Ca y est, c’est parti pour le partage du gâteau et chacun cherche la plus grande part. Ce qui s’est passé à l’Assemblée nationale est à retenir comme une date historique où les députés de la majorité ont montré, à la face du monde ,qu’ils n’étaient mûs que par des intérêts bassement personnels .
C’est le choix des personnes devant présider les commissions techniques et les appétits qui se sont fait jour qui posent problèmes et ont fini par bloquer l’Assemblée Nationale. Les députés de la majorité se sont enfermés de 10 heures à 17 heures 30 mn, sans pouvoir trouver de consensus entre eux. Entretemps, les députés du PDS et les non inscrits ont boudé la séance à 14 heures 30 pour exiger plus de respect.
Pour une Assemblée Nationale de rupture chantée sur tous les toits, il faut dire que ça commence mal. Les électeurs n’ont ils pas eu raison de ne pas se rendre aux urnes le 1er juillet, ils savaient peut être que ces gens n’allaient pas prendre en charge leurs préoccupations. Tels des vautours ,ces députés mal élus, se sont rués sur les privilèges qui accompagnent certains postes dans le bureau de l’Assemblée Nationale, c’est sûr ,que si la fonction était totalement bénévole ,il ne serait pas nombreux à se ruer sur les postes.
Ce qui s’est passé à l’Assemblée Nationale montre qu’il n’y a pas assez d’autorité dans le groupe de la majorité car faute de consensus, il doit y avoir quelqu’un qui tranche, ceci augure de lendemain dangereux pour notre pays, car les députés peuvent bloquer l’institution en cas de désaccord politique profond au sein de la majorité incarnée par Benno Bokk Yakaar. Où est alors le M 23 ou Y’en a marre, ne doivent ils pas se faire entendre pour tirer sur la sonnette d’alarme ? Où tous ces agitateurs qui s’illustraient du temps de Abdoulaye Wade ? Un pays est vraiment en danger quand les gens ne s’indignent pas, c’est malheureusement, ce qui est entrain d’arriver à notre pays.
Doudou COULIBALY
Journaliste
C’est le choix des personnes devant présider les commissions techniques et les appétits qui se sont fait jour qui posent problèmes et ont fini par bloquer l’Assemblée Nationale. Les députés de la majorité se sont enfermés de 10 heures à 17 heures 30 mn, sans pouvoir trouver de consensus entre eux. Entretemps, les députés du PDS et les non inscrits ont boudé la séance à 14 heures 30 pour exiger plus de respect.
Pour une Assemblée Nationale de rupture chantée sur tous les toits, il faut dire que ça commence mal. Les électeurs n’ont ils pas eu raison de ne pas se rendre aux urnes le 1er juillet, ils savaient peut être que ces gens n’allaient pas prendre en charge leurs préoccupations. Tels des vautours ,ces députés mal élus, se sont rués sur les privilèges qui accompagnent certains postes dans le bureau de l’Assemblée Nationale, c’est sûr ,que si la fonction était totalement bénévole ,il ne serait pas nombreux à se ruer sur les postes.
Ce qui s’est passé à l’Assemblée Nationale montre qu’il n’y a pas assez d’autorité dans le groupe de la majorité car faute de consensus, il doit y avoir quelqu’un qui tranche, ceci augure de lendemain dangereux pour notre pays, car les députés peuvent bloquer l’institution en cas de désaccord politique profond au sein de la majorité incarnée par Benno Bokk Yakaar. Où est alors le M 23 ou Y’en a marre, ne doivent ils pas se faire entendre pour tirer sur la sonnette d’alarme ? Où tous ces agitateurs qui s’illustraient du temps de Abdoulaye Wade ? Un pays est vraiment en danger quand les gens ne s’indignent pas, c’est malheureusement, ce qui est entrain d’arriver à notre pays.
Doudou COULIBALY
Journaliste
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