L’Église recommande aux chrétiens de ne pas jeûner le dimanche et les jours de fête même pendant le temps de carême. En effet, depuis les premiers siècles, « le dimanche et les solennités sont des moments festifs au cours desquels, on met en évidence la célébration de l'événement pascal », confirme le curé de la paroisse Saint Paul de Grand-Yoff, Abbé Alphonse Biram Ndour.
Les chrétiens sont invités à vivre et à revivre la joie pascale qui n’a rien à voir avec la sobriété du temps de carême et de l’Avent. Les dimanches de carême sont des jours de commémoration de la Résurrection du Christ, donc on ne peut pas jeûner ce jour, faire pénitence, être triste car c’est le jour par excellence d’action de grâce.
Chaque dimanche, nous célébrons la mort et la résurrection du Christ. De même pendant les jours de fête ou de solennité, si on célèbre un évènement joyeux, on ne peut pas jeûner. C’est le cas du 19 mars : Saint Joseph époux de Marie, le 25 Mars l’annonciation. « Ces fêtes tombent dans le temps de carême mais ne sont pas comptées comme jours de pénitence, jours de jeûne, parce que l’Église célèbre des événements qui ne cadrent pas avec l’esprit du carême », déclare le curé de Grand-Yoff.
Pendant nos temps de prière et de neuvaines, si nous devons jeûner, tenons compte de ces consignes de l’Église qui sont des accompagnements spirituels qui font partie de la Tradition de l’Église depuis les premiers siècles. Notons que les évènements et célébrations liturgiques dans l’Église ne sont pas de simples formalités.
Les chrétiens sont invités à vivre et à revivre la joie pascale qui n’a rien à voir avec la sobriété du temps de carême et de l’Avent. Les dimanches de carême sont des jours de commémoration de la Résurrection du Christ, donc on ne peut pas jeûner ce jour, faire pénitence, être triste car c’est le jour par excellence d’action de grâce.
Chaque dimanche, nous célébrons la mort et la résurrection du Christ. De même pendant les jours de fête ou de solennité, si on célèbre un évènement joyeux, on ne peut pas jeûner. C’est le cas du 19 mars : Saint Joseph époux de Marie, le 25 Mars l’annonciation. « Ces fêtes tombent dans le temps de carême mais ne sont pas comptées comme jours de pénitence, jours de jeûne, parce que l’Église célèbre des événements qui ne cadrent pas avec l’esprit du carême », déclare le curé de Grand-Yoff.
Pendant nos temps de prière et de neuvaines, si nous devons jeûner, tenons compte de ces consignes de l’Église qui sont des accompagnements spirituels qui font partie de la Tradition de l’Église depuis les premiers siècles. Notons que les évènements et célébrations liturgiques dans l’Église ne sont pas de simples formalités.