Amadou Gaye, président de la Fédération des boulangers du Sénégal entend aller en guerre contre toute forme informelle de production et de vente du pain. Il a fait cette déclaration ce samedi 19 décembre lors de la rencontre de sensibilisation sur la nouvelle réglementation du secteur de la boulangerie.
À en croire ce dernier, « nous sommes là pour sensibiliser sur le nouveau décret de règlementation du secteur de la boulangerie valable pour tout le Sénégal. Et Kolda ne doit pas faire une exception, il faut qu’on le précise. Ce décret gère l’hygiène, la sécurité alimentaire du consommateur. Il gère aussi la rentabilité des boulangers qui ont investi des millions, la pérennisation de nos emplois »
Dans la foulée, abordant la fameuse question des boulangeries artisanales (tapa-lapa), il précise : « le tapa lapa est interdit par la loi 77-38 depuis 1978. Aujourd’hui, avec l’implication de ce nouveau décret, ce sont juste de nouvelles dispositions de production de pain, de distribution et de vente qui seront adoptées pour réguler le secteur. Aujourd’hui personne ne peut vendre du pain sans cette nouvelle législation. Personne ne peut plus distribuer du pain avec des vélos ou autres moyens de transport de fortune. Si l’autorité ne peut pas enlever les « tapa lapa », ils doivent se conformer aux nouvelles règles. Au Sénégal on cuit le pain à 250 degrés or un four de « tapa lapa » ne peut pas dépasser 100 degrés. Et si le cœur de ce pain n'est pas bien cuit, ceci aura une conséquence sanitaire. »
Selon lui, l’application de ce décret sera suivie à la lettre par le comité de contrôle de cette nouvelle réglementation.
À en croire ce dernier, « nous sommes là pour sensibiliser sur le nouveau décret de règlementation du secteur de la boulangerie valable pour tout le Sénégal. Et Kolda ne doit pas faire une exception, il faut qu’on le précise. Ce décret gère l’hygiène, la sécurité alimentaire du consommateur. Il gère aussi la rentabilité des boulangers qui ont investi des millions, la pérennisation de nos emplois »
Dans la foulée, abordant la fameuse question des boulangeries artisanales (tapa-lapa), il précise : « le tapa lapa est interdit par la loi 77-38 depuis 1978. Aujourd’hui, avec l’implication de ce nouveau décret, ce sont juste de nouvelles dispositions de production de pain, de distribution et de vente qui seront adoptées pour réguler le secteur. Aujourd’hui personne ne peut vendre du pain sans cette nouvelle législation. Personne ne peut plus distribuer du pain avec des vélos ou autres moyens de transport de fortune. Si l’autorité ne peut pas enlever les « tapa lapa », ils doivent se conformer aux nouvelles règles. Au Sénégal on cuit le pain à 250 degrés or un four de « tapa lapa » ne peut pas dépasser 100 degrés. Et si le cœur de ce pain n'est pas bien cuit, ceci aura une conséquence sanitaire. »
Selon lui, l’application de ce décret sera suivie à la lettre par le comité de contrôle de cette nouvelle réglementation.
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