Comme pratiquement tous les jours de procès, les pro-Karim ont pris d’assaut le Palais de justice de Dakar pour assister à la énième audience de Wade fils de lundi. Malheureusement, indique Mr Élias Bassène, coordinateur national du mouvement ‘’OK Karim’’, «à notre grande surprise, il n’y a pas eu de procès ce matin». Il a souligné avoir appris, de source autorisée, que Karim Wade a décidé de ne pas comparaître tant que la Crei n’apporte pas les conditions d’un procès équitable. J’y adhère entièrement, et je le soutiens dans cette position».
Selon Mr Bassène, il est temps de siffler la fin de la récréation; «Karim a raison d’exiger que toutes les conditions soient réunies pour le déroulement d’un procès juste avant de venir comparaître». Ce qui s’est passé mercredi dernier, rappellera-t-il, l’agression dont il était victime a été écœurante, choquante et révoltante.
«En posant un tel acte, le régime en place a démontré suffisamment qu’il est dictatorial; il fait fi des droits les plus élémentaires de ses concitoyens», selon Mr Bassène. Il croit que ce n’est plus une affaire de souteneurs de Karim Wade, du Pds, mais du peuple sénégalais qui est atteint dans ses fondamentaux, «dans ce que nous avons de plus important, c’est-à-dire notre démocratie, notre liberté d’expression».
Le coordinateur du mouvement ‘’Ok Karim’’ invite les sénégalais à se mobiliser comme un seul homme pour défendre «ces acquis que les générations antérieures ont obtenus de haute lutte».
Il estime que Karim Wade est dans ses droits et a raison de refuser de comparaître; «une Cour où on maltraite des détenus, ce n’est plus une Cour», a-t- il laissé entendre, sans tenir compte du fait qui est à l’origine de «l’agression» dont il fait état. Pourtant, faut-il le noter, l’avocat de la défense, Me Amadou Sall, avait fini de «piétiner les prérogatives» du Juge Henri Grégoire Diop qui n’avait d'autre solution que de faire sortir ce dernier de la salle d’audience…
Selon Mr Bassène, il est temps de siffler la fin de la récréation; «Karim a raison d’exiger que toutes les conditions soient réunies pour le déroulement d’un procès juste avant de venir comparaître». Ce qui s’est passé mercredi dernier, rappellera-t-il, l’agression dont il était victime a été écœurante, choquante et révoltante.
«En posant un tel acte, le régime en place a démontré suffisamment qu’il est dictatorial; il fait fi des droits les plus élémentaires de ses concitoyens», selon Mr Bassène. Il croit que ce n’est plus une affaire de souteneurs de Karim Wade, du Pds, mais du peuple sénégalais qui est atteint dans ses fondamentaux, «dans ce que nous avons de plus important, c’est-à-dire notre démocratie, notre liberté d’expression».
Le coordinateur du mouvement ‘’Ok Karim’’ invite les sénégalais à se mobiliser comme un seul homme pour défendre «ces acquis que les générations antérieures ont obtenus de haute lutte».
Il estime que Karim Wade est dans ses droits et a raison de refuser de comparaître; «une Cour où on maltraite des détenus, ce n’est plus une Cour», a-t- il laissé entendre, sans tenir compte du fait qui est à l’origine de «l’agression» dont il fait état. Pourtant, faut-il le noter, l’avocat de la défense, Me Amadou Sall, avait fini de «piétiner les prérogatives» du Juge Henri Grégoire Diop qui n’avait d'autre solution que de faire sortir ce dernier de la salle d’audience…
Autres articles
-
Les Etats-Unis acceptent de retirer leurs troupes du Niger
-
Lutte contre les changements climatiques à Kolda : Les producteurs indemnisés à hauteur de 14 millions par l'assurance agricole (CNAAS)
-
Canicule à Kolda : Étouffement, déshydratation, insolation, inquiétude...
-
Saly : "La Plateforme de l'Apix a accompagné 187 entreprises et plus de 684 milliards captés" (Abdoulaye Baldé, Dg Apix)
-
Keur Mousseu/ Litige foncier: Des travailleurs de la société QVS ont momentanément bloqué le péage