Selon le journal "l'As" une querelle de voisinage au quartier Nietti Mbar de Pikine a failli virer au pire. Cheikh Oumar Camara, plus connu sous le sobriquet de Cheikhou, membre du mouvement «Y en a marre», s’est vu sectionner ses trois doigts de la main droite. Son poignet gauche coupé. D’ailleurs, il a été trouvée par terre par les limiers. La victime est hospitalisée à l’hôpital Le Dantec. Le présumé suspect a pris la tangente et serait parti dans le sud du pays. Une enquête a été ouverte au commissariat central de Guédiawaye.
Le mois béni du Ramadan ne semble pas tempérer les comportements sanguinaires de certains. Dans l’après-midi du 23 juillet, une petite altercation a opposé le fils d’un membre du mouvement «Y en a marre», Cheikh Oumar Camara dit Cheikhou, à un voisin. Selon certaines indiscrétions dans le quartier, ce n’était pas la première fois qu’il y avait des bisbilles entre les deux familles. Les rumeurs font état d’un cas de viol…
Coupe-coupe à la main, Cheikhou, dit-on dans le quartier, a voulu régler ses comptes avec certains de ses voisins. Il attaque, mais invulnérable, l’autre bagarreur reçoit les coups sans aucune égratignure. C’est alors que la situation se retourne dramatiquement en défaveur de Cheikhou qui prend la poudre d’escampette. Il est suivi par son ennemi. Avant d’entrer chez lui, il reçoit de violents coups à la main droite où trois de ses doigts sont sectionnés.
Transféré d’urgence à l’hôpital de Pikine, il y subit une rapide intervention et ses trois doigts ont pu être recollés. Mais il n’a pas eu la même veine pour ce qui est de son poignet gauche qui, selon des sources policières, a été trouvée par terre à l’arrivée des limiers, à côté de deux coupecoupe dont l’un était taché de sang.
Le blessé a été interné à l’hôpital Aristide Le Dantec. Il a perdu beaucoup de sang et puisque les médecins s’affairaient autour de lui, les hommes du commissaire El hadji Bécaye Diarra ne l’ont pas encore interrogé pour connaître l’origine de l’altercation. Quant au suspect, bien avant que les limiers ne soient avisés et qu’une enquête ne soit ouverte, il a pris la poudre d’escampette et serait dans le sud du pays. Les investigations pour retrouver le suspect, dont la police préfère taire le nom, se poursuivent.
Le mois béni du Ramadan ne semble pas tempérer les comportements sanguinaires de certains. Dans l’après-midi du 23 juillet, une petite altercation a opposé le fils d’un membre du mouvement «Y en a marre», Cheikh Oumar Camara dit Cheikhou, à un voisin. Selon certaines indiscrétions dans le quartier, ce n’était pas la première fois qu’il y avait des bisbilles entre les deux familles. Les rumeurs font état d’un cas de viol…
Coupe-coupe à la main, Cheikhou, dit-on dans le quartier, a voulu régler ses comptes avec certains de ses voisins. Il attaque, mais invulnérable, l’autre bagarreur reçoit les coups sans aucune égratignure. C’est alors que la situation se retourne dramatiquement en défaveur de Cheikhou qui prend la poudre d’escampette. Il est suivi par son ennemi. Avant d’entrer chez lui, il reçoit de violents coups à la main droite où trois de ses doigts sont sectionnés.
Transféré d’urgence à l’hôpital de Pikine, il y subit une rapide intervention et ses trois doigts ont pu être recollés. Mais il n’a pas eu la même veine pour ce qui est de son poignet gauche qui, selon des sources policières, a été trouvée par terre à l’arrivée des limiers, à côté de deux coupecoupe dont l’un était taché de sang.
Le blessé a été interné à l’hôpital Aristide Le Dantec. Il a perdu beaucoup de sang et puisque les médecins s’affairaient autour de lui, les hommes du commissaire El hadji Bécaye Diarra ne l’ont pas encore interrogé pour connaître l’origine de l’altercation. Quant au suspect, bien avant que les limiers ne soient avisés et qu’une enquête ne soit ouverte, il a pris la poudre d’escampette et serait dans le sud du pays. Les investigations pour retrouver le suspect, dont la police préfère taire le nom, se poursuivent.
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