L’objet de cet atelier c’est de partager autour de la convention de l’Unesco signée le 14 novembre 1970 pour lutter contre le trafic illicite des biens culturels. C’est pourquoi le ministère de la Culture et l’Unesco ont réuni des acteurs culturels pour réfléchir pendant deux jours afin de trouver des recommandations.
« L’impact sera important. Nous connaissons tous la convention. Malheureusement, on a rarement partagé autour de cette convention. La participation de ces acteurs c’est pour la mise en cohérence des actions de tout le monde. En tout cas, la finalité c’est de trouver les rouages qui nous permettront de protéger notre patrimoine », note le directeur du Musée des civilisations noires de Dakar, Hamady Bocoum qui donne des gages pour cette convention de l’Unesco.
Son homologue du Musée de l’Ifan, note que « cet atelier permettra de connaître l’environnement du trafic illicite, de cartographier les objets, de voir la typologie des objets le plus souvent trafiqués, pillés, volés », a fait savoir El Hadj Ndiaye, conservateur du Musée de l'IFAN.
Les forces de l’ordre et les organismes et organisations sont mis à contribution pour lutter contre ce trafic qui fait perdre à la culture la splendeur et l’originalité de ses œuvres artistiques, cultuelles…
Cette convention, adoptée par la Conférence générale de l'UNESCO le 14 novembre 1970, offre un cadre international pour la prévention du vol et du pillage, ainsi que le retour et la restitution des biens culturels volés, parallèlement à des avancées plus larges dans la lutte contre le trafic illicite.
« L’impact sera important. Nous connaissons tous la convention. Malheureusement, on a rarement partagé autour de cette convention. La participation de ces acteurs c’est pour la mise en cohérence des actions de tout le monde. En tout cas, la finalité c’est de trouver les rouages qui nous permettront de protéger notre patrimoine », note le directeur du Musée des civilisations noires de Dakar, Hamady Bocoum qui donne des gages pour cette convention de l’Unesco.
Son homologue du Musée de l’Ifan, note que « cet atelier permettra de connaître l’environnement du trafic illicite, de cartographier les objets, de voir la typologie des objets le plus souvent trafiqués, pillés, volés », a fait savoir El Hadj Ndiaye, conservateur du Musée de l'IFAN.
Les forces de l’ordre et les organismes et organisations sont mis à contribution pour lutter contre ce trafic qui fait perdre à la culture la splendeur et l’originalité de ses œuvres artistiques, cultuelles…
Cette convention, adoptée par la Conférence générale de l'UNESCO le 14 novembre 1970, offre un cadre international pour la prévention du vol et du pillage, ainsi que le retour et la restitution des biens culturels volés, parallèlement à des avancées plus larges dans la lutte contre le trafic illicite.
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