Troisième poème dédié au Prophète Muhamad : (SAWS) EXTRAIT DE : " AS-SHAKUR" JE DEDIE CES QUELQUES VERS A TOUS LES HOMONYMES DU PROPHETE MUHAMAD (SAWS)


Troisième poème dédié au Prophète Muhamad : (SAWS) EXTRAIT DE : " AS-SHAKUR" JE DEDIE CES QUELQUES VERS A TOUS LES HOMONYMES DU PROPHETE MUHAMAD (SAWS)
Dieu, le Tout Puissant, unique Témoin de ce que je vis
Sans Lui, rien ne serait, avec Lui tout est
Grâce à Lui, Il est, Lui, As-Shakur (saws)

Les cieux sur Makkah étaient d'un bleu unique
Alors qu’ailleurs, et partout dans l'univers,
Ils étaient d'un bleu pluriel ;
Qui dessinaient les sublimes visages
De Celui que la Syrie a vu naître,
Devenu ami soumis de l'ami, l'Ineffable;
De la servante offerte à son illustre épouse,
Du fils prodige, qui fut à l'origine de l'immolation,
Makkah rayonnait, le plus prestigieux de ses fils
Allait caresser sa Kaaba, de sa main salvatrice,
Miséricorde du Seigneur.

Le miracle s'y est produit un lundi,
Les montagnes de leurs intérieurs
Résonnèrent, hurlèrent, gardèrent le silence, pleurèrent,
"Sallalahou Aleyhi wa Salam"
Entama sa descente vers l'univers
Les grains de sable se remuèrent,
S'entrelacèrent en profondeur.
À l'heure où le miracle fut déclenché,
Aucun péché ne fut commis sur tout l'univers,
Le mal s'était tu, cédant le pas à la grâce,
Les vents frais avaient endormi
Tout être menaçant et agressif
Le temps était logé au diadème de la quintessence,
Le "Prestigieux" Muhamad (saws) venait de naître
 
L'idolâtrie larmoya,
D'une chute douloureuse, elle s'inclina,
Elle allait vivre ses dernières décennies sur terre,
Ses plaies furent creusées,
Une odeur méphitique en sortit.
Le vent du silence signait son apparition
Al-Aqsa s'est montré depuis Jérusalem
Pour saluer son ami, la Kaaba,
Point de départ du victorieux,
Vers le voyage nocturne
Et vers son Seigneur, Il alla.

Le père Abdallah, fut déjà sous terre, heureux et gracieux
La mère Amina sentit des vibrations caresser son ventre,
Dans ses oreilles, résonnaient les sublimes noms
De ce noble Envoyé, qui vint au monde,
Pour libérer la Kaaba,
Transmettre le sacré incrusté dans son poinçon,
Restaurer l'équilibre du monde,
Encourant tous les risques.
 
Des mains d'Amina, de fins coulants glissèrent,
Annonçant l'avènement du miracle divin
De loin, les terres tremblèrent,
Les secousses se suppléèrent,
Makkah vécut ses plus belles heures sans heurt
L'orée nocturne fut silencieuse,
La sueur de l'aube dorée sillonnait ses contours,
La Kaaba était heureuse, ses vœux exaucés,
Son cœur s'illustra un lundi, nuit et aube ravies,
À leur écart, Il passa !

Le cœur fécond, s'est manifesté,
Dans la baie d'amour, quand toute qualité,
Toute grâce, toute attention étaient orphelines.
Le miracle fut sa naissance,
Qui injecta à son oncle, un pur bonheur,
Lui qui devint par la suite son pire ennemi.
 
Je parle de ces moments sacrés, qui m'ont aidé
À comprendre ce qu'est l'amour,
Si de tels moments intenses n'existaient,
Je ne sais point si mon cœur pourrait répondre
Aux délices de l'amour qui m'ont versé
A l'insomnie, qui ont capté mon esprit
Et qui ont conditionné mes doigts
A l'éloge du Saint illustre
Qui a provoqué ces moments en moi,
Lui, l'amour du Dieu Amour.

Si l'amour vécut silencieux
Dans les artères de tout corps
Tu es le miracle qui l'a déclenché en nous,
Et vers Toi, il est allé.
 
Si aimer, est un signe de faiblesse,
Si aimer provoque une infirmité,
Alors cet amour qui vit en nous,
Est une expression de liberté
Fondé sur une branche gnostique
Où ses uniques témoins sont
Le cœur et le corps à l'état stoïque ;
Je suis soulagé de T'avoir vu vaincre tes ennemis
Tu leur enseignas les clés de la loi,
Les secrets de la foi,
Les mystères de Ton silence,
Les tréfonds de Ton pardon,
Le mythe de Ta personne,
Ta relation intense avec Dieu,
La science qui vit en Toi,
Et nul ne peut exceller comme Toi,
Dans tout et pour tout, Il avait décidé,
Lui, Dieu, de Te célébrer partout.

La nuit douce frappa
A la porte de ma conscience endormie,
De ses doigts d'amour,
Elle me réveilla, me parla de Toi,
De l'aide soutenue que Tu lui apportas,
Me parla de Toi, de l'amour
Que Dieu a injecté en elle,
Sans excitation, elle vécut heureuse
De passer à chaque fois,
Le témoin à l'aube, qui vécut,
Dans un amour indicible, à Toi, elle l'a dédié.
 
Ô toi, qui ne vis pas encore ce que je vis
Sois tolérant envers moi,
Accompagne moi dans mon élan
Et prions ensemble pour que cela t'arrive un jour
Tu me remercieras quand Dieu l'aura déclenché en toi,
Au bénéfice réel de toute ta progéniture,
De ta demeure, de ta foi, de ta soumission,
De ton infirmité face à Lui, l'Exalté,
Prie que ce moment sonne à ta porte à l'instant
Car aucun autre moment
Ne pourrait être comparé à celui-là.
 
La prière en assemblée assouvit les liens féconds
Qui nous lient à Lui, une prestation sacrée
Qui valorise l'existence, dépeuplant les rives
Que Satan avait décidées de meubler,
Sans Satan, l'univers de la foi serait serein,
Et quand il rode autour de cet univers, ses clins d'œil
Sont nuisibles et néfastes à ceux qui lui répondent.

L'amour que je Te voue, m'a rendu aveugle,
Sourd et muet et mon infirmité est un rapport sacré
Qui me conduit vers Dieu,
Ma parole est entendue,
Car sans "galon", je lui ai parlé
Il m'a écouté car j'ai emprunté
Le canal de l'insignifiance
Pour invoquer ses Sublimes Noms
Lui, Sallalahou ‘Aleyhi wa Salam !
 
Sheikh Alassane Sène "Tarëe Yallah"
humble serviteur du Prophète Muhamad (saws)
Vendredi 26 Décembre 2014




1.Posté par LAMINE le 26/12/2014 11:20
OH LE BON DIEU ÉTERNEL ET SON PROPHÈTE MAHOMET PSL VOTRE ESCLAVE QUI PREND SON BIC POUR

ECRIRE CETTE POÈME POUR LE PROPHÈTE MAHOMET PSL

OUVRE LUI TES PARADIS ÉTERNEL A TOUTE SA FAMILLE CHAQUE LETTRE PAYE LE POUR CHAQUE LETTRE DE CE POÈME DANS CE MONDE ET AU DELÀ

AMINE



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