L'achat des produits difficiles à recycler, produits à l'étranger, fait perdre au pays beaucoup d'argent, surtout en terme de fiscalité, si l'on se fie au propos du ministre de l'environnement et du développement durable.
"Le Sénégal perd près de 4 milliards de francs CFA d'éco taxes par an à travers l'importation d'équipements électroniques", a révélé le ministre Abdou Karim Sall, qui procédait au lancement officiel de la campagne de communication pour le changement de comportements dans le cadre du projet de gestion des déchets plastiques, des eaux usées et des déchets d'équipements électroniques et électriques, qui concernent les villes de Tivaouane, Dakar et Touba, financé pour deux milliards de francs CFA par le Grand-Duché de Luxembourg et mis en œuvre par l'institut mondial pour la croissance verte (GGGI).
Pour le ministre de l'environnement, " chaque équipement fabriqué et commercialisé fait l'objet de paiement d'une écotaxe, dont le rôle est de participer au vieillissement ou au recyclage de ce produit. Mais malheureusement, nous achetons descappareils électriques et électroniques à l'étranger. Et ces écotaxes sont collectées dans les pays d'origine et ne sont jamais rapatriés dans nos pays. Or nous les pays en développement, nous n'avons pas les moyens suffisants de prendre en charge le vieillissement de ces appareils dangereux", tente d'alerter le ministre Abdou Karim Sall à Tivaouane, rapporte le journal Le quotidien...
"Le Sénégal perd près de 4 milliards de francs CFA d'éco taxes par an à travers l'importation d'équipements électroniques", a révélé le ministre Abdou Karim Sall, qui procédait au lancement officiel de la campagne de communication pour le changement de comportements dans le cadre du projet de gestion des déchets plastiques, des eaux usées et des déchets d'équipements électroniques et électriques, qui concernent les villes de Tivaouane, Dakar et Touba, financé pour deux milliards de francs CFA par le Grand-Duché de Luxembourg et mis en œuvre par l'institut mondial pour la croissance verte (GGGI).
Pour le ministre de l'environnement, " chaque équipement fabriqué et commercialisé fait l'objet de paiement d'une écotaxe, dont le rôle est de participer au vieillissement ou au recyclage de ce produit. Mais malheureusement, nous achetons descappareils électriques et électroniques à l'étranger. Et ces écotaxes sont collectées dans les pays d'origine et ne sont jamais rapatriés dans nos pays. Or nous les pays en développement, nous n'avons pas les moyens suffisants de prendre en charge le vieillissement de ces appareils dangereux", tente d'alerter le ministre Abdou Karim Sall à Tivaouane, rapporte le journal Le quotidien...
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