Pour le ministre des Mines, dans l'entretien qu’il a accordé à Dakaractu, il faut nécessairement, « d'ici à 2019, prendre toutes les dispositions pour que tout ce que le Chef de l’Etat est en train de faire dans ce pays puisse être vu. »
A Mbour où il était venu prendre part à « l’Université Républicaine », Aly N'gouille N'diaye a requis, à ce propos, le concours des jeunes capables de s’atteler plus efficacement à la communication. Pour lui, les réalisations ont intéressé tous les secteurs économiques avant de signaler, en guise d’exemple qu’ « en 2011, la règle c’était la coupure alors qu’aujourd’hui, l’exception, c’est la coupure ». Ainsi préconisera-t-il la confection d’un document où seront listées toutes les réalisations avant de lancer : « on a fait beaucoup de choses dans beaucoup de domaines ».
Interpellé sur le « surendettement excessif » de l’Etat du Sénégal, le ministre des Mines se voudra catégorique. « Il fut un temps c’est l’Etat qui courait derrière les signatures. Aujourd’hui, c’est le contraire. Ceux qui nous prêtent de l’argent ne sont pas des philanthropes. Ils ne nous prêtent pas de l’argent s’ils ont des appréhensions que ces crédits ne seront pas remboursés. Si le Sénégal arrive à engranger 5.000 milliards entre 2012 et 2016, il faut féliciter le Président Sall. Nous ne nous endettons pas pour du fonctionnement mais pour de l’investissement ». Aly Ngouille d’ajouter que « ceux qui accordent des prêts au Sénégal savent qu’ils seront remboursés ».
Pour ce qui concerne l’appel du patron de l’Apr lancé à l’ensemble de ses responsables les enjoignant à aller travailler dans leurs bases, Aly Ngouille applaudit. « Le Chef de l’Etat a raison! »
A Mbour où il était venu prendre part à « l’Université Républicaine », Aly N'gouille N'diaye a requis, à ce propos, le concours des jeunes capables de s’atteler plus efficacement à la communication. Pour lui, les réalisations ont intéressé tous les secteurs économiques avant de signaler, en guise d’exemple qu’ « en 2011, la règle c’était la coupure alors qu’aujourd’hui, l’exception, c’est la coupure ». Ainsi préconisera-t-il la confection d’un document où seront listées toutes les réalisations avant de lancer : « on a fait beaucoup de choses dans beaucoup de domaines ».
Interpellé sur le « surendettement excessif » de l’Etat du Sénégal, le ministre des Mines se voudra catégorique. « Il fut un temps c’est l’Etat qui courait derrière les signatures. Aujourd’hui, c’est le contraire. Ceux qui nous prêtent de l’argent ne sont pas des philanthropes. Ils ne nous prêtent pas de l’argent s’ils ont des appréhensions que ces crédits ne seront pas remboursés. Si le Sénégal arrive à engranger 5.000 milliards entre 2012 et 2016, il faut féliciter le Président Sall. Nous ne nous endettons pas pour du fonctionnement mais pour de l’investissement ». Aly Ngouille d’ajouter que « ceux qui accordent des prêts au Sénégal savent qu’ils seront remboursés ».
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