A quoi joue Robert Bourgi ? (Par Cheikh Yérim Seck)


A quoi joue Robert Bourgi ? (Par Cheikh Yérim Seck)

DAKARACTU.COM  Correspondante en Afrique de l’Ouest de l’hebdomadaire français L’Express, Christine Holzbauer a persisté et signé que Karim Wade, fils du président sénégalais, a appelé Robert Bourgi, le 27 juin, et lui a demandé d’intercéder auprès de l’Elysée pour une intervention de l’armée française. Mais le plus cocasse n’est pas là. La journaliste est allée jusqu’à fournir l’heure exacte du coup de fil, 0h 40 mn précisément. Cette information ne peut avoir été donnée que par Bourgi lui-même. Et c’est là où on voit le côté vaudevillesque de l’affaire. Comment un Etat souverain peut-il demander à un autre, fut-il l’ancienne puissance colonisatrice, de faire intervenir son armée pour assurer à sa place sa mission ordinaire de maintien de l’ordre ? Même si Karim Wade est né à Paris et y passe le plus clair de son temps en dépit de ses charges ministérielles, il doit pouvoir faire la part des choses entre le Sénégal et la France. Pourquoi passer par un individu qui n’a aucune casquette officielle en France pour faire passer un message qui relève du secret d’Etat ou du secret-défense ? Qu’est-ce qui empêche les autorités sénégalaises de s’adresser directement à leurs homologues françaises ? Pourquoi l’intermédiaire a-t-il éprouvé la nécessité d’organiser une fuite dans la presse, après avoir été sollicité ? Pour une raison évidente de publicité : Robert Bourgi est un lobbyiste privé payé par les décideurs africains qui recherchent faveurs ou services à Paris. Le seul fait surprenant, c’est qu’il était jusqu’ici perçu comme étant l’ami et une sorte de parrain-protecteur de Karim Wade. C’est lui qui l’a cornaqué pour le faire entrer dans les bonnes grâces de Claude Guéant, fidèle parmi les fidèles du président français Nicolas Sarkozy, devenu ministre de l’Intérieur après avoir occupé le poste stratégique de secrétaire général de l’Elysée. Encore lui qui « arrangeait » les rendez-vous parisiens du fils Wade, du palais présidentiel jusqu’aux cabinets des ministères. Toujours lui qui a été le deus ex machina de l’intercession de Sarkozy pour que Karim Wade serre la main de Barack Obama à Deauville.

Pourquoi donne-t-il alors aujourd’hui des armes à une journaliste pour vilipender son « protégé » ? C’est dans le style de Robert Bourgi d’agir de la sorte. Il y a quelques semaines, il a dévoilé le contenu de ses entretiens avec Idrissa Seck dans un café parisien qui s’est retrouvé dans les colonnes de journaux dakarois. L’a-t-il fait par fidélité à la famille Wade ? Rien n’est moins sûr et personne ne peut convaincre Idrissa Seck que Bourgi n’est pas son ami au vu des confidences qu’il lui fait et des gages qu’il lui donne. A quoi joue Robert ? A mettre en exergue son influence et sa posture d’homme indispensable, sollicité de toutes parts.

Samedi 2 Juillet 2011



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23.Posté par matetate le 07/07/2011 01:07
Sa Maserati est garée à trois pas de ses bureaux, dans le 16e arrondissement de Paris. Lorsque Robert Bourgi se rend en Afrique, c'est presque toujours dans un avion privé affrété par une grande entreprise intéressée par son carnet d'adresses au Gabon, au Congo-Brazzaville, en Côte d'Ivoire ou par un chef d'Etat africain auquel il vend la promesse de contacts politiques de haut niveau en France. Cet entregent est manifestement la source de cette vie confortable, bien plus que son statut officiel d'avocat, lui qui avoue en rian t : "C'est ma femme, Catherine, qui traite les dossiers et plaide. Moi, j'apporte les affaires. D'ailleurs, je n'ai passé la robe que le jour de ma prestation de serment."



A TABLE, IL EST VOLUBILE, AMUSANT, GRAND AMATEUR DE CHABLIS BIEN QU'IL S'AFFIRME "MUSULMAN CHIITE" ET PLUS ENCORE DE FEMMES "SAUF DES AFRICAINES AVEC LESQUELLES (IL N'A) MÊME JAMAIS DANSÉ". DU vivant d'Omar Bongo, il régnait sur l'Hôtel Meurice, le palace parisien où le président gabonais recevait lors de ses séjours en France. Les hommes d'affaires de toutes sortes faisaient antichambre. Pas lui. Bongo était tout à la fois son client, peut-être son ami, et en tout cas le parrain de la petite fille qu'il a eue, tardivement, d'une liaison adultérine assumée, y compris par son épouse- Bourgi étant lui-même le parrain de l'un des fils de Bongo.

Robert Bourgi a toujours appelé Omar Bongo, à l'africaine, "papa". Le secrétaire d'Etat français chargé de la coopération, Alain Joyandet, se souvient de l'avoir vu entrer sans frapper dans la suite du président pour s'introduire sans façon au milieu de leur conversation.

Autant dire que la mort du chef d'Etat gabonais et l'élection présidentielle du dimanche 30 août sont un enjeu majeur pour celui qui se targue d'être le fils spirituel de Jacques Foccart - grand ordonnateur du gaullisme en Afrique et des réseaux qui s'assurèrent après les indépendances de la soumission des anciennes colonies africaines aux intérêts de la France.

C'est Robert Bourgi qui a laissé filtrer, le 7 juin, d'un coup de fil au Point, la nouvelle de la mort d'Omar Bongo. "Ce soir-là, il était mort cliniquement. Je ne sais même pas s'il n'était pas parti avant", glisse-t-il tranquillement. Quelques heures plus tard, malgré les démentis farouches de l'Etat gabonais, l'AFP confirmait la mort du doyen de la Françafrique, citant "une source proche du gouvernement français", qui, à en croire Bourgi, n'était autre que... lui-même.

Existe-t-il plus haut attribut du pouvoir que de décider de l'heure de la mort d'autrui ? Ce fut, en tout cas, la façon la plus efficace de signifier au plus haut sommet des Etats français et gabonais un message clair : il faudrait compter avec lui pour gérer la succession.

Depuis l'élection de Nicolas Sarkozy, le franc-tireur Robert Bourgi est partie prenante de la politique africaine de l'Etat. Dans la galaxie foisonnante des intermédiaires et des communicants qui vendent leur influence aux dirigeants africains, il occupe une place à part. "Je suis un ami très écouté de Nicolas Sarkozy", insiste-t-il.

Cet été, il a mis toute son énergie au service de l'élection de son poulain, Ali Ben Bongo, fils et héritier du président défunt qu'il présente comme "le meilleur défenseur des intérêts français dans tous les domaines". Mais son candidat est aussi son client : "Si Ali Bongo n'est pas élu, Bourgi perd l'un de ses derniers gros marchés", résume un haut diplomate.

D'où vient que ce sexagénaire chaleureux, né à Dakar dans une famille de grands commerçants libanais et "initié à l'Afrique par M. Foccart", ait gardé tant d'influence à droite, notamment auprès d'un Nicolas Sarkozy qui, lors de sa campagne, promettait d'en finir avec ces réseaux parallèles à la diplomatie ?

D'un sens aigu de la psychologie du pouvoir. D'un charme à la fois viril et désuet. D'un goût affirmé de la discrétion. Et d'un très solide réseau. Car Robert Bourgi, fils d'un riche importateur de textile, a su faire fructifier ses connaissances. Son père a noué des relations d'affaires avec Jacques Foccart. Le conseiller de De Gaulle, puis de Georges Pompidou, dirige alors une société d'import-export de tissu, la Safiex, "en relation d'affaires avec papa, un richissime importateur de textile" à Dakar.

Mahmoud Bourgi, gaulliste de la première heure, est l'un des premiers inscrits au Rassemblement du peuple français (RPF). Son fils écrit donc à Foccart, lorsque, après des études de droit en France, il cherche une situation. Sa thèse de doctorat d'Etat a porté sur "Le général de Gaulle et l'Afrique noire". Il enseigne le droit comme coopérant à Cotonou, Nouackchott puis Abidjan. Il rêve de mieux.

A la faculté d'Abidjan, il a rencontré Laurent Gbagbo, alors professeur d'histoire, qui deviendra en 2000 président de la Côte d'Ivoire. Jacques Foccart n'a pas de successeur. Mais il introduit Bourgi auprès de Jacques Chirac. et surtout, en 1978, auprès de l'homme-clé de l'Afrique de l'époque, l'inventeur du concept de Françafrique, le président ivoirien Félix Houphouët-Boigny. Les relations avec le président du Congo, Denis Sassou Nguesso, puis avec Omar Bongo suivront.

Avec tous, Robert Bourgi copie ce mélange de déférence apparente et de familiarité propre à Foccart et y ajoute son humour et sa chaleur orientale. En France, il s'est immiscé avec le même entregent dans les milieux politiques, auprès de Jacques Chirac, de Charles Pasqua - avec lequel il se fâchera - et de Nicolas Sarkozy, rencontré en 1983 au siège du RPR, "un gamin brillantissime", dit-il.

En 1997, la mort de Jacques Foccart menace soudain de le fragiliser. Il va jouer son coup de maître. Le jour de l'enterrement, alors qu'il pleure comme un enfant la mort de ce "second père", Chirac le prend dans ses bras et le convie à passer le soir même à l'Elysée. Il y a là son secrétaire général Dominique de Villepin. Et Jacques Chirac adoube Robert Bourgi : "Vous allez travailler ensemble, Dominique et vous. Si je ne suis pas disponible, c'est lui qui vous recevra." Désormais, Bourgi initiera Villepin à l'Afrique.

Cela ne va pas sans résistance. Le Quai d'Orsay est révulsé par les méthodes de Bourgi. Le conseiller officiel pour l'Afrique de Jacques Chirac, Michel de Bonnecorse, affirme que le président lui a répondu, alors qu'il lui demandait que faire des demandes de rendez-vous de Bourgi : "Vous ne le prenez pas au téléphone, vous ne le recevez jamais à la présidence. S'il a des choses à dire, qu'il les dise au ministère des affaires étrangères."

Il n'empêche, Robert Bourgi rencontre Dominique de Villepin une fois par mois. Il lâchera cependant le protégé de Jacques Chirac le jour où il comprendra que celui-ci n'a aucune chance de l'emporter à la présidentielle. "Bourgi a ramené à Sarkozy la ration d'aide financière prévue pour Villepin de la part de Bongo et de Sassou", assure aujourd'hui un chiraquien.

Son rôle auprès de Nicolas Sarkozy ? "Du trafic d'influence", pestent les diplomates qui assurent qu'il crée de faux conflits entre la France et les chefs d'Etat africains afin de monnayer sa capacité à les réconcilier. "Je travaille à la fois pour les présidents africains et pour le président français, explique-t-il tranquillement. Je ne suis pas conseiller, plutôt missi dominici. Mais je ne me déplace jamais sans informer Sarko et Guéant."

Le secrétaire d'Etat à la coopération, Alain Joyandet, ne l'ignore pas. "Il ne fait pas la politique de la France en Afrique, affirme-t-il, mais il exprime parfois des choses que nous ne pourrions pas dire." Claude Guéant explique qu'il "aime bien bavarder avec lui des réalités africaines". "Il perçoit l'importance des phénomènes tribaux, des croyances, argumente le secrétaire général de l'Elysée. Mais nous ne lui confions aucune mission. Et s'il prétend avoir vendu aux pouvoirs publics sa préférence personnelle, il va au-delà de son rôle." Bruno Joubert, le conseiller Afrique du chef de l'Etat, voudrait pour sa part ne lui voir jouer qu'un rôle d'informateur sur la vie privée des chefs d'Etat africains, comme lors de l'hospitalisation d'Omar Bongo, que la France n'a pas apprise par les canaux diplomatiques officiels.

Robert Bourgi tourne cela autrement : "Au Gabon, la France n'a pas de candidat, mais le candidat de Robert Bourgi, c'est Ali Bongo, explique-t-il en souriant. Or je suis un ami très écouté de Nicolas Sarkozy. De façon subliminale, l'électeur le comprendra."

Il a en tout cas su se faire adouber symboliquement par le nouveau président français en figurant dans le cercle réservé à la famille, lors de la cérémonie d'investiture, le 16 mai 2007. Puis se faire remettre la Légion d'honneur par Nicolas Sarkozy, le 27 septembre 2007. Obtenir, au nom d'Omar Bongo, le renvoi du ministre de la coopération Jean-Marie Bockel, coupable d'avoir déclaré mettre fin à la Françafrique. "Il a gravi un à un une échelle qui a accrédité l'idée de sa surpuissance et augmenté le nombre de dirigeants prêts à payer ses services", reconnaît l'écrivain Jean-Christophe Rufin, ambassadeur de France au Sénégal. Il appartient aujourd'hui au premier cercle des donateurs de l'UMP, ceux qui peuvent donner au maximum 7 500 euros et apporter les contributions de leurs amis.

Sur le plan politique, la puissance de Robert Bourgi est cependant plus fluctuante qu'il le laisse croire. Il ne monnaie plus son entregent que dans cinq ou six pays sur les cinquante-trois que compte l'Afrique. Mais nombre de diplomates craignent que son influence auprès de Nicolas Sarkozy reflète l'idée que le président se fait de l'Afrique, celle d'"un continent qu'on ne tient que par les barbouzes"

VOILA ce qu'il pense des africains et des africaines.
la mentalite typique des llibanais.

22.Posté par gaye le 05/07/2011 13:58
je pense que karim n´a pas de consideration pour les senegalais, ni de respect... ca se voit que c´est un poltron et qu´il n´est pas senegalais a cent pour cent .
jarama cheikh...

21.Posté par M. Samba le 05/07/2011 13:00
Karim est un "terrible" ignorant.. Le marasme économique vers le quel il nous conduit (pour en profiter évidemment) ne lui suffit plus. Il nous mènera irrémédiablement à la catastrophe si on n'y prend garde. C'est comme si on avait confie des bombes atomiques à un profane. Elles peuvent exploser à tout instant à son insu. ABLAYE WADE CESSE DE JOUER AVEC NOTRE PAYS. LE SÉNÉGAL N"EST PAS UN JOUET QUE L"ON CONFIE A SON ENFANT.

20.Posté par reymi le 04/07/2011 14:34
cheikh yerim seck se fait entretenir par les chefs d'Etat africains. C'est un chasseur de prime. Il est loin d'être un journaliste desinteressé mû par la déontontolgie qui sied à son metier. Tu fais honte, cheikh yerim

19.Posté par Le Peuple le 04/07/2011 12:09
"Demander l'intervention de l'Armée française pour le maintien de l'ordre dans notre Pays"...c'est cela un manque de respect au Peuple sénégalais. De qui se moque-t-on?

18.Posté par DIOR02 le 04/07/2011 12:01
k cette maudite famille wade parte é laisse notre cher SENEGAL en P A I X.

17.Posté par Colombo le 04/07/2011 11:19
Après avoir visité votre site depuis son lancement, je peux vous présenter mes encouragements. Le niveau de l'analyse de vos articles est très satisfaisant. restez crédible et deu vous protège. Wa salam.

16.Posté par Dr FAlilou SENGHOR le 03/07/2011 15:05
Bravo Yerim. faites l'effort de rester crédible..

Qui est donc le yambar qui était présenti comme colistier ??? !!!

Bara dolli , Cheikh Diallo ou Cheikh Tidiane Sy comme vice-président ??? ??? ???,

Ou cette dépravée de Awa DIOP ou encore Awa Ndiaye cuillère comme Vice-présidente !!!!!!!!??

C'est nous qui avons porté Abu Wade renaissance au pouvoir par la force du suffrage universel mais surtout par nos sacrifices . Après, nous avons tout accepté de lui, depuis 2000.

Le PDS ne lui a jamais rien refusé. Quand les contempteurs s'exprimaient, nous leur disionS " bayi gorgui mou liguey " même parfois quand le vieux prenait le mauvais chemin en violant la constitution.

En fin de compte, excepté le monument de Ouakam , Wade n'a rien foutu sauf concéder à son fils des avantages et couvrir l' immense impéritie par des mensonges. Désormais , nous ne reconnaissons plus à Abu monument Wade le droit de donner des attributs et prérogatives régaliens à ses enfants.

Son fils, Carim nous ne le tolérerons plus ! D''ailleurs nous lui retirons à Wade notre confiance.

Game is over, Gorgui, peut se retirer !!


Qui est donc ce yambar qui était présenti comme colistier ??? !!!

Bara dolli , Cheikh Diallo ou Cheikh Tidiane Sy comme vice-président ??? ??? ???,

Ou cette dépravée de Awa DIOP ou encore Awa Ndiaye cuillère comme Vice-présidente !!!!!!!!??

C'est nous qui avons porté Abu Wade renaissance au pouvoir par la force du suffrage universel mais surtout par nos sacrifices . Après, nous avons tout accepté de lui, depuis 2000.

Le PDS ne lui a jamais rien refusé. Quand les contempteurs s'exprimaient, nous leur disionS " bayi gorgui mou liguey " même parfois quand le vieux prenait le mauvais chemin en violant la constitution.

En fin de compte, excepté le monument de Ouakam , Wade n'a rien foutu sauf concéder à son fils des avantages et couvrir l' immense impéritie par des mensonges. Désormais , nous ne reconnaissons plus à Abu monument Wade le droit de donner des attributs et prérogatives régaliens à ses enfants.

Son fils, Carim nous ne le tolérerons plus ! D''ailleurs nous lui retirons à Wade notre confiance.

Game is over, Gorgui, peut se retirer !!


15.Posté par baolbaol bi le 03/07/2011 14:17
ce qui est important est que l'info circule ! quand les laobé se battent les anes se reposent ou paissent tranquillement !

14.Posté par Pierre Dieng le 03/07/2011 13:01
Pour comprendre l'appel SOS à l'armée française, il faut savoir ceci: des accords secrets de coopération bilatérale entre le Sénégal et la France autorisent l'armée française à intervenir en territoire sénégalais qu'en cas de menaces sur la population des expatriés français. Or, Karim Wade a la double nationalité. En effet, ce monsieur de mauvais augure a commencé à utiliser la nationalité sénégalaise, le passeport sénégalais et la carte d'identité sénégalaise qu'à partir de 2000 lorsque son père a été élu président de la république du Sénégal. Auparavant, le déraciné Karim Wade avait un profond mépris de l'identité sénégalaise et voyageait qu'avec la carte d'identité française et le passeport français! Voici le personnage qui n'a jamais renoncé à sa double nationalité (tout comme le président d'opérette du Sénégal qui reçoit ses ordres de nègre de service de l'Elysée pour aller à Benghazi)! Ceci précisé, juridiquement il ne revient pas à cet enfant pourri et gâté de demander l'intervention de l'armée française: c'est de la compétence exclusive de celui qui détermine la politique de la Nation sénégalaise. Même dans ce cas de figure, l'armée française n'a pas besoin de la permission ou de la demande du président de la république du Sénégal; l'armée française peut intervenir si elle en reçoit l'ordre du président de la république française qui avise seulement son homologue sénégalaise de son intention lorsque des vies françaises sont en péril. Sur quelle base légale, cet impoli de Karim Wade ose-t-il solliciter l'intervention de 'armée française? Voilà comment est dirigée la république bananière du Sénégal!

13.Posté par mpro le 03/07/2011 09:43
Mamadou je te rappelle qu'à 42 ans Niass était un diplomate trés respecté et un proche de Senghor dont il a été directeur de cabinet. Tanor Dieng a lui aussi était dèjà, à 42 ans un haut fonctionnaire de notre administration. ces gens là ont un parcour plus qu'honorable malgrès leurs erreurs passées. oser comparer ces hommes avec un moins que rien collé aux basques de son père qui ne s'est jamais battu pour le sénégal m'a tout l'air d'un "foutage de gueule", permettez - moi l'expression, de ta part. qu'a fait Karim wade pour le sénégal avant l'accession de son père à la magistrature suprême? combien sont - ils , les sénégalais qui ne le connaissaient même pas? où sont passé passé tous ces valeureux hommes qui se sont battus aux côtés de sont père pendant que lui se la couler douce en europe au lieu de se battre au coté de son père? comment un fils digne peut - il laisser son vieux père se faire emprisonner sans venir se battre à ses côtés? et puis , comme tu est amnésique, laisse moi te rappeller une chose, moustapha niass c'est celui qui a osé se rebeller contre le régime socialiste, qui soutenu wade au second tour de l'election en Mars 2000 et qui a financé sa campagne. tout le monde le sait dans ce pays. et puis quoi qu'on peut repprocher à ces hommes on ne peut pas dire qu'ils ne se sont pas battus pour défendre leurs convictions politique. dit moi quel est le mérite de wade fils pour mériter sa position à part qu'il est le fils de son père qui se trouve être le président et qui s'entête à vouloir nous l'imposer comme son succésseur. c'est notre droit le plus élémentaire que de le refuser cathégoriquement. et il peut utiliser tous les moyens dont il dispose mais ça ne passera pas. ce grand pays mérite mieux que karim wade comme président. de toute façon la vie n'a jamais été aussi chère au sénégal que sous le règne de wade et il n'y a jamais eu autant de scandales financiers à coup de milliards. alors ne nous enmerde pas avec tes prédictions à la con. nous somme libres de choisir nos dirigeants et de les démettre s'ils ne nous conviennet plus. c'est cela la démocratie du peuple par le peuple et pour le peuple et pout nul autre fusse - t - il wade. le pouvoir appartient au peuple qui le donne au dirigeant qu'il aura choisi. abdoulaye wade n'a pas à nous imposer un quelconque succésseur. c'est trés prétentieux de sa part de croire qu'il a un tel pouvoir.

12.Posté par Ndiol Mou Ndaw le 03/07/2011 05:03
Il avait peur. C'est un toubab. Il ne comprenait pas la fureur des senegalais ce jour. Karim est vraiment un etranger parmi nous. Son pere veut faire de lui "le premier senegalais". Ndeysanne.

11.Posté par mamadou le 03/07/2011 03:21
je pense que la plupart des senegalais sont injustes envers karim wade. a la limite, c'est de la xenophobie.niass, tanor et compagnie avaient ils l'intelligence de karim a 42 ans? sont ils exempts de reproches quand ils occupaient des positions de pouvoir comme wade junior ? en 2014 quand wade ne sera plus au pouvoir,que la vie deviendra de plus en plus chere,que les abonnes de l'electricite et les chomeurs augmenteront que les nombreux chaines de teles, journaux tireront sur tout ce qui bouge,les gens regretteront wade et n'hesiteront pas a revoir leurs positions xenephobes sur karim et pourquoi pas a voter pour lui. je ne suis pas une feuille morte qui se laisse emporter par le vent.mon opinion sur karim ne sera jamais faconne sur ce qu'en disent les medias...

10.Posté par citoyen.sn le 02/07/2011 18:53
Ceci prouve que Wade ne respecte pas les sénégalais.A beau vouloir faire de son fils un présidentiable, je suis sur qu'il n'y arrivera jamais car Karim n'a aucun mérite.Lui même n'est pas sérieux et il le sait pertinemment pour ne pas dire que c' est un faut type.
Moi a sa place, j'allais faire comme les fils d'Abdou Diouf ou de Senghor c'est a dire ne jamais occuper un poste ministériel.Seulement il avait toujours en tête qu'avec son papa presi qui se prend pour un demiurge il allait être pistonné au rang le plus élevé.
Depuis le 23 juin il a eu une idée nette de l’échec du plan ourdi par son père et qui devait faire de lui le futur presi.
Karim on ne nait pas président, on le devient.

9.Posté par y en a marre le 02/07/2011 17:32
il faut k les senegalia soit unit c gent ki nou gouverne son des fau tibb il doit prendre kel un ki prendre no blem mé pa les blem de son parti ou cll de sa family

8.Posté par DENZEL le 02/07/2011 16:26
ROBERT BOURGI A TOUT FAIT POUR L'ELECTION DE ALI BONGO AU GABON ET CELLE DE FAURE EYADEMA AU TOGO.CET HOMME EST DANGEREUX ET N'A AUCUN RESPECT POUR LES AFRICAINS.LA FRANCAFRIQUE C'EST DU PASSE NOTRE GENERATION N'A QUE FAIRE DES ETATS D'AME DE LA FRANCE NOUS SOMMES NES LIBRES DONC DECOMPLEXES.LA FRANCE EST EN PERTE DE VITESSE EN AFRIQUE AUJOURD'HUI LES JEUNES VONT PLUS AU CANADA AUX STATES ET EN ANGLETERRE .LES IMAGES DES AFRICAINS HUMILIES A L'EGLISE SAINT BERNARD ONT FAIT LE TOUR DU MONDE ET CHOQUEES PLUS D'UN.LES SENEGALAIS VONT MONTRER AU RESTE DE L'AFRIQUE COMMENT SE DEBARASSER DE CES REJETONS POURRIS ET INCOMPETENTS FILS DE.....QUAND A KARIM WADE QUOI DE PLUS NORMAL QU'IL APPELLE AU SECOURS L'ARMEE DE SON PAYS ;LA FRANCE?LE PEUPLE SENEGALAIS EST DECIDE A EN FINIR AVEC CE POUVOIR CORROMPU ARROGANT ASSASSIN ET DEMAGOGIQUE.WAIT AND SEE

7.Posté par baol-baol le 02/07/2011 14:58
Robert Bourgi il faut cesser tes coups de bec à ton pays....ce nest pas du tout serieux.....tu peux faire tes afffaires au niveau du palais presidentiel de france mais quand meme faut pas amener la guerre au senegal........

6.Posté par pape sady le 02/07/2011 14:00
Il est vrai que les agissements de Bourgui ne sont pas orthodoxe, mais c'est karim Wade qui me fait honte. Il n'a aucunes connaissances ni dans le domaine de la diplomatie encore moins politique. il ferait mieux de retourner en France il est indigne de l'homo senegalensis.
Merci pour les éclairages.

5.Posté par Mamadou Ndiaye le 02/07/2011 13:15
Il faut cesser d’accuser les personnes sans aucune preuve. Ce n’est pas décent.

4.Posté par gabon le 02/07/2011 12:44
yerim est payé par karim wade, ça se voit de plus e plus

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