La disparition du journaliste-artiste-comédien laisse sans voix le peuple sénégalais qui n’aura même pas fini de pleurer la mort de Pape Diouf que cette triste nouvelle s’abat sur lui. De l’avis du Pdg de la Sen TV, Bougane Guèye Dany : « Golbert Diagne a contribué à la formation de plusieurs personnes dans le domaine journalistique. Je fais partie des nombreuses personnes formées par Golbert Diagne. En 1996, il avait lancé un projet personnel avec la création de la radio Teranga Fm qu’il avait mis sur place avec Abdoulaye Niang. Dans ce projet ambitieux il avait fait confiance à de jeunes Saint-louisiens qu’ils avaient formés. »
Toujours dans son rôle de formateur et de promotion de la jeunesse Saint-Louisiane Bougane témoigne : « Déjà en 1996, il (Golbert) nous avait clairement fait comprendre qu’un journaliste devait être indépendant en maitrisant tous les outils nécessaires à l’exercice de sa fonction. Du coup il nous avait formés en technique, en reportage, en présentation etc…. »
La vieille ville perd ainsi son totem, celui qui la personnifiait dans ses moindres subtilités. « Tout le monde sait qu’il était profondément attaché à sa ville natale Saint-Louis. D’ailleurs Golbert avait une devise qui lui est propre : « Deuk ci deuk bi defaar Deuk bi moko Geun ! Une manière de dire que chacun devait jouer sa partition pour contribuer au développement de la région. C’était un régulateur social qui n’était intéressé que par l’intérêt commun. »
La vie de Golbert fut une véritable leçon de vie renchérit celui qui fut l’un de ses disciples : « Tout au long de sa vie, il a eu toujours en ligne de mire l’au-delà. C’est tellement vrai qu’il avait déjà fait préparer sa tombe bien avant son décès. Une parfaite illustration de la philosophie et de la dimension de l’homme… »
Toujours dans son rôle de formateur et de promotion de la jeunesse Saint-Louisiane Bougane témoigne : « Déjà en 1996, il (Golbert) nous avait clairement fait comprendre qu’un journaliste devait être indépendant en maitrisant tous les outils nécessaires à l’exercice de sa fonction. Du coup il nous avait formés en technique, en reportage, en présentation etc…. »
La vieille ville perd ainsi son totem, celui qui la personnifiait dans ses moindres subtilités. « Tout le monde sait qu’il était profondément attaché à sa ville natale Saint-Louis. D’ailleurs Golbert avait une devise qui lui est propre : « Deuk ci deuk bi defaar Deuk bi moko Geun ! Une manière de dire que chacun devait jouer sa partition pour contribuer au développement de la région. C’était un régulateur social qui n’était intéressé que par l’intérêt commun. »
La vie de Golbert fut une véritable leçon de vie renchérit celui qui fut l’un de ses disciples : « Tout au long de sa vie, il a eu toujours en ligne de mire l’au-delà. C’est tellement vrai qu’il avait déjà fait préparer sa tombe bien avant son décès. Une parfaite illustration de la philosophie et de la dimension de l’homme… »
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