DAKARACTU.COM Zik Fm a donné l’information hier dans l’après-midi : Abdoulaye Wade a été bloqué pendant 6 heures à l’aéroport de Dakar. A entendre cette radio, l’ancien chef de l’Etat devait décoller à 9 heures pour l’Arabie Saoudite, pays dans lequel il avait prévu de longue date de faire son petit pèlerinage, la Oumra. Au moment de partir à l’embarquement à bord du Falcon qui avait été mis à sa disposition, Ousmane Ngom, Modou Diagne Fada et deux autres personnes se sont vues interdire l’accès à l’avion, où seuls ont pu embarquer Wade et Bara Cissokho, son aide de camp. Selon la version policière, rapportée par Zik, les agents de la tour de contrôle et les autorités aéroportuaires demandaient d’entrer en possession de la demande de survol de l’espace aérien saoudien avant de laisser l’aéronef décoller.
Porte-parole de l’ancien président, Serigne Mbacké Ndiaye dément tout blocage de Wade. Et met cette rumeur sur le compte de manœuvres pour mettre en mal Macky Sall avec son patron. Qui croire ? Une seule certitude: bloquer un ancien chef d’Etat durant 6 heures sur un tarmac, comme un vulgaire fugitif potentiel, est assez incongru et à la limite de l’inélégance.
Avant de partir pour sa oumra, Wade a par ailleurs donné des fermes instructions à ses collaborateurs pour qu’ils payent toutes ses dettes qui seraient liées aux frais de sa dernière campagne, comme les sommes qu’il devrait à des fournisseurs qui ont investi dans leurs tâches, à hauteur de 800 millions. Il ne voulait laisser aucune dette derrière lui.
Porte-parole de l’ancien président, Serigne Mbacké Ndiaye dément tout blocage de Wade. Et met cette rumeur sur le compte de manœuvres pour mettre en mal Macky Sall avec son patron. Qui croire ? Une seule certitude: bloquer un ancien chef d’Etat durant 6 heures sur un tarmac, comme un vulgaire fugitif potentiel, est assez incongru et à la limite de l’inélégance.
Avant de partir pour sa oumra, Wade a par ailleurs donné des fermes instructions à ses collaborateurs pour qu’ils payent toutes ses dettes qui seraient liées aux frais de sa dernière campagne, comme les sommes qu’il devrait à des fournisseurs qui ont investi dans leurs tâches, à hauteur de 800 millions. Il ne voulait laisser aucune dette derrière lui.
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