et leur capacité à se déplacer sur le territoire d’un pays.
En effet, cette publication comprend également un commentaire et une analyse qui mettent l’accent sur l’impact de l’épidémie de COVID-19 en termes d’accès humanitaire.
D’après le communiqué reçu à Dakaractu, en réponse à la pandémie, les gouvernements et les acteurs civils du monde entier ont mis en œuvre des mesures visant à contenir la propagation du virus.
« Au-delà des contraintes d’accès humanitaire, ces mesures ont créé des difficultés tant pour les populations touchées par la crise dans leur accès à l’aide que pour les opérations des organisations humanitaires. L’ACAPS suit la mise en œuvre des mesures gouvernementales en réponse à la COVID-19 (ACAPS 2020) lit-on dans le document. Le document révèle que de nombreuses mesures, telles que le confinement, la fermeture des frontières ou la distance sociale, ont remis en cause l’accès humanitaire, mais il faut noter également que dans certains contextes, des exemptions humanitaires ont été accordées par les autorités pour garantir l’acheminement de l’aide (ACAPS 26/05/2020). L’analyse s’est concentrée sur les pays dans lesquels l’ACAPS avait identifié des crises humanitaires.
« Dans plus de 50 pays, les populations touchées par la crise ne reçoivent pas l’aide humanitaire dont elles ont besoin en raison de contraintes d’accès. Cinq nouveaux pays (Costa Rica, Iran, Jordanie, Mexique, Vanuatu) ont été inclus dans le classement depuis le dernier rapport de l’ACAPS sur l’accès humanitaire publié en octobre 2019 », liste le communiqué.
La même source renseigne que la restriction de la circulation à l’intérieur du pays et “Environnement physique (obstacles liés au terrain, au climat, au manque d’infrastructures)” étaient les difficultés les plus courantes.
Ainsi, au cours des derniers mois, l’accès global des personnes dans le besoin à l’aide est la condition qui s’est le plus détériorée au niveau mondial. La pandémie de COVID-19, renseigne le document, a influencé plus particulièrement l’accès des populations aux services et à l’assistance, l’accès des acteurs humanitaires au pays et leur capacité à se déplacer sur le territoire d’un pays.
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