Convoqué à 09 heures du matin, Thione Seck n’a été finalement entendu que vers les coups de 15 heures par le juge du deuxième Cabinet, Samba Sall. Un interrogatoire qui s’est étiré jusqu’à 19 heures et, durant lequel, Thione Seck n’a pas mâché ses mots.
Face au magistrat instructeur, Thione Seck, qui était entouré de ses conseils, a soutenu que toute cette affaire de faux billets, pour laquelle il est écroué, relève d’un complot contre son fils, Wally Seck. «Mon fils Wally Ballago Seck dérange. C'est lui qui est visé. A travers moi, c’est lui qu’on veut atteindre», a expliqué le leader du Raam Daan.
Pour convaincre le magistrat instructeur, Thione Ballago Seck a juré que certaines personnes impliquées dans ce complot seraient venues lui demander pardon en prison.
Mieux, le leader du Raam Daan n’a pas manqué de mettre dans ce processus le fait que des sommes très différentes de la réalité soient avancées aux lendemains de son arrestation par la presse. C’est dans cette même logique qu’il s’est interrogé de l’annonce d’un procès de Waly Seck, le jour où il est entendu dans le fond alors que, dit-il, il avait dédommagé les plaignants à hauteur d’un million F Cfa chacun, il y a de cela des lustres.
Interrogé, hier, Me Ousmane Sèye, l’un des avocats de Thione Seck a effleuré les propos tenus dans le bureau du juge, sans entrer dans les détails. «Thione Seck a démontré qu’il était victime d’un complot», a lâché l’avocat non sans ajouter : «J’ai mal pour mon pays!»
Face au magistrat instructeur, Thione Seck, qui était entouré de ses conseils, a soutenu que toute cette affaire de faux billets, pour laquelle il est écroué, relève d’un complot contre son fils, Wally Seck. «Mon fils Wally Ballago Seck dérange. C'est lui qui est visé. A travers moi, c’est lui qu’on veut atteindre», a expliqué le leader du Raam Daan.
Pour convaincre le magistrat instructeur, Thione Ballago Seck a juré que certaines personnes impliquées dans ce complot seraient venues lui demander pardon en prison.
Mieux, le leader du Raam Daan n’a pas manqué de mettre dans ce processus le fait que des sommes très différentes de la réalité soient avancées aux lendemains de son arrestation par la presse. C’est dans cette même logique qu’il s’est interrogé de l’annonce d’un procès de Waly Seck, le jour où il est entendu dans le fond alors que, dit-il, il avait dédommagé les plaignants à hauteur d’un million F Cfa chacun, il y a de cela des lustres.
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