
Mouhamed Mbaye, Ibrahima Ba, Serigne Modou Lo, Alassane Lo, Mor Talla Fall, Matar Ndao et Fallou Lo ont tous été avertis du délit d’outrage à agents de la fonction publique dans l’exercice de leurs fonctions.
Traduit, ce 12 mai, devant la barre des flagrants délits du tribunal de grande instance de Dakar, les 6 vendeurs à la sauvette ont été arrêtés au marché de Rufisque pour non respect d’interdiction d’écouler leurs marchandises sur la voie publique.
« Les policiers m’ont trouvé au marché de Rufisque en train de siroter mon café et m’ont appréhendé. J’ignore sincèrement les motivations de mon arrestation », explique Mouhamed le premier des prévenus et le plus élancé du groupe.
« Deux (2) des policiers sont venus m’emmener avec eux en disant que je faisais partie du lot. Pour l’histoire, je ne sais même pas ce qui s’est réellement passé », enchaîne Ibrahima Ba.
Pour sa part, Matar Ngom s’est plus inquiété de ses bagages saisis par les enquêteurs.
« Les agents sont venus récupérer nos marchandises alors que celles-ci se trouvaient dans un chariot.
Personne d’entre nous n’a barré l’axe, ce sont les agents de la mairie qui n’arrêtent pas de nous pourchasser au quotidien », a-t-il déclaré.
Dans sa plaidoirie, le maitre des poursuites a sollicité de la Cour une application de la loi pénale.
Selon la défense, rien dans cette affaire ne va dans le sens d’une quelconque culpabilité. L’avocat des 6 mis en cause a plaidé pour leur relaxe.
Dans son verdict, le juge a, toutefois, déclaré coupables, les marchands ambulants et les a condamnés à 1 mois avec sursis.
Traduit, ce 12 mai, devant la barre des flagrants délits du tribunal de grande instance de Dakar, les 6 vendeurs à la sauvette ont été arrêtés au marché de Rufisque pour non respect d’interdiction d’écouler leurs marchandises sur la voie publique.
« Les policiers m’ont trouvé au marché de Rufisque en train de siroter mon café et m’ont appréhendé. J’ignore sincèrement les motivations de mon arrestation », explique Mouhamed le premier des prévenus et le plus élancé du groupe.
« Deux (2) des policiers sont venus m’emmener avec eux en disant que je faisais partie du lot. Pour l’histoire, je ne sais même pas ce qui s’est réellement passé », enchaîne Ibrahima Ba.
Pour sa part, Matar Ngom s’est plus inquiété de ses bagages saisis par les enquêteurs.
« Les agents sont venus récupérer nos marchandises alors que celles-ci se trouvaient dans un chariot.
Personne d’entre nous n’a barré l’axe, ce sont les agents de la mairie qui n’arrêtent pas de nous pourchasser au quotidien », a-t-il déclaré.
Dans sa plaidoirie, le maitre des poursuites a sollicité de la Cour une application de la loi pénale.
Selon la défense, rien dans cette affaire ne va dans le sens d’une quelconque culpabilité. L’avocat des 6 mis en cause a plaidé pour leur relaxe.
Dans son verdict, le juge a, toutefois, déclaré coupables, les marchands ambulants et les a condamnés à 1 mois avec sursis.
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