L’ancien Daf de la direction général des Établissements publics de santé, actuellement entre les mains de la justice après avoir bénéficié d’un nouveau retour de parquet, fera face demain ( mercredi 25 septembre) au doyen des juges dans l’affaire qui l’oppose au docteur Barnabé Gningue suite à une plainte de ce dernier portant sur « détournement de deniers publics ». L’avocat du fonctionnaire que nous avons joint au téléphone précisera que l’affaire porte désormais sur un montant de 19 millions ( déjà mobilisés par la famille aux fins d’une consignation ) et non sur 200 millions « comme dit ailleurs ».
Notre interlocuteur se voudra , d’ailleurs, chirurgical dans le récit pour expliquer comment les choses se sont passées. « Mon client réfute les accusations portées en son encontre. » Nous avons demandé, dimanche passé, au commissaire de faire une perquisition pour nous permettre d’accéder à son bureau et ainsi montrer les éléments justificatifs de ses allégations. En compagnie de la police , nous avons fait une descente au niveau du ministère de la Santé et au niveau de l’Agence Nationale Pharmaceutique. On lui a permis de profiter de toute la journée pour pouvoir sortir les éléments et justifier les montants portant sur des activités réellement exécutées. Maintenant , il est utile de signaler que les informations qui font état d’un trou de 200 millions ne tiennent pas la route. Il a justifié tous les montants évoqués. Il n’y a qu’un montant de 19 millions qui flotte et qui a été détecté par les inspecteurs du ministère de la Santé lors de la passation de service de M. Gningue. Ce sont ces inspecteurs qui ont interpellé ce M. Gningue qui a rétorqué que ce n’est pas lui qui avait signé le chèque en question. On lui a instruit de justifier ou de porter plainte . Et il a porté plainte contre Fawzi.
L’avocat de poursuivre . « Maintenant, Gningue dit qu’il n’a pas signé tous les autres chèques. Ce n’est pas suffisant pour qu’on impute tout cela à mon client . Ce n’est pas possible. Même s’il dit n’avoir pas signé, il fait savoir que les activités portant sur les sommes indexées ont toutes été financées et exécutées. Il n’y a que 19 millions qui flottent ».
Fort de ce qui précède, l’avocat dit fortement espérer que Fawzi Dione aura la possibilité de recouvrer la liberté, étant entendu que la somme en question a été mobilisée. « Si le procureur est d’accord , on est prêt à consigner ce montant de 19 millions pour pouvoir lui faire bénéficier d’une liberté provisoire. L’enquête suivra son cours et on pourra amener toutes les pièces justificatives et montrer qu’il n’est pas coupable des faits pour lesquels il est poursuivi.
Notre interlocuteur se voudra , d’ailleurs, chirurgical dans le récit pour expliquer comment les choses se sont passées. « Mon client réfute les accusations portées en son encontre. » Nous avons demandé, dimanche passé, au commissaire de faire une perquisition pour nous permettre d’accéder à son bureau et ainsi montrer les éléments justificatifs de ses allégations. En compagnie de la police , nous avons fait une descente au niveau du ministère de la Santé et au niveau de l’Agence Nationale Pharmaceutique. On lui a permis de profiter de toute la journée pour pouvoir sortir les éléments et justifier les montants portant sur des activités réellement exécutées. Maintenant , il est utile de signaler que les informations qui font état d’un trou de 200 millions ne tiennent pas la route. Il a justifié tous les montants évoqués. Il n’y a qu’un montant de 19 millions qui flotte et qui a été détecté par les inspecteurs du ministère de la Santé lors de la passation de service de M. Gningue. Ce sont ces inspecteurs qui ont interpellé ce M. Gningue qui a rétorqué que ce n’est pas lui qui avait signé le chèque en question. On lui a instruit de justifier ou de porter plainte . Et il a porté plainte contre Fawzi.
L’avocat de poursuivre . « Maintenant, Gningue dit qu’il n’a pas signé tous les autres chèques. Ce n’est pas suffisant pour qu’on impute tout cela à mon client . Ce n’est pas possible. Même s’il dit n’avoir pas signé, il fait savoir que les activités portant sur les sommes indexées ont toutes été financées et exécutées. Il n’y a que 19 millions qui flottent ».
Fort de ce qui précède, l’avocat dit fortement espérer que Fawzi Dione aura la possibilité de recouvrer la liberté, étant entendu que la somme en question a été mobilisée. « Si le procureur est d’accord , on est prêt à consigner ce montant de 19 millions pour pouvoir lui faire bénéficier d’une liberté provisoire. L’enquête suivra son cours et on pourra amener toutes les pièces justificatives et montrer qu’il n’est pas coupable des faits pour lesquels il est poursuivi.
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