L’ancien parlementaire ne partage pas la pertinence de la mise en place de plusieurs groupes parlementaires dans le cadre de la 14ème législature. Cette option, qu’elle soit du côté de l’opposition comme du côté du pouvoir, ne sera point profitable au peuple sénégalais.
« Cette escalade en perspective dans la formation de groupes parlementaires doit être arrêtée net », déclare le porte-parole de la coalition Aar Sénégal qui estime que « l’Assemblée nationale ne doit plus être un lieu de partage de gâteau et de mimétisme de mauvais aloi sur le dos des populations ».
L’article 20 du règlement intérieur de l'Assemblée nationale prévoit que les groupes parlementaires puissent être formés par «affinité politique». Les élections législatives ont révélé les affinités politiques à travers des coalitions qui, jusque-là, existent encore. La création de groupes parlementaires en parfaite abstraction de cette affinité politique existante, ne sera que le résultat d’un calcul politicien sous fond d’enrichissement sur le dos des populations, selon le président du mouvement Agir. En effet, Thierno Bocoum estime que le groupe parlementaire coûte cher au contribuable sénégalais. Ce sont des centaines de millions qui sont dépensées pour encadrer son existence légale.
À titre d'indication, il faut préciser que les groupes sont dotés de fonds de gestion d’un montant minimum de 2 à 5 millions par mois selon la taille du groupe. Le président du groupe parlementaire a un rang de vice-président de l’Assemblée nationale avec un salaire de 2 millions minimum et autres avantages, en plus d’une dotation en carburant de 1000 litres minimum, de 2 voitures 4X4 mises à sa disposition, de prise en charge d’un secrétariat, d’un bureau équipé, de crédit téléphonique.
Toujours dans les explications de l’ancien président de commission à l’Assemblée nationale, le vice-président du groupe parlementaire a rang de président de commission avec un salaire minimum de 1,6 million en plus des avantages accordés au président du groupe notamment la dotation en carburant de 1000 litres, deux voitures 4X4, prise en charge d’un secrétariat, d’un bureau équipé, de crédit téléphonique. Le fait de multiplier les groupes parlementaires n’aura donc, comme résultat que d’alourdir davantage les charges financières sur le dos du contribuable sénégalais.
« Cette escalade en perspective dans la formation de groupes parlementaires doit être arrêtée net », déclare le porte-parole de la coalition Aar Sénégal qui estime que « l’Assemblée nationale ne doit plus être un lieu de partage de gâteau et de mimétisme de mauvais aloi sur le dos des populations ».
L’article 20 du règlement intérieur de l'Assemblée nationale prévoit que les groupes parlementaires puissent être formés par «affinité politique». Les élections législatives ont révélé les affinités politiques à travers des coalitions qui, jusque-là, existent encore. La création de groupes parlementaires en parfaite abstraction de cette affinité politique existante, ne sera que le résultat d’un calcul politicien sous fond d’enrichissement sur le dos des populations, selon le président du mouvement Agir. En effet, Thierno Bocoum estime que le groupe parlementaire coûte cher au contribuable sénégalais. Ce sont des centaines de millions qui sont dépensées pour encadrer son existence légale.
À titre d'indication, il faut préciser que les groupes sont dotés de fonds de gestion d’un montant minimum de 2 à 5 millions par mois selon la taille du groupe. Le président du groupe parlementaire a un rang de vice-président de l’Assemblée nationale avec un salaire de 2 millions minimum et autres avantages, en plus d’une dotation en carburant de 1000 litres minimum, de 2 voitures 4X4 mises à sa disposition, de prise en charge d’un secrétariat, d’un bureau équipé, de crédit téléphonique.
Toujours dans les explications de l’ancien président de commission à l’Assemblée nationale, le vice-président du groupe parlementaire a rang de président de commission avec un salaire minimum de 1,6 million en plus des avantages accordés au président du groupe notamment la dotation en carburant de 1000 litres, deux voitures 4X4, prise en charge d’un secrétariat, d’un bureau équipé, de crédit téléphonique. Le fait de multiplier les groupes parlementaires n’aura donc, comme résultat que d’alourdir davantage les charges financières sur le dos du contribuable sénégalais.
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