Affaire Mlle Aïssatou Tall c/ Mr CheikhYérim Seck : le point de vue d’un juriste


Affaire Mlle Aïssatou Tall c/ Mr CheikhYérim Seck : le point de vue d’un juriste
Il faut s’offusquer de la fausse échappatoire de la plupart des juristes qui estiment ne pas vouloir se prononcer sur une affaire pendante devant la justice. Or, dans un passé encore récent, ces ouailles de la versatilité et girouettes de la tartufferie se sont données à cœur joie pour des débats épiques de doctrine, avant et après, à propos de la décision du conseil constitutionnel relative à la constitutionnalité et à la validité de la candidature controversée de l’ancien président de la République, Abdoulaye Wade, à la présidentielle de février et mars 2012.

Dans l’affaire Aïssatou Tall c/ CheikhYérim Seck, il n’y a pas eu de viol mais conjonction sexuelle réciproquement consentie entre deux personnes majeures de sexe opposé (qu’importe l’écart de la majorité d’âge entre les deux parties) et jouissant de la plénitude de leurs facultés mentales dans un lieu privé et discret à l’abri des regards et des mœurs.

Comment une jeune femme de 20 ans habillée a pu se faire dévêtir et ôter son linge intime (slip) sans opposer une résistance déterminée et farouche, sans crier et laisser des traces, stigmates et séquelles de griffures sur le corps de son présumé violeur ? D’ailleurs, les employés de l’auberge ne sont-ils pas vite venus s’enquérir de la situation lorsqu’il y a eu pénétration phallique et dépucelage à cause des cris, a fortiori ils auraient rappliqué à la phase préliminaire du flirt et du déshabillement vestimentaire si elle avait hurlé ? Quel est l’état de ses habits ? Avec quels habits a-t-elle pu quitter l’auberge si ceux-ci ont été arrachés et malmenés par le présumé violeur ? Comment le présumé auteur de viol sexuel a pu simultanément s’occuper à enfiler, peut-être, un préservatif à usage sexuel et en même temps user de force physique pour contrecarrer et contenir les velléités de résistance de sa potentielle victime qui disposait de la liberté de ses deux mains, ses bras, ses coudes, ses jambes, ses dents pour mordre et ses cordes vocales pour crier ? Comment un soi-disant génie primée au concours général, une nouvellement préinscrite à Montpellier pour des études supérieures a pu accepter de se rendre dans une auberge, pour un premier rendez-vous aussi galant, et de monter dans une chambre où elle aperçoit un homme torse nu sans redescendre aussitôt ? Pourquoi n’a-t-elle pas exigé qu’elle préfère attendre plutôt le monsieur à la salle d’attente publique ou dans toute autre pièce accessible au public ? Une femme qui est crédible et respectable n’a rien à faire dans la chambre d’un homme qu’elle vient, récemment, de connaître à peine. Ce n’est pas l’endroit le mieux indiqué pour faire ample connaissance, à moins de vouloir approfondir la curiosité de la découverte réciproque :…l’intimité !

En réalité, elle y est venue pour un but bien précis et a délibérément offert sa virginité même si elle a avisé son partenaire de son état de vierge néophyte mais n’a pas opposé une résistance même molle avant la pénétration phallique, puis a pris peur (remords et regrets postérieurs ?) quand un jour ses parents découvriraient son manque de vertu au moment du mariage ainsi que son futur mari. Elle a voulu se défaire de sa virginité en se faisant passer pour une victime comme çà, arrivée à Montpellier, elle pourra continuer ses frasques sexuelles loin de la surveillance austère de ses parents et, si par mégarde, elle vient à tomber enceinte, elle pourra faire un tour dans les pays voisins de la France et se faire avorter en toute tranquillité ! Donc il lui fallait se défaire au préalable de cette virginité à Dakar avec un homme célèbre et feindre la victime !

Par rapports aux cris aigus de soprane prétendument de détresse et d’alerte au secours, il est très facile de les expliquer et justifier :
- d’abord, le premier rapport sexuel d’une fille ou d’une femme vierges est toujours douloureux quand il s’agit de la perte de l’hymen car l’étroitesse de son intimité n’a jamais été habituée à des pénétrations fréquentes pour un élargissement, a fortiori pour les femmes habituées à la conjonction sexuelle qui, à chaque relation avec un partenaire, procèdent à la lenteur et de petites poussettes de la pénétration phallique pour que l’appareil féminin constricteur se réapproprie progressivement à l’accoutumance ;

- ensuite, il y a le facteur possible des mensurations de l’appareil génital mâle et le facteur du passage rapide et précipité à l’acte sexuel alors que l’organe féminin, peut être, n’a pas encore été préparé aux préliminaires, notamment l’autolubrification vaginale qui signe l’élargissement progressif de l’orifice féminin en vue d’une facilitation glissée de la pénétration phallique.

Les cris perçants entendus par quelques employés du personnel (lequel positionné à l’extérieur ne peut témoigner avec certitude sur ce qui s’est réellement passé intra muros dans la chambre) se justifient, peut être, par ce qui précède au vu de l’inexpérience de la fille qui appréhende avec crainte son premier acte sexuel.
Par suite, on pourrait courir le risque de l’instrumentalisation de la justice pour en faire une affaire de corporation où les magistrats se rendent des services entre eux. Ce qui y conforte est le choix porté sur la personne d’un bleu de la profession en la personne d’un tout nouveau magistrat sorti fraîchement de sa formation judiciaire à l’ENA pour tenir les rênes de l’audience de flagrance à propos de cette affaire d’espèce. Sera-t-il dans le confort de pouvoir supporter le regard perçant et, nonchalamment, influent du père de la partie civile, un rompu à la tâche judiciaire, même si celui-ci serait confiné au rang du public, en plus d’une possibilité qu’il soit témoin à charge ? Ne sera-t-il pas plutôt enclin à être timoré pour ne pas hypothéquer l’avancée de sa carrière qu’il entame précocement et faire peser la balance en faveur d’une solidarité corporatiste ? Si le père fait tout un plat, c’est pour régler le compte à l’entêtement de Mr Cheikh Yérim Seck d’avoir refusé d’obtempérer à cesser de fréquenter sa fille. Au plus profond de lui, ce père et magistrat chevronné sait bel et bien qu’un juriste-journaliste célèbre comme l’indexé ne va pas ternir sa réputation avec un viol alors que certainement des femmes voudraient bien partager sa couche, comme c’est connu au Sénégal.
Il y a eu donc bien consentement et la fille (influencée ?) semble, avec froideur, faire volte-face en s’appuyant sur la base de précédents judiciaires et sociaux. Lesquels ? Mathiou et compagnie piégés par des filles mineures au corps précoce de femmes, l’affaire des fausses auto-stoppeuses qui font des chantages, l’affaire de la fille manipulée par sa mère et qui se disait enceinte de son père : mensonge éventé après accouchement et test d’ADN, l’affaire de filles et femmes qui simulent la recherche d’un travail de ménagère pour pouvoir ensuite désister après avoir mémorisé l’agencement et la décoration des pièces d’une maison sur la base desquels elles font des chantages à des hommes mariés ou vivant seuls, l’affaire de Dominique Strauss-Kahn à New York éventée, enfin l’affaire parisienne de l’avocat El Hadji Diouf, et tant d’autres affaires de l’esprit fécond en imaginations féminines. Donc Mlle Aïssatou Tall semble s’être inspirée du prétendu viol de l’avocat sénégalais en France et, sachant que si elle perdait sa virginité en France la justice française finira par démasquer son stratagème avant même le procès pénal, alors elle choisit délibérément de perdre sa virginité au Sénégal en comptant sur le rang et sur le statut de magistrat de son père et en feignant la stigmatisation de victime au « sexe faible » pour émouvoir la sympathie de l’opinion publique sénégalaise malléable et manipulable. Cette fille s’est défaite de sa virginité qui était un frein à sa conception de l’émancipation mais en même temps elle ne voulait pas heurter mais tenait à préserver l’apparence éducationnelle des coutumes et traditions de ses parents austères pour ne pas les décevoir et ne pas être considérée comme une fille de la semaine à petite vertu. C’est le modus operandi de cette cabale : il lui fallait un célèbre pigeon pour un scandale “Peopleˮ retentissant à la Nafissatou Diallo ou à la Monica Lewinsky pour berner ses parents avant de pouvoir quitter le Sénégal pour Montpellier car si tel n’était pas le cas son austère père aurait peut-être, pour la punir, mis fin à ses ambitieux rêves à Montpellier.

Arrêtons nous sur le cas parisien de l’avocat et député sénégalais : en France, la justice ne se laisse pas facilement démonter par des accusations de viol, c’est comme çà qu’elle a pu démasquer les mensonges de la fausse victime de l’avocat sénégalais. Cette affaire parisienne est similaire à celle de Yérim Seck et les deux affabulatrices sont des personnes majeures : la seule différence est que, au Sénégal, on a trop tendance à accorder foi à tout ce que dit la gent féminine sans isoler l’ivraie de la nuisance manifeste et délibérée du bon grain de la vérité. On donne toujours tort aux hommes (hélas beaucoup d’hommes sont en prison pour accusation fallacieuse sur la base d’une seule version prise en compte…celle féminine) et pourtant devant les enquêteurs, Yérim Seck a accepté l’humiliation de se mettre nu comme un ver de terre pour prouver qu’il n’y a pas lutte, griffures, écorchures, éraflures si sa prétendue victime avait vraiment opposé résistance.

Devant une procédure d’enquête de police judiciaire lorsqu’il est impossible de démêler le problème avec des parties qui campent sur leurs positions, la police judiciaire refile obligatoirement la patate chaude au procureur de la République. Au niveau de ce dernier lorsqu’il délègue à un de ses substituts, celui-ci préfère fréquemment inculper et placer sous mandat de dépôt sans trop se poser de questions plutôt que de courir le risque d’être désavoué par sa hiérarchie (encore la prudence excessive du magistrat pour l’avancée dans la carrière). C’est le système bien sénégalais, contrairement à l’affaire parisienne de l’avocat sénégalais. Maintenant à charge pour le juge de première instance de trancher le litige (le bleu de la magistrature cité plus haut dans l’affaire d’espèce) entre les colitigants.

Aujourd’hui, la nouvelle génération des filles et des jeunes femmes considère la virginité comme un poids lourd et un frein à leur liberté sexuelle. C’est connu ! Yérim Seck s’est fait piégé et toute la gent masculine est en péril face à ce genre de filles et femmes à l’esprit très raffiné dans le machiavélisme !
Cheikh Yérim Seck, quoique victime d’une machination, n’en sortira pas pour autant indemne du point de vue de sa réputation ternie. Par contre, la jeune femme s’en sortira sans frais comme c’est fréquent au Sénégal et son père gloussera intérieurement de joie de voir le têtu courtisan irrémédiablement marqué à vie. Comme si Dieu et le jugement dernier n’existent plus lorsqu’il se regardera devant un miroir et s’adonnera à ses 5 prières quotidiennes (Subar, Tisbar, Takusaan, Timis et Geewee) ! Ah, l’aveuglement subjectif de l’amour parental ! Le comble, c’est que cette “fille à papa” a été exfiltrée vers Montpellier et la préinscription universitaire devient une bouée de sauvetage quant à la problématique de la mauvaise foi ou non. Il convient de revisiter, dans une finalité prospective, les règles procédurales judiciaires en mettant fin à la non présence de la partie civile lors du procès ou alors qu’elle soit obligée à se présenter à date échue pour la manifestation de la vérité. Au surplus, il est dans l’intérêt de la partie défenderesse d’exiger une contre-expertise dudit certificat médical par le biais d’une commission rogatoire adressée à la justice française car l’éloignement précipité de la partie civile dans l’hexagone semble suspect. Il faut verrouiller cette boîte de Pandore dont use et abuse la gent féminine pour accuser, à tout bout de champ, des hommes sans frais en retour. C’est trop facile de retenir un homme dans les liens de la prévention carcérale au Sénégal sur la base des seules allégations unilatérales de la femme. Où sont la parité, l’égalité, l’équilibre et l’éthique entre justiciables ?
Pour une démarche toujours prospective d’une bonne justice équitable et équilibrée, on pourrait restreindre la liberté de circuler et de voyager en confisquant, peut-être, les documents de voyage (passeport…) le temps de vider l’affaire mais accorder le bénéfice de la liberté provisoire et du contrôle judiciaire à l’homme, partie défenderesse, si l’on accepte que la partie civile puisse s’évaporer dans la nature ou s’exfiltrer loisiblement.

La douzième législature de l’Assemblée nationale du Sénégal est interpellée pour des propositions de loi au cas où l’Exécutif ne prend pas des projets de loi allant dans ce sens car les femmes bénéficient trop de facilités judiciaires en matière de contentieux. Et mieux c’est une femme, Mme Aïda Mbodji, actuelle députée libérale et démocrate de la 12ème législature, qui demandait à la défunte 11ème législature lors d’un passage à l’Assemblée nationale de faire très attention à ces filles vicieuses qui s’ingénient à piéger la renommée d’hommes célèbres et argentés, reconnaissant ainsi qu’il y a des pratiques peu orthodoxes qui se font sous nos cieux sénégalais.
C’est sous ce même entrain qu’il y a lieu de ranger le prétexte fourre-tout de l’incompatibilité d’humeur pour se débarrasser d’un mari en inventant des violences pour l’abus de pensions alimentaires et les conséquences du divorce en cas d’option monogamique ou polygamique limitée ou non. En effet, l’homme qui a contracté à l’option monogamique est enfermé jusqu’à sa mort dans celle-ci même s’il a eu à subir une contrainte morale (chantage de désistement au mariage, menaces de la promise) émanant de la femme pour qu’il souscrive à cette option, avant le passage devant l’Officier de l’état civil. Toujours dans la prospective, il serait intéressant de procéder à l’application réciproque de l’option du statut conjugal (sauf consentement mutuel des parties en couple ou divorcés à se libérer de l’option souscrite pour une autre) car une femme vous enferme dans une option monogamique et demain, après le divorce, elle ne se gênera pas pour se retrouver dans un foyer polygamique et même revenir à satiété dans un mariage monogamique autant de fois qu’elle le souhaite, comme un oiseau marabout voyageur qui picote partout. Ainsi, la question de l’option au statut conjugal mettra à égalité le genre humain, plus personne ne pourra souscrire une autre option pour un autre mariage après avoir enfermé son ex-partenaire dans la bastille d’une option conjugale, sauf s’il y a consentement mutuel pour se libérer de l’option précédente.

En conclusion, le revers de la médaille pour la jeune femme Aïssatou Tall c’est la voie de droit offerte à Cheikh Yérim Seck de servir une citation directe à partie civile pour engager soit sa responsabilité civile pour dénonciation téméraire, soit sa responsabilité pénale pour dénonciation calomnieuse. Et même l’État, du fait de sa justice, prompt, à tort et à travers, à toujours faire droit et à donner raison à la gent féminine en emprisonnant des hommes victimes de cabale, pourrait voir sa responsabilité engagée pour mauvais fonctionnement du service public de la justice lors d’un recours administratif de plein contentieux devant la chambre administrative de la Cour Suprême. C’est pour éviter cette déconvenue que le tribunal parisien de Versailles a relaxé, récemment, l’ex-international français de football, Claude Makélélé, des accusations de violences portées à son encontre par son intrigante ex-petite amie. Et ce tribunal est allé jusqu’à retenir contre cette affabulatrice le délit d’abus de constitution de partie civile, en sus d’une amende.
Je doute fort que Cheikh Yérim Seck envenime les choses et usant de son droit de recours et de réplique. Et pourtant il est parfois recommandé de rendre les coups pour que ce genre de mauvaise graine féminine sache qu’on ne peut impunément salir la dignité des gens en usant de subterfuges judiciaires pour solder des comptes domestiques.

Mardi 18 Septembre 2012
Pierre Dieng



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61.Posté par dioga le 18/09/2012 22:28
Monsieur le juriste arrêtes de faire le cinéma! tout ce que tu dis n'est que pire création de ta part! je suis persuadé que la fille ne faisait pas de deal pour faire couler CYS! elle en était peut-être amoureux mais le gars a allé un peu trop loin

62.Posté par Hamet'''' le 18/09/2012 22:59
Texte long et plein de considérations que la rigueur de la démarche juridique exclut alors surtout que pour ce cas précis elle porte sur une espèce concernant des faits précis reprochés à un prévenu.

En sus, vous manquez de prudence, Mr le juriste, lorsque vous affirmez de façon péremptoire qu'il y a eu consentement de la part de fille quant à la conjonction sexuelle avec Cheikh Yérim Seck.

Vous en manquez d'autant plus que l'on remarque, au vu de vos assertions, que vous avez été jusqu'à vous projeter dans la conscience de la victime présumée pour nous livrer jusque dans les détails et de façon toujours aussi péremptoire, ses desseins et motivations, ce que personne en dehors sa propre personne - à moins d'être un devin - n'est en mesure de connaitre avec autant de certitude.

Par ailleurs vous auriez pu, dans votre démarche, faire l'économie de références à ces cas d'espèces aussi inappropriés que diverses et vous limiter à une démarche technique - comme on en attend de la part d'un juriste chevronné - sur la base des éléments de l'affaire, à l'aune des éléments constitutifs du délit de viol.

Il en est de même des commentaires inappropriés et pour le moins discourtois voire outrageants à l'égard de l'Institution judiciaire.

63.Posté par fromugb le 18/09/2012 23:15
Je ne sais pas si vous étes juriste ou où est ce que vous avez étudiez mais vous étes manifestement de mauvaise foi. Combien vous à t'on payer pour écrire ce torchon? Vous ne caractérisé même pas le consentement. Vous vous baser sur des suppositions sociologiques voire psychologiques pour dire que la fille était consentante. Dans quel école de droit avait vous appris que c'est de cette maniére qu'on caractérise le consentement.
Juste une question monsieur le juriste : tiendrez vous le même raisonnement si c'était votre fille (adorée et brillante de surcroit) qui est violée? Je pense que non a moins que vous soyez vraiment fou.
Pour votre gouverne, comme vous avez tendance à l'ignorer, une fille peut se mettre nue devant toi si au moment de la pénétration elle dit non , c'est non. Ubi lex non distinguit....

64.Posté par Bélugas le 19/09/2012 00:24
Vous êtes manifestement en service commandé ou en service camarade. Vous rendez un très mauvais service a l inculpé avec des affirmations aussi imprudentes et orientées qui plus est publiées sur le site réputé appartenir à celui qui est désigné du doigt!!!!

Le plan de la fille que vous avez imagine est saugrenu. Si elle est aussi machiavélique que vous décrivez , elle aurait trouver meilleur et plus simple plan pour etre libre comme le vent a montpellier et sans ternir son image

Un juriste doit aussi être stratège! Si tu ne connaîs que du droit , tu ne connais pas le Droit



65.Posté par REUKREUK le 19/09/2012 00:34
1) A l'adresse des hommes qui ont une fois enfiler ou des femmes qui ont vu enfiler un préservatif :"Comment le présumé auteur de viol sexuel a pu simultanément s’occuper à enfiler, peut-être, un préservatif à usage sexuel et en même temps user de force physique pour contrecarrer et contenir les velléités de résistance de sa potentielle victime ??

2) A quel âge intervient la majorité au Sénégal?

3) CYS a menti sur beaucoup de sujets : de Gaston Berger, au Palais présidentiel guinéen en passant par JA et Dakar. Grand bi wa UGB/Village A dou gnou la fatté way ak sa bolok bou maron fouri

66.Posté par bij le 19/09/2012 01:13
Appelons cet article l’affaire Seck/ Tall vue par un juriste de bas étage !!!Cet article n’est rien d’autre qu’un rouleau de papier toilette inutilisable…Cette fille n’est en rien une victime : wow neu beut ta yamoul fou ko bayam ak ndeyam yemlo !!!En revanche, quelle pathétique argumentation!!! Se baser sur des anecdotes « people » pour décrédibiliser une jeune femme récemment majeure et vierge de surcroît. Je pense qu’à 20 ans, une jeune bachelière peut facilement être impressionnée par un homme dont la brillance et l’excellent parcours professionnel n’est plus à prouver. Alors se faire du souci pour la réputation de Seck sans s’en faire pour la fille est tout sauf équitable. La justice sénégalaise a du souci à se faire si le barreau est rempli de juristes comme celui-ci!!! Quand à M. Seck, il n’est ni le premier, ni le dernier à prendre son pieds à l’hôtel avec des femmes autres que leurs légitimes mais à l’avenir, les gars, choisissez mieux vos partenaires.
« Tout homme est sujet à l’erreur » a-t-on dit, alors espérons que cette erreur leur servent à tous les 2 pour l’avenir !!!

67.Posté par deug le 19/09/2012 02:01
les gars de ce site sont vraiment désespérés c'est pour cela qu'ils publient des torchons pareils qui ne valent pas plus que du papier toilette.Une personne douée de raison et de bon sens ne défendrait jamais ce cys.Il a abusé de la confiance de la fille qui peut être la croyait plus responsable étant donné qu'il est marié et de surcroît père de je ne sais combien d'enfants.je sais que je dois pas le dire mais yérim doit être bien puni 5 ans au minimum.Sa punition va servir d'exemple pour tous les autres pères de familles qui s'amuseraient à pourrir la vie "d'innocentes" jeunes filles dont ils pourraient être leur père.ces doulnalistes qui publient des conneries pareilles participent à la dégradation de notre société et font voler en éclat tout ce nous avons de plus cher à savoir la morale les moeurs les coutumes les traditions et plus la dignité qui est le dernier rempart de l'être vivant si un homme perd sa dignité il devient un cadavre ambulant.quelqu'un disait que le suicide c'est l'honneur derrière la mort.Mais même si ce yérim se suicidait son honneur ne serait jamais lavé.Moi je me demande comment il pourra de nouveau regarder ses 2 femmes ses enfants paieront ses actes toutes leur vies et même ses petits enfants

68.Posté par serpent noir le 19/09/2012 10:15
La constitution est un texte bien claire qui peut être lu et interprété sans parti pris. Entre CYS et AT le ''texte'' n'est pas encore claire car il faut avoir tout le dossier (les dépositions, le certificat médical ...) en main avant de pouvoir donner un point de vu objectif, ce texte est le point de vu d'un ''avocat'' plutôt empressé de conclure à la non culpabilité de CYS grâce à des arguments légers qui ne sont en plus que pures suppositions.
Bien que je sois de tout coeur avec CYS car 5 à 10 ans de prison c 'est quand même beaucoup, ça brise toute une vie, surtout pour une histoire dans laquelle quoi qu'il advienne la fille à sa part de responsabilité.
Mais je pense qu'il peut se passer de ''mauvais juristes'' comme l'auteur de ce texte.

69.Posté par CHERIF AIDARA le 19/09/2012 12:14
chérif aidara le petit fils de cheikh sadibou aidara grand marabout
est la aujourdhui pour aider ce qui on besoin de lui pour tout les domaines
amour chance reussite travail mariage santé succés dans vos entreprises basé sur le saint coran incha allah kou gneuw sa adio fadiou
thi barké cheikhna cheikh sadibou thi barké yonentebi mouhamad salalahou aleyhi wa salam wa salatou wa salam hairou leumbiya badar ak ouhout
contact ;00221 77 921 57 39 ou sur skype aidara61 merci

70.Posté par anonyme le 19/09/2012 13:38
moi je suis une fille mais je suis de tt coeur avc CYS je ne comprends pas comment une fille qui dit ne pas vouloir coucher avc un homme fait ds une auberge se deshabille se laisse frotter et apres dit je veux pas de penetration?qui joue avc le feu risk de sy bruler mais comme ya des gens betes ki reflechissent jamais ils vont croire a l'innoncence de la fille .moi je dis ke ya pas eu de viol ct juste une histoire entre deux adultes consentants ki a mal tourné la fille savait tres bien ce ki lattendait a l'auberge alors arretons de nous leurrer si on devait incarcerer tt homme ki se rend a une auberge avc une fille alors je peux vous dire ke les prisons seraient pleines.

71.Posté par bachir le 19/09/2012 14:38
j'ai la mélancolique impréssion que cys s'est fait beaucoup d'ennemis au senegal à moins que se ne soit le meme qui ecrit sous plusieurs pseudos.
Cette fille a une part trés importante dans ce qui lui est arrivée. Retrouvé un homme dans une chambre d'auberge pour parler de tout et de rien il faut etre bouchée comme une carpe pour y croire.
Faites attention avec les femmes,la mienne m'a dit recemment "fii la tok dila nakharale ta bo ma fassé niou dague sa salaire dima dioh may bégué"

72.Posté par Mlle Aicha le 19/09/2012 16:23
Mr Pierre DIENG

Vos propos sont d'une bassesse insoutenable ! Je sens un acharnement voulu prémédité juste à des fins de dénigrement de la "victime". Par solidarité masculine vous défendez votre ami ? C'est louable mais autant vous demandez le droit de la présomption d'innocence pour votre ami autant je la demande pour Aissata. Tout le monde reconnait son imprudence elle n'est plus à démontrer! Ce qui est choquant et terrifiant même c'est de vous baser sur des exemples qui n'ont absolument rien à voir avec ce cas là ! que la fille ait été à l'auberge qu'elle ait menti sur certains faits cela n'excuse en rien je dis bien EN RIEN l'attitude de votre ami. Se pavaner sur les plateaux de télé en magnifiant son degré de piété et venir quelques jours après mêlé à une affaire de moeurs c'est là l'arnaque ! Cet homme s'est piégé lui-même! Il n'a aucun excuse ! De plus vous vous permettez de critiquer la justice sénégalaise! Que savez-vous de la justice française? Que savez-vous? Rien à part des faits relatés par vos collègues journalistes sur des affaires que vous ne maitrisez pas!
Aissata je ne la défends pas je ne sais pas ce qu'il s'est passé dans cette chambre par contre vos propos montrent à quel point votre QI avoisine celui d'une cacahuète ! C'est bien déplorable Mr DIENG ! Apprenez à juger OBJECTIVEMENT les faits !

73.Posté par Jeanne le 19/09/2012 17:36
LE DANGER DE CONVAINCRE: LE CONVAINCANT SAUVEUR
C’est aussi un manipulateur, mais ici son projet est d’aider autrui. Il n’a pas non plus d’affirmation de soi. Ce qu’il a construit d’ego, pour compenser cela, le porte à vouloir se rendre utile. Il aura besoin de se sentir indispensable. C'est l'attitude "caché st Bernard"

Il déborde d’affectivité mais n’est pas doué pour la chaleur humaine. La différence entre l’affectivité et la chaleur humaine est que l’affectivité étouffe, alors que la chaleur humaine réchauffe.

En vérité il suit ce qu’il croit, mais ne tient pas vraiment compte de l’autre. Même si tel n’est pas son souhait, sans le vouloir, il risque de détruire son interlocuteur. LIRE LA SUITE...

74.Posté par Babs le 19/09/2012 17:45
Il est vraiment nul ce "juriste" et il s'en rendra compte quand dès sous peu il ira prendre des oranges pour le condamné CYS. Cet énergumène de Dieng n'a aucune idée de la notion juridique du viol.......................

75.Posté par Mor Talla FALL le 19/09/2012 18:10
En dehors du titre juriste, qui ressemble plus à une autoproclamation, je ne vois dans l'analyse aucune approche thématique, pouvant déterminer une démarche logique et une conclusion. Seulement, sentimentalement et pour des raisons non avouées, le tristement célèbre juriste prend fait et cause pour CYS, et va jusqu'à prédire le dévergondage de la demoiselle en France. Tout comme un freudien, sans scrupule il dépeint la sexualité avec un dextérité qui frise le rêve de l'impuissant, qui pense tout sexe, mais ne le pratique pas. Mr DIENG va encore plus loin, il est devenu du fait de la cotisation de plusieurs faits similaires, un phallocrate, qui insulte nos filles et nos femmes, à cause de Mathiou et autres pédophiles connus et reconnus. Mais la déstructuration de son pseudo analyse l'emporte c'est quand il accuse CYS d'avoir été interdit de fréquenter sa fille. Voilà un avocat qui rend coupable son client, par une défense décousue, un argumentaire cousu de fil blanc. Donc CYS n'est pas allée dans la chambre d'hôtel avec un homme qu'elle a connu la veille. Ce juriste est un mécanicien qui jauge l'essence, pour voir si les ampoules sont brûlées.

76.Posté par miche le 19/09/2012 18:12
anonime je sui de ton avis.dafa yob lol

77.Posté par kandjiMA le 19/09/2012 18:12
Bonjour chers internautes!
Je suis nouvellement mis en position d'stage à la fastef.Je suis à la recherche d'une chambre dans les quartiers périphériques de la fastef ou UCAD.Si vous en trouvez ne hésiter pas à me contacter.
Email:moraminakandji@yahoo.fr
Contacts:702047319/775788922

78.Posté par jean le 20/09/2012 00:06
Chers journalistes de Dakar actu vous faites beaucoup de fautes dans vos textes. De grâce cherchez un correcteur si vous ne savez pas écrire certains mots. Le mot monsieur est abrégé comme suit: M. et non mr qui est une abréviation anglaise.
merci

79.Posté par souloum salam le 20/09/2012 12:17
Aissata n'est pas sortie de la chambre en voyant CYS mettre un préservatif? Aissata n'est pas venue pour le sexe, mais elle reste avec un homme qui n'a qu'une seule envie, coucher avec elle? Aissata tu es bizarrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr.

80.Posté par mima le 20/09/2012 15:07
CYS est innocent que Dieu soit avec lui

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