Le contentieux déclenché par le rachat de TIGO perdure. L’Etat ne compte pas rester les bras croisés devant cet état de fait. En clair, à l’occasion du Conseil présidentiel de ce lundi sur la politique économique et sociale, le président de la République a décidé de trancher la pomme de discorde si les différents protagonistes ne parviennent pas à accorder leurs violons d’ici au mois de février 2018.
« Le gouvernement va convoquer ses partenaires de TIGO et ceux qui veulent reprendre TIGO, que ce soit WARI ou bien le consortium de M. Xavier Niel et des autres », a informé le président Sall. Celui-ci précise qu’on « leur donnera le temps qu’il faut ». « Au maximum un mois et demi ou deux mois pour trouver un accord entre eux », fixe le chef de l’Etat. Ce dernier trouve anormal qu’il n’y ait qu’un seul opérateur (à savoir ORANGE) du fait de ce vide créé. « L’Etat prendra une solution qui peut ne peut pas être heureuse », avertit le président. Ainsi, il a donné des instructions au Premier ministre, en relation avec le ministre de l’Economie et des Finances et le ministre des Télécommunications aux fins de réunir les acteurs et de « les aider à trouver une solution ». « C’est une affaire entre privés », dégage, en définitive, Macky Sall, qui ajoute que l’Etat n’était même pas au courant de la transaction litigieuse.
« Le gouvernement va convoquer ses partenaires de TIGO et ceux qui veulent reprendre TIGO, que ce soit WARI ou bien le consortium de M. Xavier Niel et des autres », a informé le président Sall. Celui-ci précise qu’on « leur donnera le temps qu’il faut ». « Au maximum un mois et demi ou deux mois pour trouver un accord entre eux », fixe le chef de l’Etat. Ce dernier trouve anormal qu’il n’y ait qu’un seul opérateur (à savoir ORANGE) du fait de ce vide créé. « L’Etat prendra une solution qui peut ne peut pas être heureuse », avertit le président. Ainsi, il a donné des instructions au Premier ministre, en relation avec le ministre de l’Economie et des Finances et le ministre des Télécommunications aux fins de réunir les acteurs et de « les aider à trouver une solution ». « C’est une affaire entre privés », dégage, en définitive, Macky Sall, qui ajoute que l’Etat n’était même pas au courant de la transaction litigieuse.
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