Ce ne sont pas moins de 70 femmes du mouvement cap 21qui ont bénéficié d’une formation de quatre jours en transformation des produits locaux. Cette formation entre dans le cadre de l’autonomisation des femmes et la création d’emplois par l’entrepreneuriat grâce au partenariat avec le conseil national des artisans du Sénégal (CENAS). Il s’agit ainsi pour le mouvement, de contribuer à lutter contre la pauvreté et le chômage de proximité surtout auprès de la gent féminine.
Pour Tidiane Tamba (coordonnateur cap 21) « nous avons voulu réunir les femmes qui travaillent avec nous dans le cadre politique pour leur permettre d’avoir une certaine autonomisation dans leurs actions. C’est bien de les mobiliser mais c’est bien aussi de les aider à se prendre en charge. Ce sont des formations utiles car elles ont vu qu’avec peu de moyens on peut asseoir une microentreprise performante sans tendre la main à un politique ou faire le rang dans les institutions de micro-crédit souvent sans suite heureuse. »
Il ajoute : « nous remercions l’association des artisans du Sénégal de ce partenariat pour l’autonomisation et la création d’emplois des jeunes et des femmes. Elles ont été mobilisées ici pour une formation de quatre jours sur les produits locaux qui nous entourent. Et depuis notre engagement en politique, on se bat pour que les jeunes et les femmes soient autonomes… »
Fatoumata Baldé, bénéficiaire de la formation : « cette initiative va nous permettre de nous prendre en charge. Elle concerne les domaines alimentaires, la savonnerie, la pâtisserie. Et avec cette formation la pauvreté va reculer dans nos foyers surtout en ces temps de covid-19. Nous avons utilisé des produits locaux de proximité à savoir des feuilles, des écorces entre autres... »
Pour Tidiane Tamba (coordonnateur cap 21) « nous avons voulu réunir les femmes qui travaillent avec nous dans le cadre politique pour leur permettre d’avoir une certaine autonomisation dans leurs actions. C’est bien de les mobiliser mais c’est bien aussi de les aider à se prendre en charge. Ce sont des formations utiles car elles ont vu qu’avec peu de moyens on peut asseoir une microentreprise performante sans tendre la main à un politique ou faire le rang dans les institutions de micro-crédit souvent sans suite heureuse. »
Il ajoute : « nous remercions l’association des artisans du Sénégal de ce partenariat pour l’autonomisation et la création d’emplois des jeunes et des femmes. Elles ont été mobilisées ici pour une formation de quatre jours sur les produits locaux qui nous entourent. Et depuis notre engagement en politique, on se bat pour que les jeunes et les femmes soient autonomes… »
Fatoumata Baldé, bénéficiaire de la formation : « cette initiative va nous permettre de nous prendre en charge. Elle concerne les domaines alimentaires, la savonnerie, la pâtisserie. Et avec cette formation la pauvreté va reculer dans nos foyers surtout en ces temps de covid-19. Nous avons utilisé des produits locaux de proximité à savoir des feuilles, des écorces entre autres... »
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