En marge à la 11ème session annuelle de formation en droit international et droit de l’homme, une conférence a été tenue ce mercredi par le comité sénégalais des droits de l’homme en partenariat avec l’IDHP, la fondation Frédérich Neumann et d’autre institutions associées qui s’activent dans la lutte pour le respect des droits humains.
Pour cette année, compte tenu de la thématique globale, à savoir le droit des femmes et droit international des droits de l’homme, le président du comité sénégalais des droits de l’homme a expliqué le choix même du thème de cette session qui est directement lié au thème général. Un débat sur le droit des femmes à l’épreuve de la Covid 19.
D’après leurs analyses, ils ont constaté que la pandémie a eu un impact négatif sur l’exercice de certains droits et libertés des hommes en général, mais surtout du côté des femmes.
Une augmentation des violences à l’endroit des femmes a été le plus notée durant la période de semi- confinement. Maître Pape Sène, poursuivant ses propos, affirme que cela a fait l’objet de disputes fréquentes au sein des ménages étant donné que les conjoints étaient obligés de rester chez eux plus de temps qu’ils n’avaient l’habitude. Ce qui leur exigeait de devoir se supporter et de se redécouvrir sous d’autres angles.
En outre, beaucoup de femmes n’ont pas eu recours à la juridiction du fait de la suspension des audiences, ce qui les empêchaient de saisir la juridiction pour régler un certain nombre de différents vécus dans leur ménage.
Dans le domaine sanitaire aussi, des répercussions sont notées sur l’accès aux services de santé du fait que les usagers du service public de la santé peinaient à avoir accès aux soins compte tenu de la forte affluence et les prises en charge des infectés de la Covid-19. Ainsi de suite, de la même manière, les activités économiques surtout du côté de l’informel ont été un réel frein pour les femmes qui s’y activent en majorité.
Tout compte fait, Maître Sène invite les acteurs concernés et l’État à songer faire des études poussées de la situation pour ainsi traduire ces conséquences en chiffres. Cela permettra de mieux cerner les informations et les répertorier.
Tous ce remue-ménage causé par la pandémie est aussi la cause de beaucoup de divorces enregistrées en cette période post Covid-19.
Pour cette année, compte tenu de la thématique globale, à savoir le droit des femmes et droit international des droits de l’homme, le président du comité sénégalais des droits de l’homme a expliqué le choix même du thème de cette session qui est directement lié au thème général. Un débat sur le droit des femmes à l’épreuve de la Covid 19.
D’après leurs analyses, ils ont constaté que la pandémie a eu un impact négatif sur l’exercice de certains droits et libertés des hommes en général, mais surtout du côté des femmes.
Une augmentation des violences à l’endroit des femmes a été le plus notée durant la période de semi- confinement. Maître Pape Sène, poursuivant ses propos, affirme que cela a fait l’objet de disputes fréquentes au sein des ménages étant donné que les conjoints étaient obligés de rester chez eux plus de temps qu’ils n’avaient l’habitude. Ce qui leur exigeait de devoir se supporter et de se redécouvrir sous d’autres angles.
En outre, beaucoup de femmes n’ont pas eu recours à la juridiction du fait de la suspension des audiences, ce qui les empêchaient de saisir la juridiction pour régler un certain nombre de différents vécus dans leur ménage.
Dans le domaine sanitaire aussi, des répercussions sont notées sur l’accès aux services de santé du fait que les usagers du service public de la santé peinaient à avoir accès aux soins compte tenu de la forte affluence et les prises en charge des infectés de la Covid-19. Ainsi de suite, de la même manière, les activités économiques surtout du côté de l’informel ont été un réel frein pour les femmes qui s’y activent en majorité.
Tout compte fait, Maître Sène invite les acteurs concernés et l’État à songer faire des études poussées de la situation pour ainsi traduire ces conséquences en chiffres. Cela permettra de mieux cerner les informations et les répertorier.
Tous ce remue-ménage causé par la pandémie est aussi la cause de beaucoup de divorces enregistrées en cette période post Covid-19.
Autres articles
-
Rapport annuel Amnesty international : le Sénégal marqué par une répression aveugle avec plus de 60 morts.
-
Arrêt des travaux du marché de Gueule Tapée: un double contrat avec les signatures du sous-Prefet Djiby Diallo et de l’ex maire en cause.
-
Rapport Amnesty 2023: quelques 30 cas de viols suivis au Sénégal.
-
Déficit de spécialistes médicaux : la fondation Sonatel attribue à 20 médecins des bourses couvrant leur frais de scolarité de 4 années.
-
Centre Aminata Mbaye : le ministre de la culture promet de subventionner l’établissement à hauteur de 1 million sur son 1er salaire.