Dans le souci de mettre un terme à cette crise qui secoue le secteur de l’huilerie, une réunion au sommet s'est déroulée entre les huiliers et le ministre de l’Agriculture. Celle-ci a eu lieu le 22 septembre dernier en présence de plusieurs organisations de producteurs venues lui proposer des solutions pour une campagne arachidiere 2021/22 apaisée.
Les principales organisations de producteurs d’arachide étaient représentées : Conseil National de Concertation et de Coopérations des Ruraux (CNCR), Cadre de Concertation des Producteurs d’Arachide (CCPA), Association des Producteurs du Bassin Arachidier (APBA), Réseau National des Coopératives de Producteurs de Semences (RNCPS), Association Sénégalaise pour la Promotion du Développement à la Base (ASPRODEB). Les producteurs étaient accompagnés de l’ensemble des huiliers privés du pays : les industriels Copéol Sénégal, West AfricanOil et SSI Industrie, mais également les producteurs artisanaux regroupés au sein du RASIAAT (Regroupement des Acteurs du Secteur Industriel et Agro-alimentaire de Touba).
Ainsi des dispositions ont été prises, de part et d’autre et des propositions ont été faites au MAER. Les acteurs ont notamment proposé de limiter les exportations aux produits finis à savoir la graine entière, l'huile et le tourteau...
Ils ont aussi appelé à ce que soit achevé la libéralisation de la commercialisation de l’arachide qui profite aux producteurs en instaurant une concurrence à l’achat qui a un effet positif sur les prix. Ils ont souligné l’obsolescence et l’inadaptation au contexte des textes réglementaires et du système dit « carreau-usine » qui date du siècle passé quand existait un acteur monopolistique. Ils ont demandé à ce que soient abrogés ces textes pour en revenir aux règles générales du commerce. Toujours dans l’esprit d’augmenter le revenu des producteurs, les acteurs ont également appelé à la suppression de la taxe à l’exportation qui impacte directement le prix bord champ.
Le ministre a décidé de créer une commission avec les ministères concernés pour des panacées qui permettront aux producteurs de vendre les graines à un prix rémunérateur tout en permettant à l'huilerie locale de fonctionner afin de créer des emplois et mettre sur le marché une huile de qualité à un bon prix pour le plus grand bonheur des consommateurs.
Les principales organisations de producteurs d’arachide étaient représentées : Conseil National de Concertation et de Coopérations des Ruraux (CNCR), Cadre de Concertation des Producteurs d’Arachide (CCPA), Association des Producteurs du Bassin Arachidier (APBA), Réseau National des Coopératives de Producteurs de Semences (RNCPS), Association Sénégalaise pour la Promotion du Développement à la Base (ASPRODEB). Les producteurs étaient accompagnés de l’ensemble des huiliers privés du pays : les industriels Copéol Sénégal, West AfricanOil et SSI Industrie, mais également les producteurs artisanaux regroupés au sein du RASIAAT (Regroupement des Acteurs du Secteur Industriel et Agro-alimentaire de Touba).
Ainsi des dispositions ont été prises, de part et d’autre et des propositions ont été faites au MAER. Les acteurs ont notamment proposé de limiter les exportations aux produits finis à savoir la graine entière, l'huile et le tourteau...
Ils ont aussi appelé à ce que soit achevé la libéralisation de la commercialisation de l’arachide qui profite aux producteurs en instaurant une concurrence à l’achat qui a un effet positif sur les prix. Ils ont souligné l’obsolescence et l’inadaptation au contexte des textes réglementaires et du système dit « carreau-usine » qui date du siècle passé quand existait un acteur monopolistique. Ils ont demandé à ce que soient abrogés ces textes pour en revenir aux règles générales du commerce. Toujours dans l’esprit d’augmenter le revenu des producteurs, les acteurs ont également appelé à la suppression de la taxe à l’exportation qui impacte directement le prix bord champ.
Le ministre a décidé de créer une commission avec les ministères concernés pour des panacées qui permettront aux producteurs de vendre les graines à un prix rémunérateur tout en permettant à l'huilerie locale de fonctionner afin de créer des emplois et mettre sur le marché une huile de qualité à un bon prix pour le plus grand bonheur des consommateurs.
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