Le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan a effectué une visite à la Direction générale des impôts et des domaines (DGID) cet après-midi, en compagnie du ministre en chargé du budget, Birima Mangara.
A cette occasion, le ministre en charge du Budget s’est réjoui d’avoir rencontré des collaborateurs afin de voir dans quelles conditions ils travaillent, mais surtout dans le but d’évaluer leurs performances et les mobiliser à atteindre les objectifs assignés.
Selon lui, en matière de recettes de performance à la DGID, les résultats sont satisfaisants. « Je félicite toutes les directions générales qu’on a rencontrées. Pour la direction Générale des impôts et des domaines, les objectifs qui ont été assignés sont dépassés de l’ordre d’environ 10 milliards 700 millions. Et en glissement annuel, les résultats enregistrés dépassent de loin ceux qui ont été réalisés à la même période de l’année dernière de près de 67 milliards », a-t-il soutenu.
Toutefois, d’après Birima Mangara, pour les recettes budgétaires, les objectifs ne sont pas encore atteints. « Nous sommes à mi-parcours et c’est à peu près un retard dans l’atteinte des objectifs de l’ordre d’environ 44 milliards, sans tenir compte des taxes sur la Senelec qui sont en suspens et du fait que les liquidations en ce qui concerne la douane sont de loin supérieures au recouvrement, il y a une moins value qui peut être appréhendée d’ici quelques jours , les services sont en train de travailler sur cette question et l’espoir est maintenu d’ici à la fin de l’année, car les objectifs seront largement atteints. » Non sans préciser qu’en termes de glissement annuel, ce qui a été réalisé à cette période par rapport à 2014 est largement supérieur.
Il a par ailleurs soutenu que le niveau de pression sociale est sous contrôle, mais il faut développer une stratégie. « Il faut une plateforme pour un bon dialogue entre les administrations, surtout entre les régies financières, ensuite de l’interconnexion au plan de l’informatique et de l’élargissement de l’assiette. » A cet effet, il dira « les performances pourront être augmentées, un contrat de performance a été établi, et parmi les objectifs fixés, il y a la mobilisation des ressources, des réformes à engager et une grande mobilisation de cette maison. »
Pour sa part, le Directeur des impôts et domaines a soutenu dans son discours que pour le reste de l’année budgétaire 2015, la structure compte réaliser l’objectif de 996 milliards fixé par la loi de finance. Mieux, il propose de le porter à 1 000 milliards. « Nous mesurons l’ampleur du défi et tous les agents sont déterminés à le relever » déclare-t-il. Selon lui, la mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent (Pse) nécessite des recettes budgétaires importantes. Concernant le volet foncier, il estime que les services compétents sont fortement impliqués dans l’identification, la sécurisation et la mise à disposition des assiettes foncières devant abriter les grands projets du président de la République.
A cette occasion, le ministre en charge du Budget s’est réjoui d’avoir rencontré des collaborateurs afin de voir dans quelles conditions ils travaillent, mais surtout dans le but d’évaluer leurs performances et les mobiliser à atteindre les objectifs assignés.
Selon lui, en matière de recettes de performance à la DGID, les résultats sont satisfaisants. « Je félicite toutes les directions générales qu’on a rencontrées. Pour la direction Générale des impôts et des domaines, les objectifs qui ont été assignés sont dépassés de l’ordre d’environ 10 milliards 700 millions. Et en glissement annuel, les résultats enregistrés dépassent de loin ceux qui ont été réalisés à la même période de l’année dernière de près de 67 milliards », a-t-il soutenu.
Toutefois, d’après Birima Mangara, pour les recettes budgétaires, les objectifs ne sont pas encore atteints. « Nous sommes à mi-parcours et c’est à peu près un retard dans l’atteinte des objectifs de l’ordre d’environ 44 milliards, sans tenir compte des taxes sur la Senelec qui sont en suspens et du fait que les liquidations en ce qui concerne la douane sont de loin supérieures au recouvrement, il y a une moins value qui peut être appréhendée d’ici quelques jours , les services sont en train de travailler sur cette question et l’espoir est maintenu d’ici à la fin de l’année, car les objectifs seront largement atteints. » Non sans préciser qu’en termes de glissement annuel, ce qui a été réalisé à cette période par rapport à 2014 est largement supérieur.
Il a par ailleurs soutenu que le niveau de pression sociale est sous contrôle, mais il faut développer une stratégie. « Il faut une plateforme pour un bon dialogue entre les administrations, surtout entre les régies financières, ensuite de l’interconnexion au plan de l’informatique et de l’élargissement de l’assiette. » A cet effet, il dira « les performances pourront être augmentées, un contrat de performance a été établi, et parmi les objectifs fixés, il y a la mobilisation des ressources, des réformes à engager et une grande mobilisation de cette maison. »
Pour sa part, le Directeur des impôts et domaines a soutenu dans son discours que pour le reste de l’année budgétaire 2015, la structure compte réaliser l’objectif de 996 milliards fixé par la loi de finance. Mieux, il propose de le porter à 1 000 milliards. « Nous mesurons l’ampleur du défi et tous les agents sont déterminés à le relever » déclare-t-il. Selon lui, la mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent (Pse) nécessite des recettes budgétaires importantes. Concernant le volet foncier, il estime que les services compétents sont fortement impliqués dans l’identification, la sécurisation et la mise à disposition des assiettes foncières devant abriter les grands projets du président de la République.
Autres articles
-
Abus de confiance : un agent commercial de la Sénégalaise de Boissons (LSB) accusé d'un détournement de plus de 14 millions
-
Trafic de faux médicaments: Des produits d’une contrevaleur de 403 millions saisis à Mbodiène
-
Le président de la république, Bassirou Diomaye Faye a effectué la prière de ce vendredi à la Mosquée Omarienne.
-
L’expert Moustapha Guèye sur les drames routiers : « la façon dont le Sénégal gère le contrôle routier est obsolète.»
-
Un accident occasionnant 04 morts sur l'axe Mbour /Kaolack..