Vers le clash Macky/Idy ?


Vers le clash Macky/Idy ?
DAKARACTU.COM   En dépit des apparences et notamment la reconduction des ministres "Rewmistes" dans le deuxième gouvernement de l'ère Macky, nos sources s'accordent à dire que "les relations ne sont plus au beau fixe entre Idy et Macky". Quid des raisons ? Il nous revient, de recoupements en recoupements, que "tous les signaux portent à croire que l'on s'achemine vers un clash entre Idrissa Seck et Macky Sall". Pour preuve, nos sources brandissent le fait que Macky déleste, contre toute attente, Oumar Guèye du portefeuille de la Restructuration et de l'Aménagement des zones d'inondations "confié à M. Khadim Diop", lors du dernier réaménagement gouvernemental. Or, ce département devait, selon nos sources, revenir au ministre "rewmiste" Oumar Guèye. Aux yeux de nos informateurs, il s'agit "d'un signal fort" lancé à Idrissa Seck, après qu'il ait  déclaré, lors de la fête de Tabaski: "aujourd’hui, force est de constater qu’après six mois d’exercice du pouvoir, qu’il n’y a pas d’avancée significative. Six mois c’est peut-être encore trop tôt pour faire un bilan. Le président est élu cinq afin de régler les problèmes les plus urgents à savoir le chômage des jeunes, la baisse des denrées de premières nécessités, le règlement du conflit de la crise casamançaise entre autres." Une déclaration, qui n'a pas plu, selon nos sources, à celui qui préside aux destinées du Sénégal, mais aussi et surtout à ses ouailles de l'APR, qui ont qualifié cette sortie de "bravade". D'ailleurs, certains caciques du parti au pouvoir n'ont pas hésité à monter au créneau pour "remonter les bretelles" au "Rewmiste" en chef, en l'occurrence Idrissa Seck. En effet, l'un d'eux, nous voulons nommer le député de l'APR, Seydina Fall qui a récemment accordé une interview pour laisser entendre: "Personnellement, j’ai de sérieuses réserves par rapport à la bonne foi d’Idrissa Seck. Je suis désolé, mais cet homme ne m’inspire pas confiance. Il est clair qu’il ne terminera pas le premier mandat avec nous et ses méthodes peuvent s’avérer singulièrement viles. Mais, pour le moment, la première erreur que Macky Sall devra éviter c’est de ne pas être informé que le carreau du sucre est vendu à dix francs. L’entourage du Président, les membres de l’Apr surtout, doivent être vigilants (...)". Une sortie, qui "est loin d'être fortuite", selon bon nombre d'observateurs avertis.  « La coalition Benno Bokk Yakaar (BBY) va imploser incessamment », telle est la conviction de Modou Diagne Fada. Ce dernier, invité de l’émission "Point de vue", sur la RTS1, estime que les responsables de cette coalition ont terminé leur mission : faire partir Me Wade. L’ancien ministre de la Santé prédit le divorce de ses adversaires de la majorité présidentielle. « Ce n’est plus un secret, BBY est parti pour imploser. Ce n’est plus qu’une question de jours. Cette coalition va éclater avant les locales, car il faut que les partis politiques se pèsent ». Aussi, il s’est attardé sur les retrouvailles de la famille libérale annoncée ces derniers jours. Ecartant, très tôt les responsables de Bokk Gis-Gis qui selon lui "ont dit non à l’appel", Fada soutient que rien n’empêche que tous les libéraux se regroupent, mais selon lui,  le socle sera le PDS qui a enfanté tous les autres partis. « Une bonne partie des militants de l’APR, viennent du PDS, nous avons les mêmes idées et les mêmes convictions politiques. Nous sommes prêts, mais pour le moment, nous ne savons pas la date de ces retrouvailles. Donc, nous devons donner du temps au temps », a encore argumenté l’invité de la RTS, qui a également précisé: « l’alliance politique n’a rien à voir avec une alliance électorale, il n’est pas forcément dit que nous sommes obnubilés par ces retrouvailles. Seulement, notons que nous sommes très ouverts ».  La traque aux  présumés biens mal acquis que le nouveau régime vient de lancer, a été aussi un sujet sur lequel le jeune leader s’est épanché. « Il y a des délinquants financiers dans tous les partis politiques. Ce n’est pas un fait spécifique au Pds. S’il y a des libéraux qui ont planqué des milliards à l’extérieur, le régime en place, est bien placé pour mener une enquête. De toute façon, il faut qu’il sache, qu'avant nous, d’autres ont planqué des milliards dans les banques », a t-il déclaré. Toutefois, sur les audits, il dira que « les libéraux n’ont rien à se reprocher. Nous attendons les audits tranquillement ». Terminant sur un ton taquin, l’ancien ministre de la santé, a ironisé : « Si BBY éprouve des difficultés pour trouver un président de l’Assemblée nationale, elle peut venir le chercher chez nous ».Quoi qu'il en soit, "wait and see !".
Lundi 5 Novembre 2012



Du plus récent au plus ancien | Du plus ancien au plus récent

26.Posté par jaloux le 05/11/2012 14:46
tout ce qui va se passer entre macky sall et idrissa seck est le jeu de cette femme au palais car elle a trahi idrissa seck elle et son époux voir ce ci idrissa avait toujours penser que comme le mari de cette femme était son boye il pouvait avoir cette femme dans ses valises pour la présidentielle de 2012 et il avait donner beaucoup d argent a son époux pour pouvoir contrôler cette femme au finisse nous qui avaient compris que idrissa ne pouvait pas remporter les élections nous avons dit nient pour une coalition avec idrissa seck mais si n était pas nous elle allait écouter son époux mais une fois au pouvoir elle travaille que pour la famille de son mari plus 10 billets pour la Mecque

25.Posté par Laman le 05/11/2012 14:31
en tout cas idy et macky n'ont aucun probléme. ME AMADOU SAL mome yakh na bopamL

24.Posté par ramassage le 05/11/2012 14:13
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23.Posté par fakone le 05/11/2012 14:00
Le plan takkal ne sera pertinent que lorsque de nouvelles centrales commencent à produire. La construction d'une centrale à charbon permettra d’assurer le redressement durable du secteur, de réduire considérablement le coût de production de l’électricité et de réduire substantiellement le montant du niveau de compensation tarifaire versé à la Senelec à partir du budget de l’Etat.
Et depuis 2009 l'Etat peine à mettre en oeuvre ce projet. L'Etat s'endette pour dérouler le plan takkal alors que la solution ce n'est point la location de groupe mais plutot la mise en oeuvre de la centrale.
Et le site retenu pour construire cette centrale jusquà ce jour l'Etat n'a pas indemniser les propriétaires de parcelles de terrain encore moins rembourser les impenses ce qui est inadmissible pour les populations de bargny qui sont pretes à verser leur sang pour se faire dédommager de manière conséquente. Pour l'autoroute à péage l'Etat à rembourser à hauteur de 200 000 F le m2 et pour le monument c'est un dédommagement à cout de milliards. Bargny exige d'etre dédommagé et remboursé bien avant le début des travos

22.Posté par LE JUGE / PREAMBULE le 05/11/2012 12:49
« Le mépris et les méprises d’Idrissa Seck

‘Au regard de l’échec massivement constaté aujourd’hui, le devoir me prescrit d’intervenir pour éviter le naufrage’. Naufrage ? Idrissa Seck aurait pu parler de déluge, puisqu’il se veut le Noé de 2006. Le maire de Thiès - ville où il ne compte pas de domicile – a décidément peu de respect pour ses compatriotes, ‘tous nés pour être dirigés’ par lui. Il a si peu de considération pour les Sénégalais que, comble d’arrogance, il a commencé sa tournée d’étalage de ses richesses par Ziguinchor. Là même où il avait lancé son fameux ‘Je suis un homme riche !’, devant les bailleurs de fonds, c'est-à-dire ceux chargés d’aider financièrement son pays pauvre. Sans bouder au passage le plaisir de houspiller publiquement une dame, ministre à l’époque.

‘Le redressement économique signifiera de faire avec les meilleurs d’entre nous une alternance générationnelle..’ Ce Idrissa Seck-là n’est vraiment pas nouveau : il est resté tout aussi méprisant pour les Sénégalais. Sinon comment peut-il ainsi dire que c’est dans la classe politique qu’on retrouve ‘les meilleurs’ du pays ? Une telle assertion est grave. Même si, dans son répertoire des joyeusetés, on l’a déjà entendu décrété, par sa fatwa à lui, le politicien marabout, que tous les hommes de gauche iraient en enfer. Les hommes de gauche dont il s’honore aujourd’hui d’être leur compagnon, les hommes de gauche parmi lesquels figure Landing Savané à qui il fait appel aujourd’hui. Ce n’est pourtant pas là sa plus vertigineuse contradiction. Sous ce chapitre, c’est un délice que de lire son dernier texte, envoyé sous forme de Cd aux journalistes comme pour les tenir à distance prophylactique. L’ex-quasi président de la République y écrit que ‘peu importe que le médecin se nomme Idrissa Seck ou pas’ pour soigner le Sénégal qu’il dit malade. Mais, quelques lignes plus loin, sa conviction pathologique d’être ‘né pour être président’ reprend le dessus, et lui fait dire : ‘En ce nouveau Sénégal, je veillerai sans concession au principe de l’Etat de droit’.



Décidément, les Sénégalais n’y échapperont pas : le messie pour eux est un bonhomme de courte taille, revenu au pays à la tête d’une fortune à l’origine inexpliquée (sinon trop clairement comprise), après avoir mis le pays en péril institutionnel par des intrigues de basses eaux au sommet du pouvoir. Seck a été ministre du Commerce : que retiennent les Sénégalais de cet épisode ? Il a été directeur de cabinet du président Wade : quel souvenir en ont les hauts fonctionnaires et les alliés politiques du président ? Il fut Premier ministre, ‘quasi président de la République’ : avec quelle incidence pour la stabilité du pays ? Au profit de

qui ?



Seck crie tellement fort qu’on n’entend pas ce qu’il dit. A le suivre, sa rupture avec Wade s’expliquerait par son opposition au vote de la loi Ezzan, les projets ‘irréalistes’ et l’immixtion de la famille présidentielle dans les affaires de l’Etat. Seck n’a pourtant quitté le gouvernement que forcé et contraint, limogé par le président de la République. La conduite vertueuse exigeait de sa part de démissionner si tant est qu’il était si opposé à Wade sur des questions aussi importantes. Il ne l’a pas fait. On peut logiquement en déduire que Seck est du genre à rester dans un gouvernement même lorsqu’il est convaincu que la voie empruntée par celui-ci n’est pas la meilleure pour le pays. Pour quelles raisons ?



Le maire de Thiès veut un nouveau Sénégal. Nous préférons un Sénégal nouveau. Celui en construction depuis qu’il n’est plus aux affaires. Nous préférons ce Sénégal des réalisations socioéconomiques à celui de la parlotte, celui de l’efficacité vertueuse à celui des intrigues au sommet de l’Etat, celui où nous vivons depuis que le président Wade a confié le gouvernement à Macky Sall à celui de la période tumultueuse de 2003/2004.



Il se doit à la vérité de l’avouer : l’actuel Premier ministre est en train, de réussir, à vêpres,

servira à corriger le retard enregistré, à none, par son prédécesseur. L’on se souvient qu'une fois arrivé au pouvoir, Idrissa Seck avait déclaré que son souci premier était de ‘formater l’esprit des Sénégalais’. C'est-à-dire les dresser, les conditionner, les modeler à son goût. Comme l’on tentait de le faire dans les régimes totalitaires, par le moyen de la police politique. Seck parle d’’abomination morale’… Il se pavane pourtant avec le député Mama Dabo, qu’il exhibe fièrement comme un trophée. Alors que, en contradiction avec l’esprit de nos lois qu’il vote, ce député continue de bénéficier des avantages attachés à son statut de parlementaire, lui qui, dans les faits, a démissionné de son parti, donc de son mandat, en déclarant son soutien à un candidat à la présidentielle qui n’est pas celui de sa formation.

Vous avez dit parangon de la vertu ?



Mais la suprême offense au pays, c’est d’appeler son futur parti ‘Rewmi’. A moins d’en ignorer la portée, il n’est pas concevable, dans une république, d’appeler son parti ‘La Nation’. De la même façon que le vert-jaune-rouge ne saurait être pris pour couleurs d’une formation politique, on ne peut l’appeler ‘Rewmi’. C’est d’une prétention innommable et d’une désinvolture inacceptable ! La nation, c’est ce que nous avons de plus en commun. Qu’adviendrait-il si dix prétendants à la fonction présidentielle désignaient chacun son parti sous le vocable de Rewmi, en pulaar, en soninké, diola, sérère et j’en passe ? Ne jouons pas à ce jeu-là : à trop forcer sur la communication, sans souci des fondamentaux du pays, on en vient à devenir dangereux : il va bien falloir que Idrissa Seck le comprenne, lui qui avait déjà fait une adresse à la nation, le …4 avril.

Dans son plaidoyer pro domo, l’ancien Premier ministre explique que c’est lui le messie, parce que, dit-il, il a connu « l’envers et le revers de l’alternance ». Il voulait certainement parler de « l’envers et l’endroit ». Ce que retient l’opinion majoritaire, c’est qu’après avoir connu l’envers de l’alternance avec lui, nous en connaissons l’endroit depuis son départ.»

21.Posté par Amadou le 05/11/2012 12:34
@Allo post1

Les moutons marchent ensemble mais n'ont pas le meme prix!
Idy dou mboromou macky bou soubaa ngay comprendre!

20.Posté par poulhom le 05/11/2012 12:06
Plus malhohete que IDY tu meurs.ILdoit savoir que jamais le peuple senegalais ne le fera plus confiabce ,Idrissa Seck est mort en politique qu il ferme sa gueule ou qu il retire ses ministres du gouvernement

19.Posté par Maa warou le 05/11/2012 12:04
C'est Idy qui devait être à la place de Macky, mais il a perdu la confiance de beaucoup de sénégalais à cause de ses tergiversations, ses "entrée-sortie" au PDS, ses fameux CD, le protocole de Rebeuss,..... Il voulait le beurre (garder ses avantages), l'argent du beurre (le PDS et sa force électorale) et la laitière (la confiance des électeurs). Certes il est très malin, mais les sénégalais ne sont pas dupes aussi.

18.Posté par thiam le 05/11/2012 12:01
Concernant Idrissa SECK,malheureux 4 éme président du SÉNÉGAL,il ne peut digérer la victoire du président Macky SALL à l'instar de elhadji Amadou Sall,Oumar sarr et Babacar gaye du PDS

17.Posté par thiam le 05/11/2012 11:57
Ce n'est pas sérieux de parler de dessaisissement des inondations à Oumar Guéye brillant ingénieur et républicain qui a de très bons rapports avec Macky SALL.Trois ministères intervenaient dans les inondations(hydraulique,assainissement,urbanisme,habitat et environnement),donc je trouve pertinent d'en faire un ministère ou un structure indépendante

16.Posté par LE JUGE le 05/11/2012 11:54
« Le mépris et les méprises d’Idrissa Seck

‘Au regard de l’échec massivement constaté aujourd’hui, le devoir me prescrit d’intervenir pour éviter le naufrage’. Naufrage ? Idrissa Seck aurait pu parler de déluge, puisqu’il se veut le Noé de 2006. Le maire de Thiès - ville où il ne compte pas de domicile – a décidément peu de respect pour ses compatriotes, ‘tous nés pour être dirigés’ par lui. Il a si peu de considération pour les Sénégalais que, comble d’arrogance, il a commencé sa tournée d’étalage de ses richesses par Ziguinchor. Là même où il avait lancé son fameux ‘Je suis un homme riche !’, devant les bailleurs de fonds, c'est-à-dire ceux chargés d’aider financièrement son pays pauvre. Sans bouder au passage le plaisir de houspiller publiquement une dame, ministre à l’époque.

‘Le redressement économique signifiera de faire avec les meilleurs d’entre nous une alternance générationnelle..’ Ce Idrissa Seck-là n’est vraiment pas nouveau : il est resté tout aussi méprisant pour les Sénégalais. Sinon comment peut-il ainsi dire que c’est dans la classe politique qu’on retrouve ‘les meilleurs’ du pays ? Une telle assertion est grave. Même si, dans son répertoire des joyeusetés, on l’a déjà entendu décrété, par sa fatwa à lui, le politicien marabout, que tous les hommes de gauche iraient en enfer. Les hommes de gauche dont il s’honore aujourd’hui d’être leur compagnon, les hommes de gauche parmi lesquels figure Landing Savané à qui il fait appel aujourd’hui. Ce n’est pourtant pas là sa plus vertigineuse contradiction. Sous ce chapitre, c’est un délice que de lire son dernier texte, envoyé sous forme de Cd aux journalistes comme pour les tenir à distance prophylactique. L’ex-quasi président de la République y écrit que ‘peu importe que le médecin se nomme Idrissa Seck ou pas’ pour soigner le Sénégal qu’il dit malade. Mais, quelques lignes plus loin, sa conviction pathologique d’être ‘né pour être président’ reprend le dessus, et lui fait dire : ‘En ce nouveau Sénégal, je veillerai sans concession au principe de l’Etat de droit’.



Décidément, les Sénégalais n’y échapperont pas : le messie pour eux est un bonhomme de courte taille, revenu au pays à la tête d’une fortune à l’origine inexpliquée (sinon trop clairement comprise), après avoir mis le pays en péril institutionnel par des intrigues de basses eaux au sommet du pouvoir. Seck a été ministre du Commerce : que retiennent les Sénégalais de cet épisode ? Il a été directeur de cabinet du président Wade : quel souvenir en ont les hauts fonctionnaires et les alliés politiques du président ? Il fut Premier ministre, ‘quasi président de la République’ : avec quelle incidence pour la stabilité du pays ? Au profit de

qui ?



Seck crie tellement fort qu’on n’entend pas ce qu’il dit. A le suivre, sa rupture avec Wade s’expliquerait par son opposition au vote de la loi Ezzan, les projets ‘irréalistes’ et l’immixtion de la famille présidentielle dans les affaires de l’Etat. Seck n’a pourtant quitté le gouvernement que forcé et contraint, limogé par le président de la République. La conduite vertueuse exigeait de sa part de démissionner si tant est qu’il était si opposé à Wade sur des questions aussi importantes. Il ne l’a pas fait. On peut logiquement en déduire que Seck est du genre à rester dans un gouvernement même lorsqu’il est convaincu que la voie empruntée par celui-ci n’est pas la meilleure pour le pays. Pour quelles raisons ?



Le maire de Thiès veut un nouveau Sénégal. Nous préférons un Sénégal nouveau. Celui en construction depuis qu’il n’est plus aux affaires. Nous préférons ce Sénégal des réalisations socioéconomiques à celui de la parlotte, celui de l’efficacité vertueuse à celui des intrigues au sommet de l’Etat, celui où nous vivons depuis que le président Wade a confié le gouvernement à Macky Sall à celui de la période tumultueuse de 2003/2004.



Il se doit à la vérité de l’avouer : l’actuel Premier ministre est en train, de réussir, à vêpres,

servira à corriger le retard enregistré, à none, par son prédécesseur. L’on se souvient qu'une fois arrivé au pouvoir, Idrissa Seck avait déclaré que son souci premier était de ‘formater l’esprit des Sénégalais’. C'est-à-dire les dresser, les conditionner, les modeler à son goût. Comme l’on tentait de le faire dans les régimes totalitaires, par le moyen de la police politique. Seck parle d’’abomination morale’… Il se pavane pourtant avec le député Mama Dabo, qu’il exhibe fièrement comme un trophée. Alors que, en contradiction avec l’esprit de nos lois qu’il vote, ce député continue de bénéficier des avantages attachés à son statut de parlementaire, lui qui, dans les faits, a démissionné de son parti, donc de son mandat, en déclarant son soutien à un candidat à la présidentielle qui n’est pas celui de sa formation.

Vous avez dit parangon de la vertu ?



Mais la suprême offense au pays, c’est d’appeler son futur parti ‘Rewmi’. A moins d’en ignorer la portée, il n’est pas concevable, dans une république, d’appeler son parti ‘La Nation’. De la même façon que le vert-jaune-rouge ne saurait être pris pour couleurs d’une formation politique, on ne peut l’appeler ‘Rewmi’. C’est d’une prétention innommable et d’une désinvolture inacceptable ! La nation, c’est ce que nous avons de plus en commun. Qu’adviendrait-il si dix prétendants à la fonction présidentielle désignaient chacun son parti sous le vocable de Rewmi, en pulaar, en soninké, diola, sérère et j’en passe ? Ne jouons pas à ce jeu-là : à trop forcer sur la communication, sans souci des fondamentaux du pays, on en vient à devenir dangereux : il va bien falloir que Idrissa Seck le comprenne, lui qui avait déjà fait une adresse à la nation, le …4 avril.

Dans son plaidoyer pro domo, l’ancien Premier ministre explique que c’est lui le messie, parce que, dit-il, il a connu « l’envers et le revers de l’alternance ». Il voulait certainement parler de « l’envers et l’endroit ». Ce que retient l’opinion majoritaire, c’est qu’après avoir connu l’envers de l’alternance avec lui, nous en connaissons l’endroit depuis son départ.»




15.Posté par jaloux le 05/11/2012 11:33
APR danio titte , ndeysanne damaléna yeureume.
Idy défouléne dara , wakh léne si diaffé diaffé ascan wi mo geunes.

14.Posté par jaloux le 05/11/2012 11:33
APR danio titte , ndeysanne damaléna yeureume.
Idy défouléne dara , wakh léne si diaffé diaffé ascan wi mo geunes

13.Posté par Sophie le 05/11/2012 11:21
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12.Posté par Facecoran.com le 05/11/2012 11:19
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11.Posté par Diop le 05/11/2012 10:21
Maky à trahi benno ,maky à trahi ,m 23 maky à trahi Idy ,maky à trahi ABC ,maky. Trahi wade ,c'est dans son sang,il était tidjane maintenant il est mouride,guemoul dara

10.Posté par Mayoro le 05/11/2012 10:15
À voir les 2 hommes Idy et maky c'est même pas comparable ,maky n'est pas un homme d'état et il manque de personnalité ,et maky à son complexe .idy lui a tout donne dans la vie, mais la trahison de maky envers Idy est dans la mémoire de tout les sénégalais .,les chantiers de thies ,wakh fegne ,wade à utilise maky pour combattre Idy du début à la fin jusqu'à le mettre en prison et maky disait ,la page Idy est tournée .attention apr wakh fegne les archives sont la .rester calme sinon .....

9.Posté par Bobo le 05/11/2012 10:04
En tout en cas l'apr à l'intérêt de le maintenir dans la coalition .S'il sort maky est foutu pour de bon .deja à 7 mois rien ne marche en plus je ne crois pas que maky peu faire mieux que wade

8.Posté par You le 05/11/2012 09:58
vous n'avez rien dit de clair dans cet article. IDY et son parti le REWMI travaillent normalement. Il n'est pas dit qu'un membre de la coalition BBY ne doit pas donner son point de vue sur la marche du pays
Au contraire dire ce qu'on pense en toute honnêteté peut permettre de rectifier le tir. En plus ce que Macky et Idy se disent dans le secret du bureau de Président échappent aux oreilles des militants lamdas.

Ne créons pas de tension qui n'arrange personne

7.Posté par Mame fa le 05/11/2012 09:57
Franchement ,l'apr n'est pas convaincant,qu'es ce que vous voulez que Idrissa seck se sacrifie pour maky ,il faut toujours donner son avis .si ça marche pas il faut le dire ,il faut être honnête ,vous voulez prendre Idy comme otage

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