« Nous sommes toujours là. Nous continuerons à faire du transport. Nous n’avons pas d’autre choix que de faire du transport, c’est notre gagne-pain », a déclaré un conducteur retrouvé au rond-point de Colobane.
Ici, le flou de la situation exaspère les vélos-taxis, bien obligés de s'arrêter pour récupérer des clients, quitte à se faire arracher les clés de son deux-roues par l’ASP ou le policier en faction. Le jeu du chat et de la souris avec la police est visible.
Aux abords du marché, si le service s'adresse à tout le monde, le constat montre que les plus demandeurs sont ceux qui font leurs courses d’un endroit à un autre, ou encore les commerçants, pour se rendre en centre-ville.
Le transport en commun de personnes par moto bien présent à l’intérieur du pays, arrive timidement à Dakar depuis la dernière grève des transporteurs.
L'interdiction du Gouverneur fait suite aux multiples agressions et vols à l'arraché parfois commis par des malfaiteurs utilisant ce type de locomotion. Il permet de disparaître plus facilement, une fois le forfait perpétré.
Beaucoup de « Jakartemen » qui exercent à Dakar assurent être en règle, mais ne peuvent pas faire du transport, conformément à l'arrêté n°008903 du 29 octobre 2012, réglementant le transport par vélo-taxi dans les régions. Mieux, les questions de sécurité et d'encombrement de la chaussée posent problème.
Ici, le flou de la situation exaspère les vélos-taxis, bien obligés de s'arrêter pour récupérer des clients, quitte à se faire arracher les clés de son deux-roues par l’ASP ou le policier en faction. Le jeu du chat et de la souris avec la police est visible.
Aux abords du marché, si le service s'adresse à tout le monde, le constat montre que les plus demandeurs sont ceux qui font leurs courses d’un endroit à un autre, ou encore les commerçants, pour se rendre en centre-ville.
Le transport en commun de personnes par moto bien présent à l’intérieur du pays, arrive timidement à Dakar depuis la dernière grève des transporteurs.
L'interdiction du Gouverneur fait suite aux multiples agressions et vols à l'arraché parfois commis par des malfaiteurs utilisant ce type de locomotion. Il permet de disparaître plus facilement, une fois le forfait perpétré.
Beaucoup de « Jakartemen » qui exercent à Dakar assurent être en règle, mais ne peuvent pas faire du transport, conformément à l'arrêté n°008903 du 29 octobre 2012, réglementant le transport par vélo-taxi dans les régions. Mieux, les questions de sécurité et d'encombrement de la chaussée posent problème.
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