C’est par trois jours de deuil national que la vie à Ouagadougou et dans le reste du pays reprend péniblement ce mardi. Le deuil a été décrété à la mémoire des 18 victimes qui étaient, comme on le dit ici, « au mauvais endroit, le mauvais jour », et qui sont tombées sous les balles terroristes de deux hommes qui n’ont toujours pas identifiés.
Leur apparence, l’armement utilisé et le mode opératoire rappellent cependant fortement l’attentat du 15 janvier 2016 qui avait fait 30 morts au café Cappuccino et à l’hôtel Splendid. C’est ce qu’a expliqué lundi devant la presse la procureure de la République, Maïza Sérémé. Les deux hommes étaient « des assaillants très jeunes » qui se sont « rendus au combat pour mourir ».
Les terroristes sont arrivés en moto à proximité du restaurant Aziz Istanbul, sur l’avenue Kwame Nkrumah, chacun avec « un fusil d’assaut AK-47 » et énormément de munitions. Ils ont alors tiré tous azimuts sur la clientèle du restaurant, dont une partie était venue pour célébrer un anniversaire.
Appel à témoin
Les deux hommes ont été « neutralisés » aux alentours de 22h15 par les forces de sécurité burkinabè qui ont également libéré quarante personnes qui étaient retenues en otage. La procureure a également précisé que les policiers continuent de ratisser le quartier et mènent une enquête pour trouver d’éventuelles complicités.
A ce titre, les autorités burkinabè ont lancé un appel à témoin auprès de toute personne susceptible de leur apporter des renseignements sur les ramifications de cet attentat.
Selon le bilan délivré par les autorités burkinabè, l'attentat a fait 18 morts, dont huit Burkinabè et sept étrangers - un Français, une Canadienne, un Sénégalais, un Nigérian, un Turc et deux Koweïtiennes . Les corps de trois victimes n'ont, pour l'instant, pas été identifiés. La plus jeunes des victimes était âgée de 15 ans.
L'attaque a également fait 22 blessés, parmi lesquels plusieurs enfants et cinq agents des forces de sécurité.
L'attentat de dimanche soir a eu lieu à quelques mètres à peine des établissements visés il y a un an et demi, comme une provocation à l’encontre des autorités burkinabè, qui avaient pourtant nettement augmenté leur dispositif de sécurité.
Leur apparence, l’armement utilisé et le mode opératoire rappellent cependant fortement l’attentat du 15 janvier 2016 qui avait fait 30 morts au café Cappuccino et à l’hôtel Splendid. C’est ce qu’a expliqué lundi devant la presse la procureure de la République, Maïza Sérémé. Les deux hommes étaient « des assaillants très jeunes » qui se sont « rendus au combat pour mourir ».
Les terroristes sont arrivés en moto à proximité du restaurant Aziz Istanbul, sur l’avenue Kwame Nkrumah, chacun avec « un fusil d’assaut AK-47 » et énormément de munitions. Ils ont alors tiré tous azimuts sur la clientèle du restaurant, dont une partie était venue pour célébrer un anniversaire.
Appel à témoin
Les deux hommes ont été « neutralisés » aux alentours de 22h15 par les forces de sécurité burkinabè qui ont également libéré quarante personnes qui étaient retenues en otage. La procureure a également précisé que les policiers continuent de ratisser le quartier et mènent une enquête pour trouver d’éventuelles complicités.
A ce titre, les autorités burkinabè ont lancé un appel à témoin auprès de toute personne susceptible de leur apporter des renseignements sur les ramifications de cet attentat.
Selon le bilan délivré par les autorités burkinabè, l'attentat a fait 18 morts, dont huit Burkinabè et sept étrangers - un Français, une Canadienne, un Sénégalais, un Nigérian, un Turc et deux Koweïtiennes . Les corps de trois victimes n'ont, pour l'instant, pas été identifiés. La plus jeunes des victimes était âgée de 15 ans.
L'attaque a également fait 22 blessés, parmi lesquels plusieurs enfants et cinq agents des forces de sécurité.
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