"Il a placé ses intérêts personnels et professionnels au-dessus des lois, des valeurs et de la politique des Etats-Unis", a déclaré la candidate démocrate à la Maison Blanche à Chicago aux journalistes qui l'accompagnent.
L'argent a été dépensé en 1998, selon Newsweek, par des responsables des hôtels et casinos Trump lors d'un voyage à Cuba, où l'organisation espérait alors s'implanter. Pour contourner l'interdiction de dépenser de l'argent sur l'île, les fonds sont passés par une société de conseil, Seven Arrows Investment and Development Corp, afin de les faire passer pour des oeuvres caritatives.
La directrice de campagne de Donald Trump, Kellyanne Conway, a implicitement reconnu que l'embargo avait été violé.
"Selon l'article, je comprends qu'ils ont dépensé l'argent en 1998", a-t-elle dit sur la chaîne ABC, en ajoutant que Donald Trump "avait décidé de ne pas investir là-bas" et qu'il restait "très critique" de Cuba et du régime des frères Castro.
L'embargo commercial américain contre Cuba, mis en place dans les années 1960, reste en vigueur malgré la politique de rapprochement engagée par Barack Obama, en raison de l'opposition de la majorité républicaine au Congrès.
Mais Hillary Clinton et Barack Obama sont favorables à sa levée. "J'étais très favorable à l'ouverture lorsque j'étais secrétaire d'Etat, j'ai salué l'initiative du président Obama et je la poursuivrai lorsque je serai présidente", a-t-elle dit jeudi.
L'argent a été dépensé en 1998, selon Newsweek, par des responsables des hôtels et casinos Trump lors d'un voyage à Cuba, où l'organisation espérait alors s'implanter. Pour contourner l'interdiction de dépenser de l'argent sur l'île, les fonds sont passés par une société de conseil, Seven Arrows Investment and Development Corp, afin de les faire passer pour des oeuvres caritatives.
La directrice de campagne de Donald Trump, Kellyanne Conway, a implicitement reconnu que l'embargo avait été violé.
"Selon l'article, je comprends qu'ils ont dépensé l'argent en 1998", a-t-elle dit sur la chaîne ABC, en ajoutant que Donald Trump "avait décidé de ne pas investir là-bas" et qu'il restait "très critique" de Cuba et du régime des frères Castro.
L'embargo commercial américain contre Cuba, mis en place dans les années 1960, reste en vigueur malgré la politique de rapprochement engagée par Barack Obama, en raison de l'opposition de la majorité républicaine au Congrès.
Mais Hillary Clinton et Barack Obama sont favorables à sa levée. "J'étais très favorable à l'ouverture lorsque j'étais secrétaire d'Etat, j'ai salué l'initiative du président Obama et je la poursuivrai lorsque je serai présidente", a-t-elle dit jeudi.
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