Le budget 2021 du Ministère de l’Artisanat et de la Transformation du Secteur informel a été arrêté à 4 milliards 480 millions F Cfa en autorisation d’engagement et 2,9 milliards F Cfa en crédit de paiement.
Pour ce budget, 3 programmes majeurs ont été retenus. Il s’agit de celui consacré au ‘’Développement de l’Artisanat’’ qui, pour l’exercice 2021 nécessite des crédits arrêtés à 3,9 milliards en autorisations d’engagement et à 2,3 milliards F Cfa en crédits de paiement. Arrive ensuite, celui affecté à la ‘’Transformation, Encadrement du Secteur informel’’ dont les crédits sont arrêtés à 300 millions F Cfa, en autorisation d’engagement et en crédit de paiement.
Le programme ‘’Pilotage, coordination et gestion administrative’’ ferme la marche avec, pour l’exercice 2021, des crédits arrêtés à 269 millions F Cfa, en autorisation d’engagement et en crédit de paiement.
Les membres de la Commission des Finances et du Contrôle budgétaire, élargie à la Commission des Affaires économiques, n’ont pas manqué de relever la faiblesse des ressources allouées à Papa Amadou Ndiaye, ministre chargé de l’Artisanat et de la Transformation du Secteur informel pour l’année 2021. Ils ont considéré que les crédits alloués au Ministère de l’Artisanat et de la Transformation du Secteur informel sont très faibles au regard des missions importantes qui lui sont confiées, ce qui ne lui permettra pas d’atteindre ces objectifs. Certains Commissaires diront qu’il s’agit en réalité d’un budget transitoire non sans souhaiter que des péréquations soient opérées afin de permettre à Monsieur le Ministre d’impulser une nouvelle énergie à ce secteur. Dans ce sens, ils ont interpellé le ministre des Finances et du Budget sur la possibilité d’accorder plus de ressources à ce département à travers la Contribution forfaitaire à la charge des employeurs (Cfce), évaluée autour de 15 milliards F Cfa’’, renseigne le rapport présenté aux parlementaires.
Papa Amadou Ndiaye assisté de ses collègues Abdoulaye Daouda Diallo, (ministre des Finances et du Budget) et Samba Sy (Travail, du Dialogue social et des Relations avec les Institutions) a procédé à la présentation du projet de budget 2021 de son département. Ce fut l’occasion pour lui d’annoncer une nouvelle politique. Laquelle tiendra compte, selon lui, ''des exigences de préservation de l’environnement avec les mesures d’accompagnement nécessaires, tout en accordant une attention particulière aux objectifs de conquête des marchés étrangers, par le biais notamment de l’intégration des normes et standards internationaux’’.
Pour ce budget, 3 programmes majeurs ont été retenus. Il s’agit de celui consacré au ‘’Développement de l’Artisanat’’ qui, pour l’exercice 2021 nécessite des crédits arrêtés à 3,9 milliards en autorisations d’engagement et à 2,3 milliards F Cfa en crédits de paiement. Arrive ensuite, celui affecté à la ‘’Transformation, Encadrement du Secteur informel’’ dont les crédits sont arrêtés à 300 millions F Cfa, en autorisation d’engagement et en crédit de paiement.
Le programme ‘’Pilotage, coordination et gestion administrative’’ ferme la marche avec, pour l’exercice 2021, des crédits arrêtés à 269 millions F Cfa, en autorisation d’engagement et en crédit de paiement.
Les membres de la Commission des Finances et du Contrôle budgétaire, élargie à la Commission des Affaires économiques, n’ont pas manqué de relever la faiblesse des ressources allouées à Papa Amadou Ndiaye, ministre chargé de l’Artisanat et de la Transformation du Secteur informel pour l’année 2021. Ils ont considéré que les crédits alloués au Ministère de l’Artisanat et de la Transformation du Secteur informel sont très faibles au regard des missions importantes qui lui sont confiées, ce qui ne lui permettra pas d’atteindre ces objectifs. Certains Commissaires diront qu’il s’agit en réalité d’un budget transitoire non sans souhaiter que des péréquations soient opérées afin de permettre à Monsieur le Ministre d’impulser une nouvelle énergie à ce secteur. Dans ce sens, ils ont interpellé le ministre des Finances et du Budget sur la possibilité d’accorder plus de ressources à ce département à travers la Contribution forfaitaire à la charge des employeurs (Cfce), évaluée autour de 15 milliards F Cfa’’, renseigne le rapport présenté aux parlementaires.
Papa Amadou Ndiaye assisté de ses collègues Abdoulaye Daouda Diallo, (ministre des Finances et du Budget) et Samba Sy (Travail, du Dialogue social et des Relations avec les Institutions) a procédé à la présentation du projet de budget 2021 de son département. Ce fut l’occasion pour lui d’annoncer une nouvelle politique. Laquelle tiendra compte, selon lui, ''des exigences de préservation de l’environnement avec les mesures d’accompagnement nécessaires, tout en accordant une attention particulière aux objectifs de conquête des marchés étrangers, par le biais notamment de l’intégration des normes et standards internationaux’’.
Autres articles
-
Levée de suspension des Amicales, stabilité du campus social : L'autorité universitaire et les étudiants s'engagent à de larges concessions.
-
MESRI/Orientation Bachelier : « Les orientations de 2020 sont bouclées définitivement. » (Pr Moustapha Sall , CT MESRI)
-
Kaolack/ Division au sein de la Cojer : Bocar Diallo et Insa Ka se disputent le poste de la coordination départementale.
-
Université Amadou Mahtar Mbow : La section SAES exige la reprise des travaux et leur livraison avant la rentrée 2021-2022.
-
Criminalité faunique : Encore des peaux de léopard saisies à Kédougou !