
La partie civile, Oumou Kalsoum Faye, se faisait chanter par un inconnu via WhatsApp. Son bourreau lui réclamait de l’argent pour ne pas publier ses photos intimes via les réseaux sociaux. Pour acheter son silence, le prévenu lui réclamait de l’argent. Et la partie civile a décidé d’étouffer l'affaire en payant 100 mille francs CFA au courant du mois de mars 2022.
Un mois après, le délinquant est revenu à la charge pour encore demander une rançon. Après avoir encore envoyé de l’argent, elle a pris son courage à deux mains pour déposer une plainte. L’enquête ouverte a permis l’arrestation de Khadim Ndiaye, propriétaire du numéro sur lequel le transfert wave a été envoyé. Devant les enquêteurs, il a contesté les faits qui lui sont reprochés.
Abondant dans le même sens, le prévenu a réitéré ses allégations. Il a souligné qu’il a trois numéros. Mais, le juge lui rappelle que le wave qui a été envoyé, a transité sur trois numéros. « C’était le tien, celle de ta mère et un autre numéro », a renseigné le Président du Tribunal des flagrants délits de Dakar. Le prévenu rétorque qu’il a perdu le téléphone portable où le numéro a transité. D’après lui, il n’a fait de chantage à personne. « Je suis un ferrailleur illettré. J’ignore comment on manie les téléphones. Je n'ai pas encaissé les 100 000 francs via wave. On m’a convoqué à 10 heures à la police. Je suis resté jusqu’à 13 heures sans voir le commissaire. Raison pour laquelle je suis retourné à mes activités », dit-il. Khadim Ndiaye précise avoir acheté le portable de marque techno en janvier avant de le perdre au mois de mars.
Prenant la parole, le parquet souligne que c’est en janvier qu’il a fait des retraits de même que le 19 mars. "Le numéro de la mère du mis en cause apparaît aussi dans les comptes jumelés. Le prévenu répète encore qu’il a perdu le téléphone avant les faits", indique le ministère public qui a fini par requérir une application de la loi.
La défense estime que la partie civile Oumou Kalsoum Faye a dit qu’il y a une personne qui l’a menacée via WhatsApp ou via des appels vidéos. « Les propos de la partie civile ne permettent pas de maintenir mon client dans les liens de la détention », a plaidé la robe noire. Finalement, le juge après en avoir délibéré conformément à la loi, a relaxé le mis en cause.
Un mois après, le délinquant est revenu à la charge pour encore demander une rançon. Après avoir encore envoyé de l’argent, elle a pris son courage à deux mains pour déposer une plainte. L’enquête ouverte a permis l’arrestation de Khadim Ndiaye, propriétaire du numéro sur lequel le transfert wave a été envoyé. Devant les enquêteurs, il a contesté les faits qui lui sont reprochés.
Abondant dans le même sens, le prévenu a réitéré ses allégations. Il a souligné qu’il a trois numéros. Mais, le juge lui rappelle que le wave qui a été envoyé, a transité sur trois numéros. « C’était le tien, celle de ta mère et un autre numéro », a renseigné le Président du Tribunal des flagrants délits de Dakar. Le prévenu rétorque qu’il a perdu le téléphone portable où le numéro a transité. D’après lui, il n’a fait de chantage à personne. « Je suis un ferrailleur illettré. J’ignore comment on manie les téléphones. Je n'ai pas encaissé les 100 000 francs via wave. On m’a convoqué à 10 heures à la police. Je suis resté jusqu’à 13 heures sans voir le commissaire. Raison pour laquelle je suis retourné à mes activités », dit-il. Khadim Ndiaye précise avoir acheté le portable de marque techno en janvier avant de le perdre au mois de mars.
Prenant la parole, le parquet souligne que c’est en janvier qu’il a fait des retraits de même que le 19 mars. "Le numéro de la mère du mis en cause apparaît aussi dans les comptes jumelés. Le prévenu répète encore qu’il a perdu le téléphone avant les faits", indique le ministère public qui a fini par requérir une application de la loi.
La défense estime que la partie civile Oumou Kalsoum Faye a dit qu’il y a une personne qui l’a menacée via WhatsApp ou via des appels vidéos. « Les propos de la partie civile ne permettent pas de maintenir mon client dans les liens de la détention », a plaidé la robe noire. Finalement, le juge après en avoir délibéré conformément à la loi, a relaxé le mis en cause.
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